Bonjour!
Merci d'être sur cette page, cela signifie que mon résumé t'as intéresser^^
Voici une histoire qui a été créée sur la base d'un de mes rêves, le personnage principale est mon personnage favori dans twilight (Seth) et pour ceux qui ne l'aurait pas encore lu, mon autre fanfic (Juste Pour Moi) parle aussi de ce personnage.
Son Rating risque d'évoluer durant sa progression, je ne sais pas où arriver, mais la suite elle arrivera^^
Disclaimer(pas sure que sa s'écrit comme ça): Tout appartien à Stephenie Meyer, sauf l'OMC ainsi que beaucoup de point dans toute l'histoire.
Je parle trop, la meilleur façon de connaitre l'histoire est de la lire,
Bonne lecture^^
Chapitre 1:Introduction
Plonger le nez dans un livre, son esprit vagabondait entre la magie des pages. Assis sur se magnifique canapé blanc, Seth, jeune ado de quinze ans, passait tranquillement ce dimanche de début de vacance d'hiver chez lui, dans sa maison tranquille et déserte. Habiller d'un simple t-shirt blanc comme le canapé et d'une paire de boxeur noir, il mit le marque page dans le livre avant de le refermer sur la magnifique table de verre. Il se leva, en posant ses pieds sur le tapis bleu en dessous de la table, puis continua sa route sur le carrelage blanc lisse, avant d'ouvrir la porte bleue de la salle de bain se trouvant sur le mur blanc derrière le canapé de cuir.
Sa peau bronzée semblait noircir le miroir se trouvant au-dessus du blanc lavabo. Après avoir vidé sa vessie, il regarda l'horloge appendue à coté du téléviseur devant le canapé, et en voyant les aiguilles afficher uniquement 14h30, il décida de monter à l'étage pour utiliser l'ordinateur. Se connectant rapidement à son compte Facebook, il lu les deux trois postes de ses copains de classe, puis son regard passa sur un nom qui apparaissait dans une photo. Pourquoi ce nom n'arrêtait pas de le hanter! Il avait juré de ne plus aimer personne, même lui-même! Il l'avait juré il y a de cela un an...
"Se trouvant littéralement parlant éclater par terre, Seth tentait de reprendre le contrôle de son corps qui avait subit un trop grand coup. Une odeur de plastique bruler lui empêchait de respirer correctement par le nez sans être dégouter"
Le souvenir de cette odeur lui donnait des frissons. Les pneus neufs maudit que ses parents avaient été contraint d'acheter venait de bruler sous l'explosion du moteur. Il entendait les roues qui roulaient encore dans le vide. Il n'avait pas perdu connaissance, il avait tout vu...
"La voiture n'avait rien fait d'étrange, aucun signe prémonitoire, mais surtout, elle revenait à peine du garage. Seth se rappelait que le garagiste avait voulu plus de sous car il avait même changé les pneus même sans une demande de son père, et il lui avait donné les sous en plus, il n'avait pas le temps d'attendre car ils étaient déjà en retard pour une réunion ou toute la famille allait participer."
Maudit était se pauvre garagiste. Seth rigolait pour lui! Tout les sous était revenu à Seth après l'accident, le double même! Pourquoi le destin lui avait accordé cette vengeance? Pas grave! Trois vie, Voila ce que le garagiste n'avait pas pu payer...
"Des flammes brulaient une matière organique, l'odeur lui l'avait fait deviner. Ça main gauche, étalée derrière lui, baignait dans se que sa aurait pu être de l'eau selon Seth, peut être de l'essence, mais en la rapportant à son visage pour s'essuyer le front, il vit seulement dans un second temps qu'elle était rougie de sang."
Rouge, il détestait cette couleur, de un parce qu'elle ne lui plaisait pas s'était dans sa nature, de deux pour cette incident et enfin parce qu'elle réchauffe trop l'ambiance selon lui. Le bleu, sa couleur favorite! Et pas seulement, le blanc est aussi magnifique pour lui! La preuve en était la magnifique maison ou il vivait, bleu, blanc et une cuisine grise, son grand rêve! Le rêve de sa sœur aussi...
"Son habit de bleu et blanc, son préféré, était taché de rouge. Gisant par terre avec son bras droit semblant déboiter, elle avait les yeux renversé par la mort et les pieds crispés par la douleur non existante chez les mortels."
Sue, Harry et Leah, tous partis dans une colonne de fumée. D'après le reste de la voiture, ils l'avaient réconforté en lui disant que le destin l'avait sauvé pour qu'il puisse changer le monde et réduire à zéro tous ces crimes... De bien belle parole! C'est exactement comme dire à un gamin que s'il mange son poisson, il apprendra à nager. Après il coule, il boit la tasse et pleur, comme moi j'ai pleuré ce jour là...
