Disclaimer: Aucun des personnage du livre Da Vinci code écrit par Dan Brown ne m'appartiens (dommage, j'aurais bien en avoir un...). Seul le personnage de Véluka Maryann Watson m'appartien et est ma création personnelle.
Explication de cette Fic: C'est fic estma version personnelle du livre de Dan Brown avec quelques petits ajouts de ma part. L'histoire est presque la même (dû aux ajouts) et les personnages sont exactement les mêmes que dans le livre (sauf Véluka)
Chapitre premier
Une porte s'ouvre en laissant un faible rectangle de lumière qui éclaire toute cette pièce si vide où seulement une commode et un lit, où dort un homme, meuble cette chambre. Une ombre se glisse sans bruit vers le lit. Elle sait qu'il n'y a qu'un geste à faire, qu'un petit geste pour qu'enfin tout soit fini. L'ombre lève une main tenant une arme et au moment où l'arme allait s'abattre pour commettre le geste final, l'homme se tourne et montre ainsi son visage que ses cheveux et une peau si blanche fait presque rayonner dans la noirceur de cette pièce.
Je ne peux accomplir ma tâche de cette façon, pas s'il me fait face, pensa l'ombre.
Elle rangea donc le poignard dans la poche intérieure de son manteau et repartie comme elle était venue. Une conuméraire qui cherchait le sommeil, vît par sa fenêtre une jeune femme s'enfuyant de la résidence qui se trouvait sur la rue La Bruyère, l'endroit même où se trouvait l'homme qu'elle devait éliminer à tout prix, sinon le précieux secret risquait de se perdre à jamais.
Le lendemain matin, l'homme à la peau d'une blancheur étonnante se réveilla avec le sentiment d'avoir évité quelque chose d'horrible. C'est au même moment que le téléphone mobile qui lui avait été donné par un mystérieux homme sonna.
- Oui Maître, répondit l'albinos.
- Silas, les choses ont un peu changés, dit celui qui se faisait appeler le Maître. La fraternité est au courrant de nos agir et on dépêché quelqu'un pour te mettre hors d'état de nuire. Il faut que tu sois deux fois plus prudent. À présent, je te laisse faire ce que tu as à faire.
silas n'entendit que le son de la tonalité. Le Maître avait raccroché. Il rangea son téléphone dans la poche de la robe de bure qui était pliée sur sa commode et se rendit compte que son intuition ne l'avait pas trompé; il avait belle et bien évité une chose horrible…sa propre mort.
C'est l'heure qu'enfin la volonté de Dieu soit faite, pensa Silas. Il venait tout juste de finir sa prière et il était en train de revêtir sa robe de bure et pris son Heckler & Koch USP 40 à treize coups que le Maître lui avait donné ainsi qu'un morceau de papier avec quelques lignes inscrites dessus et les mis dans la poche de sa robe, avec le téléphone mobile.
- Je suis persuadée que c'est ce soir qu'ils vont agir, dit la jeune femme au téléphone.
- Véluka Maryann Watson, je vous interdis de faire quoi ce soit d'irréfléchie, lui répondit une voix masculine. Peu importe ce qui se passe ce soir, tenez-vous en à ce que nous avons décidé et surtout, ne laissez pas la précieuse vérité se perdre. Depuis trop longtemps nous la préservons, alors ce n'est pas le moment de mettre fin à neuf siècles d'espérances. Vous êtes notre dernière défense et s'il nous arrive quelque chose, il est de votre devoir de continuer notre œuvre.
- Je le sais très bien, mais faite attention à vous Saunière.
La jeune femme raccrocha et se dirigea vers le miroir de sa salle de bain.
Ma pauvre Véluka, on dirait qu'il va falloir que tu préviennes les trois sénéchaux pour qu'ils se prépare à un visite non de courtoisie, se dit-t-elle intérieurement.Véluka Maryann Watson était une jeune femme de 18 ans aux yeux d'un bleu profond où on pouvait se perdre longtemps et à la chevelure d'un brun foncé où quelques mèches bourgognes rajoutaient un petit quelque chose à cette dame d'un charme naturel. Ses compagnons d'école évoquaient souvent qu'il y avait un certain mystère autour de Véluka. Ils ne savaient rien de sa vie personnelle sauf qu'elle était britannique de naissance que dès l'âge de 10 ans elle avait quitté sa Londres pour Paris et qu'elle aimait beaucoup quelque chose qu'elle appelle la Grande Déesse. Elle disait que c'était la raison de son tatouage sur l'omoplate gauche ; une lune et un pentacle. Ce que pendant des années elle servait et protégeait était en grand danger et c'était maintenant à elle, comme l'avait fait des centaines de personnes lors des siècles passés, de tout faire pour que la grande vérité ne tombe pas entre les mains de l'Église.
Silas gara l'Audi noire que le Maître lui avait procuré devant le Louvre. C'est ici que se trouvait la dernière personne inscrite sur le morceau de papier que le Maître avait envoyé quelques jours plutôt. Il entra dans le Louvre bien déterminé à accomplir sa tâche divine.
Silas écouta patiemment Saunière lui dire où se trouvait la clé de voûte. Quand il eu tous les renseignements, il leva sin arme, tira sur Saunière et le toucha à l'estomac.
Véluka, il faut que tu protège le secret. Je crains que tu sois la dernière au courrant de tout, pensa Saunière juste avant de prendre l'initiative de laisser quelques indices à sa petite-fille Sophie au cas où Véluka ne réussirait pas.
