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et encore un peu
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INCEST LEMON RELATION AMOUREUSE ET SEXUELLE AVEC DETAIL ENTRE DEUX FRERES !!!
si vous êtes toujours la vous pouvez lire
Plus que des frères
C'était le milieu de la nuit. Ça, il en était sûr… Alors pourquoi le téléphone sonnait-il ?
C'est au moment où Don se posait cette question qu'il se rendit vraiment compte que la sonnerie du téléphone déchirait la pièce. Il décrocha précipitamment. Ce n'était jamais bon signe, quand on appelait un policer en pleine nuit...
« Allô ? »
Il fut surprit d'entendre son père.
« Don, c'est Papa… »
« Papa ? Qu'est-ce qui se passe ? Il y a un problème ? »
D'une voix paniquée, le patriarche répondit :
« C'est ton frère… »
Le cœur de Don s'arrêta de battre.
« Je ne sais pas où il est, il n'est pas rentré ! Je ne sais pas où il est, Don ! Il a dit ce matin qu'il rentrait à l'heure pour le dîner et il n'est pas venu… J'ai commencé à m'inquiéter il y a une heure. J'ai parlé à Larry et à Amita... Ils ne l'ont pas vu… »
« D'accord, Papa, j'arrive… »
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Don se força à ralentir. Ça ne servirait à rien d'avoir en plus un accident. Où pouvait être Charlie ? Il ne s'absentait jamais sans le dire. Il prévoyait toujours tout et appelait toujours pour prévenir d'un retard, même si ce n'était que cinq minutes.
Et là, ce soir, il y avait des heures que personne ne l'avait vu, personne ne savait où il se trouvait…
Il se mit à accélérer. La peur lui étreignait le ventre. Un souvenir lui traversa l'esprit. Il devait avoir 10 ans, à l'époque. Ils se trouvaient dans un parc avec toute la famille. Sa mère lui avait demandé de surveiller son frère. Il ne l'avait pas lâché des yeux mais, malgré cela, le garçonnet avait réussi à s'échapper. Il avait cru mourir de peur.
C'était exactement ce qu'il ressentait en ce moment : il avait peur - très peur. Mais ses sentiments pour son frère étaient très différents de ce qu'ils étaient à cette époque. Son cœur se serra. Il ne devait pas penser à ça alors que son frère était peut-être en danger.
Il se gara vivement dans l'allée et monta les marches du perron. Il entra en trombe dans la maison, faisant sursauter son père.
« Don, fais quelque chose, je t'en prie ! J'ai téléphoné partout… »
Malgré sa propre peur, il tenta de rassurer son père :
« Calme-toi, Papa ! Où est-ce qu'il passait la soirée ? »
Alan secoua la tête. Son visage était défait. L'inquiétude se peignait sur ses traits.
« Il a passé la soirée avec Amita… »
Le cœur de Don se serra, mais Alan ne le remarqua pas. Il continuait, agité :
« Je l'ai appelée. Elle m'a dit qu'il était parti de chez elle bouleversé, il y a des heures… »
« Pourquoi bouleversé ? »
« Je ne sais pas... Je crois qu'il s'est passé quelque chose entre eux. Elle n'a pas voulu m'en dire plus… Il est 3 heures du matin, Don ! Où peut-il être ? »
Don tenta de réfléchir, mais il n'y parvenait pas. Comment penser alors qu'il avait déjà du mal à respirer ? Machinalement, il décrocha son téléphone.
« David ? C'est Don. J'ai besoin que tu lances un avis de recherche…»
Il se tourna vers son père.
« Il est parti à pieds ou à vélo ? »
Alan le regarda, plein d'espoir.
« A vélo… »
« Charlie n'est pas rentré. Il est parti de chez moi en début d'après-midi pour aller chez Amita et personne ne l'a vu depuis. Son portable est en dérangement. Je suis inquiet. Lance une… »
Don écouta un instant.
« Oui, tu as tout compris ! On se retrouve dans dix minutes au bureau… »
Le patriarche attrapa sa veste.
« Je viens avec toi… »
« Non, Papa ! Il vaut mieux que tu restes ici au cas où il rentrerait. »
« Don, arrête, je sais bien qu'il ne rentrera pas maintenant ! Si tout allait bien, il m'aurait prévenu… Alors je viens avec toi ! »
Un silence pesant régnait dans la voiture. Les pensées de Don tournaient dans sa tête. Que ferait-il sans son frère ? Son cœur s'arrêta de battre. Il ne pouvait pas imaginer de le perdre.
L'amour qu'il lui portait était trop fort, et c'était là le problème. Lui qui avait vraiment cru en avoir fini avec tout ça ! C'était seulement quand Charlie avait commencé à s'intéresser à Amita qu'il s'était rendu compte que rien n'avait disparu. Et puis un sentiment de jalousie s'était insinué peu à peu en lui…
Il avait eu du mal à l'accepter, mais il n'avait rien pu faire pour l'empêcher.
« Don, c'est vert… »
Don releva la tête et croisa le regard de son père. Il se sentit mal. Comment pouvait-il penser à tout ça alors qu'Alan était là ?
