Hello tout le monde! Me voilà avec une deuxième fic auquel le titre ne veut rien dire (cela vient d'un titre de chanson et j'ai cherché la traduction pour comprendre ce que cela voulait dire. Manque de chance, je n'ai rien trouvé).
Pour les personnes qui suivent "Rien n'arrive par hasard". Le chapitre 3 est en cours d'écriture. J'avais eu un moment un peu compliqué pour écrire mais je faisais de mon mieux pour trouver un créneau. Et puis vint cette chanson qui m'a inspiré cette fic. Oui un rien m'inspire. J'ai donc décidé de rendre hommage à ce titre de chanson par le biais de cette fic. (Désolé, je parle trop).
Donc, les personnages ne m'appartient pas.
Pour continuer sur cette lancée, la fic est un peu particulière. Il y a effectivement des loups garous (que serait Teen Wolf sans loup garou). Seulement voilà, sans trop spoiler ma fic, Stiles n'était pas là lorsque Scott a reçu sa morsure. Entre autre un Stiles qui n'est pas au courant des événements produits. Un Stiles absent pendant un an.
Ne vous en faîtes pas, ce sera bien une fic Sterek. Tout le scénario est en place dans ma tête, il faut juste que je mette ceci sur "papier".
Il s'agit d'un Pov Stiles. Et je ne pense pas changer.
Donc voilà pour l'information.
Bonne lecture à tous et à toutes.
Ultranumb
Chapitre 1
Je ne pensais pas revenir dans cette ville après tant d'année. Les choses avaient changé en bien et en mal. Mon magasin de pizza préféré avait fermé mais d'autres boutiques avaient levé le rideau de fer. Des nouvelles constructions surplombaient mon champ de vision. J'étais parti de la petite ville de Beacon Hills pour des raisons de santé.
Je ne suis pas fragile loin de là. Seulement, j'avais besoin de changer d'air pendant un an. La ville semblait calme, sans histoire pourtant comme n'importe quelle commune de Californie, chaque patelin avait son lot de bizarrerie et Beacon Hills n'échappait pas à la règle. Je déposai mes valises dans ma chambre. J'aurai aimé profiter un peu de mon père, et inversement, mais le travail l'avait appelé en urgence.
Mon père était le shérif de la ville. Son travail était important surtout qu'il nous permettait d'avoir un salaire mensuel. Il était après tout mon seul parent, ma mère était décédée il y a plus de huit ans.
Elle était atteinte d'une maladie incurable, une atrophie du cerveau. Ses cellules nerveuses mouraient petits à petits jusqu'à ce qu'elle eut atteint la démence. Je me souvenais de ses derniers instants comme si c'était hier. Je pleurais et j'étais seul, mon père avait été appelé ce jour-là en urgence à cause d'un accident. Les yeux de ma mère étaient mélangés entre la folie et la tendresse. Les médecins refusaient de me laisser la voir pour tenter de la calmer et lui dire "je suis là maman, bats-toi". J'avais été totalement impuissant face à la douleur de ma mère et je n'avais pas mon père pour traverser cette passe.
Il était arrivé à l'hôpital et ma mère s'était éteinte quelques heures auparavant. Je pleurais dans le couloir avec Scott qui m'épaulait du mieux qu'il pouvait. La mère de mon meilleur ami était infirmière et elle s'occupait du cas de ma mère. En me voyant mal, elle avait appelé Scott pour qu'il puisse être présent à la place de mon père absent. Tout s'était passé si vite et de manière inattendue.
Me voilà huit ans plus tard, le passé était derrière moi et demain j'allais rentrer au lycée de Beacon Hills pour retrouver mon meilleur ami Scott. Ce dernier sortait avec Allison Argent, une fille plutôt belle d'après les photos que j'ai pu voir. Il y avait des changements Lydia et Jackson étaient ensembles et ceux depuis l'année dernière, Scott m'avait expliqué rapidement qu'ils s'étaient séparés avant de se remettre ensemble. Je n'étais pas entré dans les détails. Il y avait Danny, le meilleur ami de Jackson, Isaac, Erica et Boyd. Une jolie petite troupe ou meute, oui car j'avais une passion, les loups garous. Je connaissais plein de choses sur ces créatures surnaturelles maudites par l'astre lunaire.
