Bonsoir !
Je vous retrouve un an après la fin de Cécité pour la suite ! J'espère que ça vous plaira parce que j'ai eu une très longue pause sans écrire - ceux qui suivaient "Leurre" s'en sont rendu compte. Avant tout, vu que le tome 1 est sorti peu avant la saison 2, le tome 2 comprendra des mécaniques de la saison 2 (Rena Rouge, Carapace, Queen Bee,...). Puis considérer mon Yan comme l'archétype Luka.

Contexte:

Après avoir découvert l'identité secrète de son partenaire, Marinette a décidé de dévoiler à tout Paris sa liaison avec Adrien, ou plutôt celle qu'il entretient avec son identité secrète. Suite à son akumatisation, Yan est tombé sous le charme de Ladybug après avoir eu le béguin pour Marinette et avoir essuyé son refus de quitter la société Agreste pour le rejoindre.
Pour se venger de Marinette, Chloé a décidé de la menacer de révéler sa relation avec Chat Noir si elle s'approchait trop d'Adrien.

C'est bon? C'est parti pour la suite !


- « Qu'est-ce que ça fait d'être le compagnon de la plus grande héroïne de Paris ? »

Les lumières des projecteurs m'aveuglent. Mes yeux peinent à rester ouverts, ils se baladent entre l'objectif des différentes caméras placées à trois mètres de moi, maintenues à bouts de bras par des hommes plutôt musclés. Nadja Chamack, journaliste phare de la chaine, m'adresse toutes ses questions. Est-ce que les spectateurs, avides de scoops ou simplement intéressés par ma vie, s'aperçoivent de mon malaise ? Non, ils sont sûrement trop préoccupés à fixer mes lèvres, comme la femme assise sur le fauteuil en face de moi. Ses mains sont agrippées à ses fiches où sont notées à l'avance toutes ses questions et, au vu de sa faculté à rebondir au moindre travers de ma part, une partie de mes réponses également.

- « Ladybug ? C'est une fille superbe, sur bien des terrains. »

C'est une manière détournée de dire qu'elle est la femme de ma vie, sans pour autant m'étendre sur la question. La journaliste enchaîne par un sourire de composition, celui qui te dit « C'est beau ce que tu me racontes mais je veux plus de détails ». Elle se permet même de recoiffer une mèche de sa courte chevelure aubergine tout en jetant un coup d'œil à sa fiche. C'est le même rituel depuis une vingtaine de minutes. Je devrais y être habitué. De toute façon, je suis certain que la caméra ne manque pas de capturer l'air assuré dont je m'affuble.

- « Je sais que nos téléspectateurs trépignent d'impatience de savoir si vous connaissez l'identité de Ladybug. »

C'est drôle, j'ai l'impression de répondre à un interrogatoire. Après tout, tout le monde sait que, si j'ai accepté cette interview, c'est uniquement dans l'intérêt d'Agreste, la boîte de mon père. Je pourrais leur répondre n'importe quoi. J'y songe par moment. Est-ce que Paris se fiche réellement de l'identité de Ladybug ? Que feriez-vous si vous appreniez que Ladybug était la fille de votre boulanger ?

- « Non, je ne connais pas son identité. »

Mes lèvres s'étirent comme le veut le script, j'expire de l'air dans ce qui doit ressembler à un rire embarrassé. Ladybug est Marinette, Marinette est ma styliste personnelle.

- « Comme c'est étrange ! » S'exclame-t-elle, un peu trop surprise à mon goût. « Vous n'être pas sans savoir que votre vie amoureuse fait l'objet de débat ces derniers temps. N'avez-vous pas peur que cela ternisse la réputation d'Agreste ? »

Pendant un court moment, je crois entendre la voix de mon père. Je n'ai pas manqué ses remontrances quand il a appris que j'avais embrassé Ladybug. Plus surprenant encore, il l'a bien vite accepté.