"«- Ils sont morts sur le moment, pas moyen de les ravoir.» Avait dit l'ambulancier après avoir examiné le corps de Sue et celui de Leah, Harry avait brulé car son briquet s'est briser, et en répandant le liquide partout et la voiture avait prit feu."
Sur le moment, Seth avait pleuré dans les bras du docteur qui n'avait rien su faire d'autre que de lui tapoter amicalement le dos. C'était le dernier jour de sa vie où il avait pleuré. Il avait perdu ses parents et sa sœur après avoir perdu ses derniers grands-parents. En étant le dernier représentant de sa famille, tout lui était revenu de droit. Il avait été presque euphorique quand le secrétaire de son père lui avait remit en main les clés de sa compagnie car depuis le début il lui avait appris tout les fonctionnements de cette compagnie postale. En attendant d'être en âge pour pouvoir travailler, Seth fit signer un contrat à la secrétaire, pour prendre sa place jusqu'à ses dix-huit ans.
Seth avait toujours été un enfant qui restait des heures dans sa chambre, à lire, naviguer sur Wikipédia, lire des tas de document qui regardait la compagnie de son père, il étudiait énormément et n'avait pas vraiment d'ami, une preuve de cette évidence était Filippo, s'était lui sur l'image publiée de Facebook. Ils s'étaient rencontrés à l'école, le premier jour d'école de Seth en Italie.
"Il avait déménagé dans la botte d'Europe quelque mois après le décès de ses parents. Étrangement, il avait toujours voulu revenir dans le pays des parents de sa mère (source pleinement inventée par moi-même). Une fois, ils y étaient allé pour une vacance, en pleine été, où il en mourrait de chaud, mais à part la chaleur, le style de vie, la nourriture, la langue, tout lui avait plu !"
Le premier jour, il s'était présenté dans se qu'ils appellent "École Secondaire de premier grade", composé de trois ans, trois putain d'année où Filippo l'avait emmerdé depuis son arrivée. Filippo, était très cherche merde comme aimait dire Seth, toujours prêt à répondre, à trouver le dernier mot et aussi à taper, Après seulement une semaine, Seth avait déjà le tatouage du poing de Filippo sur son bras. Une magnifique ecchymose qu'il avait gardé pour un mois, car elle était renouvelée quotidiennement. Seth avait beau chercher de passé incognito, voir de manquer une semaine d'école, Filippo revenait toujours à la charge. À part ça, la petite poignée d'amis qu'il avait ne comptait que deux personnes, Dominik, un Allemand qui aimait faire l'imbécile pour se faire remarqué, et Edoardo, un gamin de deux ans de moins que lui, mais presque de sa même hauteur.
Seth n'avait aucun problème à supporter Filippo, mais tout lui devint plus difficile quand il remarqua quelque chose de bien étrange. Chaque jour, il ne pouvait s'empêcher de le regarder. Son visage extrêmement ovale l'attirait. Sa peau d'une couleur naturellement bronzée et lisse, était recopiée dans tous ses dessins. Ses longs bras, avec ses doigts d'une magnifique grandeur et minceurs, semblaient appelé les siens. Ça démarche de ses longues jambes, cette démarche que tout le monde critiquait sauf lui, il trouvait ça très spéciale. Pian piano, il comprenait le tout en assemblant tous les bouts de puzzle : il commençait à l'aimer.
D'abord, Seth s'était tourmenter de lui trouver des défauts, quelque chose qu'il aurait pu le répugner. Une année, à la mer, ils s'étaient retrouvés sur la même plage. Seth avait ensuite rêvé toutes ses nuits se magnifique corps torse nu qu'il avait vu, il n'avait rien de magnifique, il était même plus gros que lui, enfin, il avait juste un peu de ventre, mais aux yeux de Seth, sa lui donnait un coté romantique. Habitant en montagne, et n'ayant aucun moyen de transport cette année là, il devait attendre qu'un bus longeait le bord de mer pour pouvoir rentré, et en ses moments d'attente, il épiait se corps bronzé dont son image ne s'effacerait jamais de sa mémoire.
Seth, revenant à la réalité des choses, remarqua que ses yeux étaient encore plongés sur l'image. Filippo venait de faire sa première communion, et habillé d'une chemise rouge enfilé dans un candide pantalon tenu par une ceinture rouge elle aussi. Le cœur de Seth manqua quelque battement. Enfermé dans sa maison, il manquait tous de sa vie, lui, l'orphelin, dont personne ne le savais, était à l'écart de la société. Une douce envie de faire une promenade en scooteur le hantait, il l'avait acheter cette année, il en était fier, et il comptait bien en profiter pour aller voir le coucher de soleil à Montalbano Elicona, la petite ville qui abritait son école, très connue pour son château et sa fête médiévale.