J'avais des livres qui parlaient de lycanthropie, des romans et autres. J'avais d'ailleurs été surpris quand mon ami m'avait posé des questions dessus. Surtout qu'habituellement, il s'en foutait. Alors quand Scott m'avait demandé des renseignements sur les loups garous, j'avais été choqué. Mon ami s'était d'ailleurs muni d'un crayon et d'une feuille pour m'écouter débâter sur les loups garous pendant trois heures jusqu'à ce que le couvre-feu me coupe dans mes explications au niveau des problèmes hormonaux des loups garous. Scott m'avait remercié un millier de fois avant de raccrocher.
On se connaissait depuis la maternelle, je me souviens de ma petite peluche en forme de loup que j'aimais me trimbaler. C'était mon doudou et un cadeau de la part d'une personne dont je ne m'en souviens plus. Mais elle m'était précieuse autant que l'étaient mes parents.
Je jouais à faire des châteaux de sable avec ma peluche à mes côtés. Je l'avais appelé "p'tit loup".
Je l'ai d'ailleurs toujours.
P'tit loup était mon compagnon de toujours et jamais il ne me quittait. Je ne pouvais pas sortir quelque part sans l'avoir à mes côtés. Ma mère et mon père avaient voulu me le cacher pour que je puisse grandir mentalement mais à peine j'avais constaté son absence, étant hyperactif, d'où mon départ pendant un an. J'avais tapé du pied, hurlé, tapé pour qu'on me rende mon bien. C'était ce qui était arrivé dans ce fameux bac à sable. P'tit loup était à mes côtés et je lui parlais comme une vraie personne. La maîtresse avait vu ma peluche à mes pieds.
- Genim, les peluches c'est pour la sieste. Va mettre ton loup dans ta couchette, dit-elle avec un sourire.
- J'veux garder p'tit loup, suppliai-je serrant mon bien contre moi, oubliant ma construction, un peu étrange qui ressemblait plus à une colline qu'un château.
- Regarde tes camarades, ont-ils leur doudou avec eux? Continua la dame.
- Non, répondis-je. Mais mes parents disent que l'important n'était pas les autres mais moi et puis je veux garder p'tit loup.
- P'tit loup doit aller se coucher, il doit être fatigué, tenta la maîtresse.
- Non p'tit loup n'est pas fatigué! M'exclamai-je avant de prendre ma peluche pour aller ailleurs.
J'étais une tête de mule, cela n'avait d'ailleurs pas changé au fil des années. C'était à ce moment-là que j'avais rencontré Scott McCall. Il m'avait demandé pourquoi j'avais gardé ma peluche. Je lui avais expliqué que c'était un cadeau très précieux et que personne ne devait le toucher. J'avais même dit à Scott que celui qui me prenait mon p'tit loup était maudit. J'étais jeune mais pourtant, il m'arrivait de comprendre les phrases des adultes. Selon des spécialistes, j'étais un surdoué mais il avait un revers de la médaille à cette intelligence, j'étais hyperactif.
Scott n'avait pas trop compris mais il savait seulement qu'il ne fallait pas toucher à p'tit loup. Il m'avait proposé de devenir ami et de dormir l'un à côté de l'autre. J'avais accepté me disant que j'évitais les petits bruitages buccaux de Mona Dériva. Elle avait quelques problèmes de respiration ce qui m'empêchaient de dormir. Si je ne dormais pas, j'étais insupportable et avec mon hyperactivité, j'étais pire qu'insupportable.
Ce fut ma première sieste avec Scott, au début, on discutait à voix basse pour parler de plein de chose. Puis, la fatigue nous avait emportés. C'était la première fois que je dormais aussi bien à l'école. La maîtresse avait du me réveiller car mon père était venu me chercher. Scott dormait lui aussi et je souris me disant que c'était le début d'une grande amitié.