- « Il va de soit que la réputation d'Agreste est au centre de mon attention. Mais je suis un garçon comme les autres, et je ne vais pas m'empêcher de sortir avec une fille. »

- « Ou de décider d'en épouser une autre pour cacher votre véritable couple. »

C'est la théorie qui a le plus fusé à notre sujet. Chloé est passée pour la gentille jeune femme qui a accepté de se faire passer pour mon épouse pour cacher ma véritable idylle. Une situation qui l'arrange bien et qui justifie toutes ces dernières apparitions dans Close et Banquet.

- « Disons que nous avons tous nos petites combines. » Je réponds simplement avant d'adresser un clin d'œil à la caméra.

La fin de l'interview est une délivrance. Je m'enferme dans ma loge pour retirer l'épaisse couche de maquillage de mon visage et m'empare de mon téléphone. Toujours rien.

Adrien Agreste : « L'interview est finie. Fais-moi signe quand je peux t'appeler, Mari 3. »

A peine ai-je envoyé ce message à Marinette que je m'effondre sur un fauteuil en cuir noir au fond de la loge.

J'ai eu beaucoup de mal à faire comprendre à ma dulcinée que renvoyer Rose était la bonne solution pour nous tous. Mon père me pressant pour parvenir à des résultats, je n'ai eu d'autres choix que de renvoyer mon amie du collège ainsi qu'une autre poignée d'employés pour obtenir sa totale confiance.

Soudain, mon portable se met à vibrer sur le siège à côté de moi. Je m'en empare aussitôt et réponds sans réfléchir.

- « Allô ? »

- « J-je suis en train de faire mes cartons, désolée. »

Sa petite voix essoufflée me tire un sourire. Je l'imagine en train de ranger ses dossiers, vêtue d'un chemisier blanc rentré dans un jean taille-haute et coiffée d'un chignon aux mèches rebelles.

- « Comment s'est déroulée l'interview ? » Demande-t-elle un peu précipitamment.

Je pousse un long soupir.

- « Comme toujours, il n'y en a que pour Ladybug et mes fiançailles annulées. »

- « J'espère que tu ne m'en veux pas trop de te prendre la vedette. »

- « Tant que je suis là pour te mettre en lumière… »

Mes mots lui décrochent un petit rire gêné. Bon nombre de journalistes m'ont réclamé pour une interview dans l'espoir d'attirer Ladybug, en vain. La seule personne par qui Ladybug accepte d'être filmée reste Alya, au grand dam des chaînes nationales.

- « C'est ton dernier jour à la Tour Agreste, ça ne te fait pas trop bizarre ? »

- « Mh…Je pense que je m'en rendrai compte une fois que j'aurai … quitté l'immeuble. »

Un léger grincement teinte à l'autre bout du fil. Marinette s'arrête au milieu de sa phrase, signe qu'elle n'est plus seule dans son bureau.

- « Marinette ? »

- « O-oui ? Ah, je dois te laisser, on se voit plus tard ! »

- « Oui, à plus tard. Je t'ai… »

La tonalité résonne à travers mon téléphone, me laissant l'effet d'une douche froide. Si elle savait comme elle me frustre parfois. Je me demande bien qui a pu lui rendre visite, peut-être ces collègues…

Suite aux révélations de mon couple avec Ladybug, nous avons dû nous faire plus discrets pour nous voir. Il n'est pas rare que des paparazzis installent leurs tentes devant le Manoir dans l'espoir d'y croiser la super héroïne. Le studio de Marinette est ainsi devenu une résidence secondaire. Et encore, quand ses colocataires ne se décident pas de rentrer à l'improviste de leur voyage.

Perdu dans mes pensées, je ne me rends compte que maintenant que mon téléphone m'indiquait mon rendez-vous sur le plateau de tournage. Et qui dit tournage, dit Chloé Bourgeois…

D'un tournage à un autre, la limousine me conduit jusqu'à l'immeuble habituel. Aujourd'hui, nous tournons les dernières scènes de notre Sitcom. Enfin ! C'est l'occasion de clôturer ce projet et de ne plus avoir affaire avec Chloé.