Il se faisait tard quand il vit l'heure affichée en bas de son écran. Il éteignit le tout avant de descendre de l'étage et aller se préparer des pates pour soulagé sa silencieuse faim. Il savait cuisiner presque depuis tout petit. Sa mère aimait bien son attention qu'il prêtait à ses mouvements pendant qu'elle tournait les pates, ou cuisait la viande sur la poêle. Durant son temps libre, essayait toutes les recettes possibles de son livre de cuisine. Il pouvait faire du rôti, lasagne, tartare, etc., bref, presque un petit chef en somme !
Après avoir débarrassé sa table, il vit au loin que le soleil n'allait pas tarder à disparaitre au crépuscule, Il alla rapidement se rhabiller, il prit les clés de son scooteur et parti en direction de Montalbano Elicona.
Filippo rentrait comme chaque soir vers vingt et une heure à la maison, après avoir fait chiez plusieurs personne, casser en toute discrétion la fenêtre d'une vieille qui habitait sa petite ville et après avoir dévisser six vis du vélo d'un type, il rentrait heureux comme toujours.
À Montalbano Elicona, régnait la paix malgré les faits et gestes de Filippo. Il n'était pas presser, de toute façon, demain était Samedi, il n'avait pas d'école. Sa maison était au-dessus d'un petit supermarché et en face de son établissement scolaire. Une route descendait depuis la place principale devant l'église pour aller ensuite jusqu'à l'école, il y avait des escaliers à gauche de la place pour ne pas faire le tour d'un long carré de maison qu'il fallait contourner pour aller jusqu'à la rue du petit supermarché, et Filippo prit le chemin le plus court.
Montalbano est une ville vieille, construite au temps du Moyen-âge, les maisons sont de pierres, les routes très étroites et les escaliers irréguliers. En étant à 920 mètres d'altitude, la neige y tombe parfois d'hiver, et ses escaliers et les route devienne tellement dangereux que personne ne sort. Ce soir il y avait une légère couche d'humidité dû aux restes de la pluie qui avait en partie déjà séchée. Il fallait faire attention à ne pas glisser sur les escaliers en monolithe, car elle pouvait faire très mal.
Rien quand posant un pied sur l'escalier où ruisselait une ligne d'eau, Filippo dû s'accrocher à la barrière latérale pour ne pas tomber. Lentamente, il descendit les marches puis quand il mit pied sur le sol stable, il continua sa route. Les quelques peu de réverbère éclairait à peine le sol, il ne voyait pas plus loin que le bout de son nez. Soudain il cru entendre des pas. En se retournant, il chercha le départ de se bruit. Ses yeux tombèrent sur la gouttière de la maison à coté de lui qui produisait un son à chaque goutte tombant à son ouverture. À moitié rassurer, il continua son chemin. Puis, il n'eu même pas le temps de réagir, un violent coup de poing s'abattu sur sa joue.
Tombant à terre en une fraction de seconde, sa tête frappa violement au sol. Étourdit pour seulement quelque seconde. Il vit au dessus de lui six silhouettes en cercle. Le réverbère n'était pas assez puissant pour éclairer leurs visages, mais le sien était complètement ébloui. Une des silhouettes lui tendis la main, par reflexe, Filippo s'accrocha à lui, puis à moitié sur ses pieds, Filippo perdit son appuis et retomba sur le derrière. Les silhouettes éclatèrent de rire pendant que le visage de Filippo se tordait sous la douleur. Un pied se posa sur son torse et le poussa au sol.
«- Alors, sa fait comment d'être à ma place, hein ? »
Filippo reconnu tout de suite la voix du gamin à qui il avait dévissé six vis du vélo. Il vit qu'il avait un bras dans un foulard. Il avait dû tomber quand le vélo s'était démonté sous son poids. Filippo se mit à rigoler en pensant à la chute qu'il avait fait, et il regrettait de ne pas l'avoir vu. Les traits du visage du gamin se serrèrent, et une main aussi grande que la tête de Filippo le souleva de terre en le prenant depuis la gorge.
«- Hey ! Dit Filippo en s'accrochant à la main. Lâche-moi connard !
-Dis-donc, dit une voix qui semblait beaucoup plus mure que la sienne. Tu veux continuer longtemps à l'emmerder ?
-Wouaw, la mauviette est allée pleurer dans les strings de sa pute de mère, hein ? On a appelé les renforts ? Tu te sens pas minable de laisser faire le travail au autre… »
Un poing en plein vol lui arriva sur le pif et le fit voler par terre. Un violent crac se fit entendre au bout du nez de Filippo, et aussi dans son dos à l'arrivée à terre. Prit de colère, Filippo se releva et fonça sur le gamin les poings serrer, mais avant qu'il ne puisse arriver vers lui, il reçut un coup de pied dans l'entrejambe le faisant tombé à terre car il ne sentait plus ses jambes. Il tremblait au sol en retenant ses larmes qui apparaissait sur les coins de ses yeux. Tout le petit monde rigolait pendant qu'il souffrait. C'était bel et bien la première fois qu'il était à la place de ses victimes.