Cela fait maintenant treize ans qu'on était ami et jamais je n'ai regretté ma complicité avec Scott. Il était comme un frère pour moi.
Je finis de ranger ma dernière valise avant de m'écrouler sur mon lit pour prendre mon doudou dans mes bras. Malgré les années, ma peluche avait survécu. Je le gardais seulement pour dormir et encore, il pouvait m'arriver que lors d'une conversation avec Scott, j'avais p'tit loup sur mes cuisses caressant son doux pelage.
La nuit commençait à être bien entamée. Je sentais la fatigue me prendre, je vêtis mon pyjama avant de me glisser dans mes draps propres. Je serrai ma peluche contre ma poitrine enfouissant ma tête dans sa fourrure. J'étais heureux de revenir à la maison. J'étais dans un institut pour les enfants hyperactifs. L'internat était obligatoire et les chambres étaient individuelles. L'endroit était sympa mais j'avais l'impression d'être dans une maison de fous avec les réunions des pensionnaires pour parler un peu de nous. Chacun racontait ses problèmes et ses réussites comme pour les alcooliques anonymes. Je n'étais pas à ma place par contre, au niveau scolaire, le niveau était plus élevé. J'étais dans une classe de six. Nous étions six génies, les autres suivaient un cursus scolaire ordinaire ou pour certaines personnes une branche pour les démunis d'intelligence.
J'avais de très bon résultat et presque aucun souci avec mon hyperactivité. Seulement, mon père voulait absolument que j'aille dans cet établissement pour au minimum un an. Il avait peur que mon hyperactivité touche mon cerveau et l'atrophie comme ma mère. Là-bas, il y avait une équipe de soin à disposition. J'avais subi des IRM pour vérifier mon état de santé. Tout était en ordre. La peur, voilà un sentiment qui touchait n'importe qui, mon père avait peur que je finisse comme ma mère, dans une tombe.
Surtout que j'avais eu des petits soucis d'insomnie. Je me réveillais régulièrement la nuit poussant des cris à réveiller un mort ou à l'occurrence mon père. Pour ma mère, cela avait commencé comme ça. Seulement, mes tests étaient tous négatifs, je n'avais aucun souci. Et me revoilà chez moi, dormant dans mon lit double, dans ma chambre.
Le lendemain, le réveil sonna annonçant une nouvelle journée. Je m'extirpais des couettes chaudes pour rejoindre d'un pas lent la salle de bain. J'ouvris l'arrivée d'eau pour avoir un minimum d'eau chaude. J'enlevai mon pyjama avant d'aller sous le jet. Je me sentis totalement détendu et serein.
Une fois, ma douche finit, je descendis au rez de chaussée pour prendre un petit déjeuner digne de ce nom. A l'institut, les repas étaient sur carte, le tableau affichait les différents produits présents et on devait prendre ce qui nous plaisait. Maintenant, les choses avaient changé, je n'étais plus obligé d'atteindre X jour pour avoir des céréales dans mon bol.
Je sortis dehors pour prendre ma vieille voiture qui m'avait attendu toute une année, ma jeep. Je montai dedans caressant les sièges ainsi que le volant. Si je pouvais, je l'embrasserai tellement elle m'avait manqué. J'arrivai au lycée où les étudiants marchaient ou discutaient dans la cour. Je partis à l'intérieur pour aller au bureau du conseiller d'éducation pour obtenir le numéro de mon casier ainsi que mon code, mon emploi du temps et mes livres scolaires.
L'homme ne semblait pas très accueillant mais je gardais en moi toute remarque désobligeante. Il m'emmena à mon casier et m'annonça mon code, m'informant que toutes affaires scolaires étaient dedans ainsi que mon emploi du temps. Le conseiller repartit rapidement comme heureux de se débarrasser d'un élève. Je soupirai avant de composer mon code. Le casier s'ouvrit et je vis mes futures affaires. Je pris mon emploi du temps remarquant que je commençai avec économie avec Monsieur Finstok.
