Voila je vous présente ma première Fanfiction j'espère qu'elle va vous plaire et que les fautes d'orthographe ne seront pas trop gênantes. ^^

ce début est un peu cours mais la suite sera plus longue ^^

John était assis sur son vieux fauteuil, à lire le journal du matin. Il était presque midi et Sherlock n'était toujours pas rentré. C'était dans les moments comme ça, où Sherlock était dehors à traquer les criminels, et que John était seul dans l'appartement, qu'il se demandait ce que le détective éprouvait durant ces moments. Si l'adrénaline qu'il sécrétait était différente lorsque John était absent. Si la fierté qu'il ressentirai à la fin de l'enquête serai la même. Et surtout il se demandait si lui aussi aurait les capacités de résoudre une enquête seul, comme son ami. Mais à cette pensée, John souris bêtement, il savait que sans Sherlock il aurait beaucoup de peine à clore une affaire. Il chassa alors ces pensées en entendant son estomac gronder. Il était temps de préparer le repas.

Cela faisait maintenant deux heures que John avait finis son déjeuné et Sherlock était toujours absent. Quand il entendit la cinquième marche des escaliers grincer. Il reconnus le déplacement léger de son colocataire. Il ne se retourna pas lorsque celui-ci fit son entré dans la pièce.

« - Comment c'est passé ton enquête ?

-Elle était plutôt banal, c'était évident ... dit le détective d'un ton ennuyé

-Pourtant tu es dessus depuis 8h ce matin et tu ne rentres que maintenant. Fit remarqué John

-Disons que j'ai eu un peu de mal à retrouvé la scie qui à permis au tueur de découper les cadavres..

-Donc elle n'était pas si évidente. »

La remarque de John fit mouche auprès du détective, qui se sentit vexé. Il arbora un visage choqué en direction de son colocataire. John qui s'attendait à une réponse, s'étonna du silence du sociopathe et jeta un regard à celui-ci.

« Quoi ? Qu'est ce qu'il y a ?

-John, Je viens de résoudre un triple homicide en moins de 6h, dont 2h allé-retour et 3h de recherche pour cette foutue scie. Je pense donc en effet que cette enquête fut simple ! »

Sherlock était surpris de la réaction de John. Certes cette enquête n'était pas des plus fascinante mais le médecin l'avait habitué à des réactions plus admirative. Et pour seul réponse il avait eu un haussement d'épaules.

« Tu doutes de mes capacités ?

-Mais bien sure que non … Je dit juste que tu frimes un peu trop pour une affaire qui t'as pris une heure de réflexion et trois heures de recherche

-Tu penses pouvoir faire mieux ? Cracha Sherlock.

-Je ne dis pas ça non plus … Mais pour ce genre d'affaire tu ne devrais pas prendre la grosse tête

-Je ne prends pas la grosse tête ! S'indigna Sherlock. Je donne mon avis sur une affaire, qui je pense n'aurais pas nécessité mon intérêt, même toi tu aurais pu la résoudre !

-Pardon ?

-Même toi tu aurais pu la résoudre tellement la difficulté était …

-Qu'est ce que tu entend par là ? Le coupa John, Que je ne pourrais pas m'occuper d'une affaire compliqué ? Que je suis trop stupide pour résoudre une affaire seul ?

-John, voyons, Tu sais bien que tu n'est pas le seul.

-Le seul ?

-A être stupide. La plupart des gens le sont. Ce n'est pas une honte, c'est un fait. Et puis c'était quand même un triple homicide. Donc techniquement tu es moins stupide que ces incompétents de Scotland Yard. »

Sherlock avait balancé ces mots sans réfléchir. Il ne voyait pas qu'intérieurement John était en train de bouillonner et qu'il ne pensait qu'a mettre son poing dans son jolie visage de détective. Malheureusement pour lui son colocataire ne voulait pas laisser passé cet affront. John en avait assez d'être constamment au coté du détective, à l'observer enquêter et l'admirer lorsqu'il avait finis. Il voulait prouver à son colocataire qu'il n'était pas aussi stupide qu'il le pensait. Mais il voulait surtout, pour une fois, que Sherlock l'admire et le complimente.

« Je suis sure que je peux résoudre une affaire aussi bien et vite que toi. S'énerva John

- Je ne doute pas qu'avec mon aide ...

-Non je parle de sans ton aide, Sherlock. Je ne suis pas aussi stupide que tu ne le pense et je compte bien te le prouver ! »

Il mêla sa parole par un acte, et pris le journal du matin. Il se souvenu de la disparition d'un jeune barman et flanque l'article sous les yeux étonnés du sociopathe. Et d'un air déterminé déclara qu'il allait résoudre cette affaire et retrouver le jeune homme. Il embarqua sa veste et disparu aussi vite que Sherlock lors d'une affaire de serial killer. Le détective se retrouva seul dans le salon. Il ne comprenait toujours pas ce qu'il avait dit de mal, mais il décida d'attendre le retour de John et d'aller prendre un bain.

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