Il démarra et dépassa encore une fois les limitations de vitesse. Ils arrivèrent très vite au bureau fédéral.
David se jeta sur son collègue dès qu'il le vit entrer :
« J'ai cherché à le localiser avec son portable, mais rien à faire… »
Don ne parvenait toujours pas à respirer. David continuait :
« J'ai lancé une recherche dans tous les hôpitaux du coin. On attend les réponses. »
Alan commença à paniquer :
« Les hôpitaux ? Vous croyez que c'est si grave ? »
David attendait que Don réponde, mais celui-ci était pâle et ne semblait pas capable d'organiser ses idées :
« Non, c'est la procédure ! Normalement, on ne devrait même pas le faire maintenant… »
« Quoi ? Pourquoi ? »
Don sembla reprendre pied :
« Parce que c'est un adulte, qu'il est libre d'aller où il veut et que ça ne fait pas 24h qu'il a disparu. »
« David, cherche dans les fichiers de la police ! Je m'occupe des hôpitaux… »
Les minutes passaient. Don avait appelé la plupart des services de médecine. Il était soulagé, bien sûr, de n'avoir rien trouvé, mais…
« Don, j'ai quelque chose ! »
Il se leva vivement et rejoignit son ami à son bureau :
« Un homme correspondant au signalement de ton frère a été impliqué dans un accident sur la 9ème. »
« Il est blessé ? »
« Je ne sais pas. »
Don attrapa sa veste et fila au parking.
Quand il arriva dans la 9ème rue, il ne vit d'abord que des gyrophares.
La police, et puis l'ambulance…
Il sortit de la voiture aussi vite qu'il put et il chercha son frère. Son cœur battait à tout rompre. Sans qu'il sache pourquoi, les larmes commençaient à perler à ses yeux. C'est a ce moment la qu'il l'aperçut, assis à l'arrière de l'ambulance. Son petit frère allait bien. Le soulagement fut tel qu'il vacilla. Il s'empêcha de se précipiter vers son petit frère. S'il le faisait maintenant il ne pourrait pas résister, il le prendrait dans ses bras et le serrait jusqu'à l'étouffer, l'embrasserait, lui dirait à quel point il l'aimait et à quel point il avait eu peur. Il inspira profondément. Reprenant ses esprits, il observa Charlie. Ses vêtements étaient sales. L'ambulancier lui bandait la main gauche. De l'autre côté de la rue, une voiture était écrasée contre un arbre. Le vélo de Charlie gisait au milieu de la rue, en miettes.
Bien que son cœur battait toujours aussi vite mais il se sentait plus calme.
Quand Charlie le vit, il se leva. Don le prit dans ses bras. Bien qu'il se soit juré d'y aller doucement, il ne put s'empêcher de le garder ainsi contre lui sans un mot.
Charlie s'écarta vivement et plongea ses yeux dans ceux de son frère.
« Don, il a été enlevé… »
L'aîné fronça les sourcils.
« Qui ? »
« J'en sais rien - un gamin ! Je roulais à vélo quand la voiture grise, là… » (Il désigna la voiture accidentée dans l'arbre.) « a fait une embardée. Un pick-up l'a poussée hors de la route. J'ai dû l'éviter et je suis tombé. Un homme est sorti et a obligé un gamin à monter dans sa voiture… »
Don mit à peine quelques secondes pour réorganiser ses idées.
« Tu as la marque de la voiture ? »
Avec un sourire, Charlie débita une série de lettres et de chiffres :
« Tu as mémorisé la plaque ? Alors que tu étais par terre juste après un accident ? »
Les deux frères échangèrent un long regard, jusqu'à ce que l'ambulancier tousse, légèrement gêné.
« Monsieur Eppes, s'il vous plaît… Je voudrais finir mon bandage. »
« Ah oui, pardon ! »
A peine descendu de la voiture de David, Alan se précipita vers ses enfants.
« Charlie, que s'est-il passé ? Tu es blessé ? »
Il prit sa main bandée dans la sienne.
« C'est grave ? »
« Non, Papa, ça va… »
Alan se tourna vers l'ambulancier.
« C'est vrai ? »
« Oui… »
Il ajouta en ce tournant vers son patient :
« Les nerfs ne sont pas touchés, mais il va falloir changer le pansement régulièrement et vous viendrez demain faire une visite de contrôle à l'hôpital. »
« Merci. Je viendrai. »
« Que peux-tu me dire de plus, Charlie ? Tu pourrais reconnaître celui qui a enlevé le gamin si on te montrait des photos ? »
« Oui oui, je peux ! Le petit a quinze ans environ. Il portait un jean et un pull blanc. L'autre, celui qui l'a fait monter dans la voiture, a à peu près vingt ans et portait un pantalon noir et une chemise. La voiture était verte… »
Don se tourna vers David.