Soudain, la porte d'entrée s'ouvrit en grand et les discussions se turent comme si l'arrivée des personnes était un moment où il valait mieux être petit. Je vis le groupe et je fus surpris de voir Scott entouré par sa fameuse troupe. Mon ami semblait chercher quelque chose du regard et nos yeux se sont percutés. Il s'élança avant de me prendre dans ses bras.
- Au bon sang Stiles, tu m'as manqué vieux! dit-il.
Oui, mon prénom était peut-être Genim mais je voulais que tout le monde m'appelle Stiles. Je n'étais pas trop mon prénom ayant reçu beaucoup de raillerie jeune sur comment on prononçait ce mot qui ressemblait à Gremlins. Donc, je me nomme Stiles Stilinski et j'ai dix-sept ans. Peu de personne connaisse mon vrai prénom, le cercle était fermé et privé. Il y avait naturellement mon père, Scott et Mélissa la mère de Scott. Pour les autres, j'étais Stiles l'hyperactif et personne d'autre.
Je reconnus Lydia, Jackson et Danny. Je les saluai d'un signe de la main. Puis je vis ceux que je compris être Isaac, Boyd et Erica. Une fille alla vers Scott pour l'embrasser, voilà Allison Argent. Je souris en voyant celui béat de mon meilleur ami.
- C'est donc lui Stiles? demanda la petite amie.
- Enchanté Allison, je suis Stiles Stilinski, répondis-je avant Scott.
- Le fils du Shérif? S'étonna le blond frisé de la bande.
- Oui... Euh...
- Isaac Lahey. Tu peux m'appeler Isaac. Et tu as Vernon Boyd mais appelle le Boyd et Erica Reyes, dit-il en présentant un homme à la peau colorée et une jolie fille blonde. Les deux nommés se tenaient la main, preuve qu'ils étaient en couple.
J'avais un drôle de sentiments comme si j'étais en plein milieu d'une nuée de romantisme qui ne m'appartenait pas. Lydia et Jackson, Allison et Scott, Boyd et Erica et je supposais Isaac et Danny. J'étais entouré de couple, je me sentis rougir me disant que je serai toujours l'éternel célibataire.
La sonnerie retentit et je partis pour ma salle de classe suivit de la bande de Scott. Je les regardai du coin de l'œil et je ne pus m'empêcher de trouver qu'ils étaient aussi soudés qu'une meute. Je me demandai presque qui pouvait être "l'Alpha" du groupe. Je regardai chaque personne les une après les autres. Cela ne pouvait pas être Scott, il n'avait pas la mentalité d'un meneur, Allison était légèrement réservée et focalisée par Scott. Lydia avait une bande mentalité de meneur mais son caractère fort rivaliser avec celui de son petit ami, et inversement, si l'un des deux était l'Alpha l'autre refuserait de se soumettre à l'autre. Ils ne pouvaient pas être le chef du groupe. Danny était également réservé et il n'avait pas la mentalité de quelqu'un qui donne des ordres. Isaac était ce que je surnommerais l'humoriste du groupe c'était lui qui détendait les atmosphères trop lourdes. Erica ressemblait plus à une poupée qu'à une meneuse quant à Boyd, il était trop discret pour être l'Alpha.
Donc le meneur n'était pas là. Bon sang, je faisais de la psychologie de loup garou sur mon ami et son groupe. Je devrai arrêter de me lire mon nouveau roman ou encore de regarder les documentaires sur les loups. Une chance mon père n'avait pas encore remarqué mon Hobbie favori.
Je m'installai à une table et je sortis mon livre ainsi que ma trousse pour écrire. Scott était assis devant moi et Allison à côté. Je les regardai s'envoyer des petits sourires, pas très discret. Monsieur Finstok était un homme plutôt énergique, il était le coach de l'équipe de crosse du lycée. Personne ne l'appeler "Monsieur" c'était "Coach". Je voyais ce professeur débâter sur l'économie du pays réprimandant régulièrement un certain Greenberg, dont j'ignore qui c'est. Scott se retourna lui affirmant que lui non plus, il ne savait pas qui était Greenberg, pourtant il était dans l'équipe de crosse.
