Et ouuuuuuuuuuaiiiiiis... j'ai fais un petit changement dans le texte, un échange avec Lukas et Alex *le problème d'Alex allait mieux à Lukas et vice-versa* alors voilà :D mais ce n'est qu'un petit changement de rien du touuuuut alors c'est pas grave *pas taper j'ai déjà assez de bleus avec le volleyball en cours *.
Et ouep, c'est fait exprès que ce soit incompréhensible ! :D
Le soleil le réveilla lentement. Il n'avait pas fermé ses volets hier soir, trop pressé de s'emmitoufler dans sa couette bien chaude. Sa fenêtre était ouverte, elle aussi. Il n'avait vraiment rien fait hier soir... Il essaya d'ouvrir les yeux, mais c'était comme s'ils ne voulaient pas voir la lumière du monde. Il tâta à sa droite, cherchant le corps qui le faisait tant rêver et tant cauchemarder. Rien. Un vide. Un froid. Cette fois, il ouvrit les yeux. Bien sûr, il avait l'habitude que son copain se lève plus tôt que lui, mais il avait un mauvais pressentiment.
Alfred se leva d'un bond et quitta sa chambre pour la cuisine. Tout était ouvert : les fenêtres, les portes extérieurs.
- Putain, Arthur, grogna Alfred en fermant la porte de derrière qui se situait dans la cuisine.
La lumière l'éblouit un instant mais ses yeux s'habituèrent vite à la lumière du jour. Le chant des oiseaux résonnait dans la petite maison. Alfred chercha un moment un signe de vie de son copain, mais rien. Plus ça allait, plus il avait peur. Il retourna dans sa chambre et enfila un jean et un tee-shirt qui traînait par terre et sortit en chaussettes dans la rue. Toutes les maisons semblaient sans vie. Une boule grossissait dans son ventre.
- Arthur !
Il avait la terrible impression qu'il s'était passé quelque chose de pas net cette nuit. Et puis, il était quelle heure ?
- Arthur !
Il n'avait pas pu aller bien loin, il n'allait jamais très loin sans lui. Des larmes coulèrent de ses yeux et glissèrent sur ses joues.
- Holy shit, Arthur, where are you !
Alfred courut jusqu'à sa table de chevet où il y récupéra son téléphone portable. Aucun message. Aucun appel. Il tapa rapidement son code et appela Nayden. Complètement paniqué, il tournait en ronde dans la chambre. Oui, il devait être chez Alex, ou du moins avec Alex. Oui, obligé...
- Ruuuumhhhm... hallo ? demanda une voix ensommeillée.
- Nayden ! Nayden, Arthur est chez toi ? cria Alfred en ouvrant le rideau de la baignoire.
Personne.
- Cris pas, merdeeeuh... Alex n'est pas là... Alex n'est pas là ! Putain ! Alfred !
Alfred bondit et courut à sa voiture, le téléphone portable collé à son oreille.
- Et... Et Nayden ! cria à son tour Mathias. Faut appeler Nayden ! Peut-être qu'ils sont avec Alex...
- J'arrive chez toi, je suis en route.
- OK ! J'appelle Mathias de suite ! лайно !
Ils raccrochèrent en même temps. Alfred en profita pour regarder l'heure.
8:07.
Mathias était en route pour chez Nayden lui aussi. Quand le Bulagre l'avait appelé en lui demandant si Lukas était là, il lui avait répondu qu'il ne l'avait pas vu au réveil et que Lukas faisait ce qu'il voulait, il n'allait pas le retenir enfermer.
- Il a le droit de faire ce qu'il veut, avait-il répondu du tac au tac.
Ce n'est pas que Mathias n'aimait pas Nayden ou Alfred, non, au contraire, il les respectait vraiment. Mais il trouvait qu'Alex et Arthur étaient vraiment de très mauvaises fréquentations pour son amour si fragile. Mais il ne pouvait rien y faire.
- Oui, bien sûre, mais Arthur et Alex ne sont pas là aussi...
Là, Mathias comprit. Lukas pouvait faire ce qu'il voulait, mais pas ces deux hommes-là. Lukas pouvait très bien jouer de sa liberté pour faire de grosses bêtises avec ses amis.
- J'arrive de suite. Hvad fanden!