« Un enlèvement. On a le matricule de la voiture. Je ramène mon petit frère à la maison et je te rejoins au bureau… »
A peine avait-il fini sa phrase que le petit frère en question protestait :
« Quoi ? Non non, je viens avec vous ! Je peux vous aider ! »
« Tu n'es pas en état, et… »
« Je suis le seul à pouvoir identifier ce type. »
« On a le matricule de la voiture. On… »
« Je viens, Don ! »
L'aîné jeta un coup d'œil à son père et soupira :
« Très bien. Rendez-vous au central. »
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Au petit matin, Charlie se trouvait toujours dans les bureaux du FBI. Il se tenait devant le tableau dans la salle de conférence, étudiant toutes les données de l'accident.
Don entra. Il avait l'air fatigué et inquiet. Derrière lui, toute l'équipe suivait, ainsi qu'un homme et une femme. Il comprit tout de suite qu'il s'agissait des parents du jeune homme. La maman était en pleurs et le père semblait anéanti.
« Charlie, voici Monsieur et Madame Andantis. C'est leur fils William, âgé de dix-sept ans, qui a été enlevé. Monsieur et Madame Andantis, voici mon frère, Charlie Eppes. »
La maman se précipita vers le mathématiciens alors que David refermait la porte et que les autres s'installaient.
« Vous avez vu mon fils ? Est-ce qu'il allait bien ? Est-ce que James l'a brutalisé ? »
Charlie fronça les sourcils et jeta un coup d'œil à son frère. Il avait baissé la tête comme s'il était sûr que ce qui se dirait après ne lui plairait pas du tout. Il posa tout de même la question :
« James ? »
La mère fondit en larmes dans les bras de son mari qui, d'une voix grave et cassée murmura en évitant tous les regards:
« James est notre fils aîné. Il a vingt ans. Nous l'avons chassé de la maison il y à peu près 3 mois… »
Charlie posa ses fesses sur la table à côté de lui.
Don fuyait son regard. Il semblait perdu.
« Il… il… il a fait du mal à son frère. »
La tension dans la pièce était palpable. Charlie savait qu'il ne devrait pas demander plus, mais il ne put s'en empêcher :
« Comment… »
La mère essuya ses yeux rougis :
« Nous somme rentrés plus tôt que prévu d'une soirée… Et nous les avons surpris… »
Un sanglot lui déchira la gorge.
« Ils étaient dans le même lit… Ils… ils… »
Monsieur Andantis pris sa femme dans ses bras et puis il murmura :
« James a fini par nous avouer que ça faisait quelques mois que ça durait. Il est fou et a entraîné son jeune frère dans sa folie. Nous lui avons laissé le choix: soit il se faisait soigner et interner soit il quittait notre maison pour toujours. C'est ce qu'il a fait. »
« Bien sûr, au départ, Will n'allait pas bien. Je crois qu'il ne comprenait pas. Il ne sait pas que son frère est un monstre. Il a commencé par nous dire qu'il l'aimait… »
« Mais nous avons réussi à le ramener dans le droit chemin, grâce à Dieu et à nos prières. »
« Et aujourd'hui ce monstre m'a enlevé mon fils… »
Sans même s'en rendre compte, Charlie avait resserré sa main droite sur la craie qu'il tenait. Il fit sursauter tout le monde quand celle-ci céda sous la pression dans un craquement sinistre.
Don releva alors la tête pour fixer son cadet. Mais il détourna le regard. Le mathématicien lâcha la craie et sortit de la pièce rapidement.
« Charlie… »
Don se leva précipitamment pour suivre son frère dans un bureau vide. Celui-ci ne tenait pas en place. Il marchait de long en large dans la pièce. À peine Don eut-il refermé la porte qu'il murmura :
« C'est différent, Charlie… »
La peine - ou peut-être la colère - perçait dans la voix du plus jeune.
« En quoi ? »
« Il a dix-sept ans, et ça fait… »
Sans regarder son frère, Charlie l'interrompit, la voix pleine d'émotion :
« J'en avais seize, Don, la première fois qu'on a fait l'amour. J'avais seize ans… »
« C'est différent, Charlie… Moi, j'ai des sen… »
Don s'était arrêté brusquement. Il soupira :
« C'était plus compliqué pour nous… »
« Qui te dit que ça ne l'est pas pour eux ? »
Charlie replaça le bandage de sa main et murmura :
« Si les parents avaient appris... S'ils avaient voulu t'éloigner de moi... Tu ne serais pas venu m'enlever en pleine rue ? »
La voix de Charlie était anéantie. Il connaissait déjà la réponse.
« Non, je ne l'aurais pas fait… Nous avons conclu à cette époque que tout cela était une erreur… »
« Tu as conclu, Don ! Je n'ai pas eu mon mot à dire ! »
Son aîné le fixait, refusant de comprendre. D'un pas vif, Charlie retourna dans la salle de réunion. Il ramassa ses affaires.
« Je ne m'occuperai pas de cette affaire ! »
Il boucla sa mallette au moment où Don entrait et il sortit sans même ralentir quand son frère hurla :
« Charlie ! »
a suivre...
voilà sa vous a plus la suite si vous aimez ! dans le prochain chapitre lemon