- « Adrichou ! » S'écrie-t-elle lorsque je passe la porte des coiffeuses et maquilleuses.

Pour une fois, je ne cache pas mon désarroi quand elle manque de se jeter dans mes bras, comme si rien ne s'était passé depuis le collège.

- « Chloé… »

Celle-ci presse alors l'un de ses index manucurés sur mes lèvres pour me faire taire.

- « Chhhhht ! Aujourd'hui est un grand jour. »

Je lève un sourcil tout en m'asseyant sur une chaise face au miroir.

- « Tu parles du dernier jour de tournage ? »

Sophia s'affaire à crêper les mèches blondes, m'adressant un clin d'œil au passage. Elle ignore les quelques avis de Chloé sur son travail.

- « Bien sûr que non ! N'oublie pas qu'après le tournage aura lieu toute la campagne de promotion ! Les interviews en couple, les spots publicitaires et tout ce qui pourra nous mettre en valeur évidemment. »

En « couple », si on considérait que Jésus et Judas étaient un couple, alors sa version des choses pourrait coller.

- « Je parlais du seul jour de tournage où je ne verrai pas Dupain-Cheng ! »

Ça y est, elle recommence à casser du sucre sur le dos de Marinette.

- « Tu te rends compte qu'elle a assisté à plus de séances que mon propre agent ?! C'est une horreur ! Tout comme mes cheveux, d'ailleurs. »

Sa coiffeuse se contente de hausser les épaules, me tirant un léger sourire. Chloé peut cracher son venin sur Marinette, c'est moi qui la conviais à chacun des tournages. Rien que de voir les étoiles dans ses yeux à la vue de tous ces costumes me suffisent, quitte à subir les remarques de mon amie d'enfance.

Les dernières scènes sont plutôt longues. Elles paraitraient moins longues si Chloé voulait bien jouer son rôle de jeune fille pauvre au lieu d'admirer ses ongles toutes les dix secondes. Par chance, aucune scène de baiser ne figure au programme. Les spectateurs devront attendre une nouvelle saison avant de nous voir en couple, fictivement bien sûr. A croire que c'est une stratégie commerciale pour accroître l'engouement des fans.

Lorsque le réalisateur crie enfin « Couper ! », tout le monde souffle un bon coup avant de se féliciter pour le merveilleux travail de ces dernières semaines. Je balaie d'une traite l'invitation à boire un verre en équipe, promettant de participer au prochain. Pour le moment, la seule envie qui m'anime est de rentrer au studio de Marinette pour lui souhaiter la bienvenue parmi…parmi moi ?

J'ai du mal à réaliser qu'elle va passer la majeure partie de son temps à mes côtés, que ce soit pour m'habiller lors de mes apparitions publiques ou bien lorsque nous nous transformerons pour combattre le mal ! Je suis très certainement le plus chanceux des hommes.

Une fois descendu dans l'accueil de l'immeuble, je m'enfuis par la porte de secours et me dissimule derrière des bennes à ordures.

- « Plagg, transforme-moi ! »

- « Depuis quand les kwamis sont-ils devenus des taxis ambulants ? » Geint-il avant d'être aspiré dans ma bague.

Désormais affublé de mon costume de Chat Noir, je fends les airs en direction du Trocadéro. L'air se rafraîchit dernièrement, signe de l'automne qui approche à grands pas. Je profite du trajet pour admirer la vue de la capitale. Il faut avouer que la plupart du temps, je n'y prête pas attention, beaucoup trop concentré sur la silhouette de ma partenaire en plein action.