J'hochai la tête. Le cours se finit rapidement pour le plus grand bonheur des étudiants. Scott m'annonça que tout à l'heure il avait un entraînement de crosse. Il voulait que je vienne le voir. J'acceptai me disant que mon ami avait besoin de compagnie. Je connaissais les règles de crosse et Scott avait des problèmes d'asthme, il serait surement sur le banc de touche.
L'heure de l'entraînement avait sonné et je m'installai avec les filles sur les gradins en face du terrain. Je vis les joueurs rentrer en trombe tous les joueurs allèrent sur le terrain.
- Scott est le numéro combien? Demandai-je.
- Le 11, me répondit Allison avec un grand sourire. Isaac est le numéro 14, Jackson est le numéro 37 et Boyd est le numéro 02.
Je reportai mon attention et je fus surpris de voir Scott sur le terrain plutôt que sur le banc.
- Comment se fait-il que Scott joue?
- Il ne te l'a pas dit, c'est le capitaine de l'équipe, s'étonna sa petite amie. Jackson est le Co-capitaine.
- Mais Scott est asthmatique! Dis-je.
- Cela fait un an qu'il n'utilise pas de ventoline, me répondit Lydia. Et un an qu'il est sur le terrain.
J'écarquillai les yeux reportant mon attention sur l'entraînement, je fronçai les sourcils me disant qu'il était presque impossible qu'une personne telle que Scott ait pu venir à bout de son asthme. Je me rappelai lorsqu'on courait dans les bois, j'avais m'arrêter plusieurs fois car mon ami devait prendre sa ventoline. Il avait même failli me faire une crise d'asthme. J'avais paniqué ce jour-là et maintenant je le voyais courir comme n'importe quel adolescent normalement constitué.
Je me levai des gradins lorsque le Coach annonça la fin de l'entraînement. J'attendis sur le parking près de ma jeep. Je fronçai les sourcils en voyant une voiture de luxe noire, une Chevrolet Camaro. Un homme plutôt sombre était installé de manière décontracté sur ce bijou à quatre roues. Je vis Isaac, Erica et Boyd courir vers la voiture noire. L'inconnu enleva ses lunettes de soleil dévoilant des yeux d'une couleur se trouvant entre le bleu et le vert. Il me fixa étrangement mais mon regard changea de destinataire quand Scott vint vers moi.
- Stiles! Alors comment tu nous as trouvé sur le terrain? demanda mon meilleur ami.
- Surpris je dois dire, surtout quand je sais que mon pote est normalement asthmatique, répondis-je accentuant sur le dernier mot.
- Ecoute Stiles, je suis guéri et je joue en première ligne. Tu devrais être content pour moi.
- Je le suis Scott. Seulement, j'aurai aimé être au courant, c'est tout.
- Désolé vieux.
- Je dois rentrer, mon père voulait qu'on sorte ce soir pour fêter mon retour. Tu veux venir avec nous?
- Non, je ne peux pas. J'ai déjà quelque chose de prévu ce soir. On se voit demain en cours.
- D'accord.
Je rentrai dans ma jeep. Je sentais le regard de l'inconnu dans ma nuque. Je partis chez moi où je vis la voiture de patrouille de mon père. Je souris me disant que je pourrais enfin avoir un moment avec mon paternel. A peine, j'arrivai au palier que le shérif sortit de la maison.
- Désolé Stiles, je dois reporter de nouveau notre soirée de retour. Le poste m'a appelé en urgence. Je dois partir, on se voit demain, dit-il montant dans sa voiture avant de partir.
Je restai bouche-bée sur le palier de ma demeure avant de rentrer dans ma maison désormais vide.
- Je sens que l'année va être rude, soupirai-je allant dans ma chambre rejoindre p'tit loup.
Voilà pour ce début de fic.
J'espère que vous avez aimé.
Laissez un review pour me donner vos avis sur ce début.
A la prochaine sur cette fic ou sur mon autre fic.