La maison de Nayden était aussi en désordre que celles des deux autres, voire plus. Nayden savait très bien comment ranger, mais l'envie et la volonté les avaient quitté depuis maintenant longtemps. Nayden avoua avoir cherché des traces d'Alex pendant que les autres étaient sur la route mais il n'avait rien trouvé.
- Moi aussi j'ai cherché...
- Moi je n'ai pas cherché, j'allais pas perdre du temps à chercher, je sais très bien qu'il ne va pas me dire s'il part.
Les autres hochèrent la tête simultanément. La liberté de Lukas lui permettait tout. Après tout, lui seul, il n'était pas réellement dangereux, mais Arthur et Alex...
Ils étaient tous les trois assit sur le canapé. Peut-être qu'ils s'inquiétaient pour rien... Mais Arthur ne sortait jamais seul, jamais sans Alfred et Alex haïssait l'extérieur.
Alfred brisa le silence en éclatant en sanglots, rapidement suivit de Nayden. Seul Mathias ne sanglotait pas. Il ne savait pas ce que s'était de s'occuper de ces deux machines qui déraillaient qu'étaient Arthur et Alex. Et ça, il ne souhaitait jamais le connaître.
Les rideaux étaient tirés et la pièce n'était éclairée que par quelques filets lumineux. Sans savoir pourquoi, Mathias alluma la télévision sur une chaîne d'information régionale. L'écran présentait une maison, grande, monté sur un étage, en campagne. Les sanglots des deux hommes se stoppèrent net. Ils connaissaient tous les trois cette maison.
- ... soir nous supposons. Les Kirkland seraient alors parti se coucher mais quelqu'un entra dans la maison. Il n'y a aucune trace d'effraction et les coups de couteau ont été plantés dans le ventre et on ne constate aucune trace de lutte, on en conclut donc qu'ils connaissaient leurs agresseurs. Personne à part le père et la mère Kirkland n'était à la maison hier soir, les enfants étant tous à une fête.
Mathias jeta un coup d'oeil à Alfred, il semblait sur le point de tomber dans les pommes, sa poitrine avançait et reculait rapidement et Nayden pleurait dans un coussin. Pourquoi Mathias ne pleurait pas ? Pourquoi il ne se rendait pas compte ?
La caméra bougea et ils pouvaient voir les enfants Kirkland près d'une ambulance, en larmes.
- Dylan, c'est vous qui avez découvert le corps ? demanda la journaliste en tendant un micro au blond-roux.
Dylan tremblait juste. Il n'allait pas répondre, ils le savaient très bien. Allistor s'immisça entre son petit frère et la journaliste et commença à hurler des insultes écossaises aux journalistes et aux cameramen. Les journalistes s'éloignèrent.
- On soupçonnerait le dernier Kirkland, Arthur, de ce massacre...
La journaliste se fit couper par les cris des enfants Kirkland. Des hommes sortaient les corps.
Mathias sentit sa poitrine se serrer. Le plus vieux était Allistor, il allait devoir s'occuper de ses petits frères. Ils vivaient tous chez leurs parents -hormis Arthur qui vivait avec Alfred, et Gráinne qui était parti en Irelande. Ce n'était pas possible...
Le Danois reporta son attention sur Alfred. Un filet de lumière passait sur son côté droit et faisait briller ses larmes. Cela faisait bien longtemps qu'il ne jouait plus le héro.
- No, no, no, no, it's impossible... Why...
Alfred se leva du canapé et balança le coussin qu'il venait d'attraper à l'autre bout de la pièce.
- Why ! Just why ? Why him ?
Le téléphone portable d'Alfred sonna et sa respiration s'arrêta. Il montra le numéro de téléphone à Nayden et l'annonça à Mathias.
- Les flics...
Et là, Mathias commença à comprendre.
Tout semblait s'écrouler autour de lui. Il avait l'impression de tomber dans les ténèbres les plus sombres. Tout semblait devenir noir, tomber en miettes. Ce n'était pas possible... Pourquoi ?
Voilà je reviens avec ça ! J'espère que ce n'est pas trop décevant *évite tout objets qui peuvent faire bobo*.
Sinon j'ai une petite histoire en tête, faut juste que je m'y tienne et que je la lâche pas ! :D
Un petit commentaire pour savoir ce que vous en pensez ? :3
Et ouuuuuuuuuuaiiiiiis... j'ai fais un petit changement dans le texte, un échange avec Lukas et Alex *le problème d'Alex allait mieux à Lukas et vice-versa* alors voilà :D