A l'approche de mon but, deux silhouettes longeant le trottoir attirent mon attention. Je me pose alors sur un toit à proximité et les observe en silence. D'un côté, Marinette marche doucement, une main plaquée contre sa bourse rose brodée de ses initiales. De l'autre, Yan, vêtu d'un sweatshirt gris et d'un pantalon slim noir, hoche sensiblement de la tête au fur et à mesure que son interlocutrice lui parle. Il porte dans ses bras une énorme caisse en carton.

Qu'est-ce qu'il fiche encore ici, celui-là ? Je pensais qu'il était tombé amoureux de ma Lady suite à son akumatisation. Et même si cette situation ne me plaît pas davantage, elle a au moins le bénéfice de ne pas les réunir aussi souvent qu'auparavant. Au bout de quelques minutes de conversation, ils finissent par se quitter au pied de l'immeuble de Marinette. Elle lui adresse un sourire et un signe de main qui a le don de titiller ma jalousie.

Une fois que cet énergumène est sorti de mon champ de vision, je descends dans la ruelle la plus proche et me dissimule derrière des bennes à ordures.

- « Plagg, détransforme-moi. »

Je troque mon apparence de Chat Noir pour celle d'Adrien. Mon kwami s'extirpe de ma bague et s'affale sur ma tête, poussant de bruyants grognements.

- « Tu as intérêt à me préparer une montagne de camemberts pour me remercier d'être aussi tolérant. »

- « Tu auras droit à un véritable festin le jour où tu ne râleras plus. »

- « Je préfère encore mourir de faim jusqu'à ta mort en espérant que le prochain Chat Noir soit plus clément. »

Cette remarque me va droit au cœur.

Impatient de revoir le sourire de ma belle, je m'empresse de m'engouffrer dans l'immeuble et de rejoindre l'étage de Marinette. La gardienne de l'immeuble que je croise dans le couloir affiche un large sourire lorsque je pose mon regard sur elle. A force de trainer dans les parages, les voisins ont pris l'habitude de me saluer. Certains n'hésitent pas à m'interroger sur ma présence, comme si une « célébrité » ne pouvait pas côtoyer les lieux publics.

Au pas de la porte, je me racle la gorge, recoiffe une mèche rebelle et frappe deux coups sur le bois plein.

- « J'arrive ! » S'écrie Marinette avant de déverrouiller la porte d'entrée. « A-Adrien ? »

Ses joues rosées et ses yeux écarquillés m'arrachent un rire non contenu. Elle s'écarte pour me laisser entrer dans le studio, toujours en désordre.

- « Surprise ? »

Marinette referme la porte après mon passage et s'adosse à celle-ci.

- « Disons que je ne t'attendais pas avant un moment. »

Ni une, ni deux, Plagg surgit de mon blouson et se poste à quelques centimètres du visage de ma belle.

- « Dis-moi que tu as du fromage, toi. » Gémit-il.

- « Plagg ! » Je le gronde en le tirant par la queue.

Mon kwami se retourne vers moi et tente de la récupérer.

- « Bah quoi ? Si je ne peux même pas demander à Ladybug de s'occuper de moi – contrairement à mon maître, alors pourquoi a-t-on fait tout un fromage de ces identités secrètes ? »

Je m'apprête à lui répondre quand le rire de Marinette m'interrompt. Tikki, sortie elle aussi de sa cachette, se contente de soupirer face au comportement de son alter égo.

- « Désolée, je n'ai pas de camembert, mais j'ai du fromage de brie, si tu veux. »

- « Bon Dieu, enfin quelqu'un de professionnel, ici. »

Tandis que Marinette s'affaire à préparer un plateau de fromages à mon glouton de kwami, je m'installe à la table de la cuisine, le visage entre les mains.

Devrais-je lui entamer le sujet de Yan ? Après tout, Marinette m'a choisi il y a plusieurs jours, je n'ai rien à craindre, n'est-ce pas ?

- « Marinette ? »

Surprise, celle-ci se cogne le sommet du crâne sur le frigo et étouffe un gémissement de douleur. Je ne peux m'empêcher de rire discrètement.

- « Oui ? »

J'attends cette fois qu'elle ait déposé et découpé le fromage sur une planche en bois pour entamer la discussion.

- « Comment s'est passé ta dernière journée ? »

Marinette me désigne une caisse en carton remplie à ras bord au pied de son lit.

- « Voilà le résumé d'un an de travail chez Agreste. »

- « J'espère que tu es prête pour les prochaines années auprès de Môsieur Agreste. »

- « Ce n'est pas comme si j'avais déjà passé des années avec toi sans le savoir. »

Elle marque un point. Mais revenons sur le sujet de la caisse.

- « Tu as réussi à tout porter toute seule ? »

Je tâche d'être le plus convainquant possible. Marinette croise mon regard et penche légèrement la tête.

- « Yan est passé m'aider. Il l'a porté jusqu'ici puis je me suis occupée du reste. »

- « Oh…et comment il va ? »

Elle lève immédiatement les yeux au plafond.

- « Adrien…Comme si tu t'intéressais à ce qu'il devenait. Tu l'as renvoyé, il ne va pas péter la forme ! »

- « Je sais, je sais ! » Je réponds brusquement, de peur de l'avoir froissée. « C'est juste que… »

C'est juste qu'il est tombé amoureux de ton autre identité. Marinette pousse un bruyant soupir et fuis mon regard.

- « Il est simplement passé au bureau car il voulait savoir comment j'allais après la révélation du fameux couple Adrien et Ladybug. Il pensait que je serais toute retournée après t'avoir vu me tourner au tour à la boite de nuit, l'autre soir. »

Cela me semble cohérent. Après s'être rendu compte que je lui avais de nouveau volé la femme de ses rêves, Yan a décidé de retourner voir Marinette. Décidément, je ne l'aime pas du tout ce type.

- « Et comment ça s'est passé ? »

Cette fois, Marinette se redresse et me regarde franchement dans le blanc des yeux.

- « Ne compte pas sur moi pour tout te raconter. Si nos identités ne sont plus un secret, j'aimerais en garder quelques-uns pour moi. »

Sa remarque cinglante me coupe le souffle. Il n'est pas habituel que Marinette réagisse de la sorte, sauf quand on parle du sujet « Rose ».

- « Tu fais allusion à Rose, c'est ça ? Je t'ai déjà expliqué que mon père attendait des résultats et que j'ai déjà donné des contacts à Rose pour qu'elle puisse de réinsérer facilement. »

Mon explication, comme à chaque fois que nous abordons ce sujet, ne lui convient pas. Marinette croise les bras sous sa poitrine, fronce les sourcils et fixe la planche en bois, vide depuis un petit moment.

- « Elle a été refusée partout où tu l'as conseillée. »

- « Mari, je ne peux rien n'y faire. C'était ça ou le licenciement pour faute grave. Et tu sais aussi bien que moi que ça aurait empiré la situation. »

S'en suivent de longues minutes de silence qui me paraissent durer des heures. Je déteste me disputer avec elle, mais sur ce point, nous avons beaucoup de mal à nous accorder. Marinette a toujours eu ce sens aigu de l'amitié et moi…moi je n'ai pas le choix de suivre les envies de mon père.

Un grincement brise le silence, Marinette s'est levée de sa chaise pour déposer la planche dans l'évier. Je songe à la rejoindre pour apaiser les tensions quand soudain, la fenêtre derrière le lit de Marinette éclate en mille morceaux. Nous sursautons tous les deux et reculons contre un meuble. J'en profite pour glisser une main dans le bas de son dos.

- « Ladybug… »

Une forme humanoïde traverse l'encadrement de la fenêtre et balaie d'un coup de pied les débris dans tout le studio. Un akuma, ça faisait longtemps…A première vue, c'est un homme recouvert d'une sorte de glue bleue et aux bras décorés de nageoires.

Affichant un large sourire démoniaque, celui-ci pointe Marinette du doigt et grogne :

- « Ladybug. »