«- Voyons. Dit le gamin en reprenant son sérieux. Tu m'as enlevé six vis, alors tu auras le privilège de recevoir six coups, un chacun ! »
Filippo avait juste aperçu du coin de son regard le visage du gamin, puis une des autres silhouettes lui passa devant et se rapprocha de Filippo. Dans un silence parfait, Filippo entendit son tibia craquer sous le coup de pied du premier homme. La mâchoire de Filippo se crispa sous la douleur et il reteint son cri. Le deuxième coup lui arriva en plein dans le ventre. Une horrible remontée de suc gastrique sortit de sa bouche. Il cracha le tout loin de lui quand le troisième coup lui arriva sur l'épaule, se qui le fit tomber à terre et souffrir quand son bras si déboita.
Le prochain coup lui arriva dans le dos, moins doulourant que les autres, mais l'avant dernier coup lui écrasa la main, et enfin le coup de grâce arriva de la part du petit, un violent coup dans les burnes. Ils rigolèrent sous le visage de Filippo qui devenait bleu de douleur. Pas du tout délicatement, ils le transportèrent vers un petit cul de sac entre deux maisons où personne ne pourrait le voir. D'une seconde à l'autre, les six silhouettes disparurent, laissant seul Filippo à terre. Sous la douleur des multiples coups, Filippo laissa enfin son sanglot exploser. Pleurant à chaude larme, sa bouche laissait échapper des vague appellent d'aide qui sortait à peine du cul de sac.
L'air était bien fraiche se soir, la route légèrement mouillée de la dernière pluie. Le froid s'éclaffait sur le casque de Seth qui était entrain de monté la petite côte pour arriver à Montalbano. Le soleil ne s'était juste pas couché, s'il se dépêchait il réussirait à voir le crépuscule en entier. En moins de dix minutes il était arrivé vers la place principale du village. Le château se trouve plus haut, et il ne pouvait pas y monté avec son engin. Il tourna à droite, et prit la route qui descend au petit supermarché. En arrivant devant, il fit bien attention à ne posé son visage au premier étage, il ne fit même pas apparaitre son nom dans ses pensées.
Se parquant devant l'école, il remonta la route à peine descendue à grand pas pour arriver le plus vite possible au sommet de la ville. Montalbano avait toujours été une ville calme, les gamins jouait toujours ensemble, il avait même vu six ombres à la place devant l'église. Jouer à cette heure là était normale, les gens reste souvent dehors très tard le soir. Devant un réverbère, une flaque, d'eau ? Une odeur circulait dans l'air, elle ne provenait pas du liquide par terre, mais quelque chose qu'il connaissait. Arrivé un peu plus haut, l'odeur se faisait plus forte. En reniflant comme un chien l'air, il suivit cette étrange ligne imaginaire de parfum… Voilà ! S'était un parfum !
En essayant de se rappeler où il l'avait senti, il se souvint de Filippo. S'était son parfum. Il en mettait toujours des masses, mais il sentait tellement bon après. Seth était à moitié perdu dans ses pensées, quand il entendit une voix faible, presque mourante. Il se rapprocha de l'endroit ou le parfum et le bruit provenait, puis arriver vers un cul de sac sans lumière, il prit son IPhone de sa poche, et il illumina les ténèbres.
Un hoquet de stupeur sortit de sa bouche en voyant le corps replier sur lui-même, au milieu d'une flaque de sang qui sortait de sa jambe. Seth entendait encore des faibles sanglots sortir de se corps qui tremblait de froid et de douleur. La lumière du cellulaire n'éclairait pas assez pour pouvoir voir tout le corps, et en le bougeant légèrement vers la tête du blesser, il vit le cauchemar de toutes ses nuits.
«- Filippo… »
Le corps réagit à l'écoute du nom. La tête se retourna vers lui, ses yeux rouges sous l'effet des larmes fixaient ceux de Seth. La mâchoire tremblante, il essaya de murmurer quelque chose, mais en vain, sa tête se reposa à nouveau par terre. Seth avait vu ses yeux, et il s'est agenouillé devant lui sans le toucher, gardant une certaine distance, Seth se pencha en avant.
«- Ça va ? »
Filippo le regarda du coin de l'œil et il secoua négativement la tête en faisant descendre des larmes restées en suspension sur le bord de ses paupières. Le cœur de Seth se figea en le voyant pour la première fois dans un tel état.
«- Viens, dit Seth en allongeant le bras. Je te ramène chez tes parents. »
Filippo recula rapidement pour ne pas que Seth puisse le toucher, ce mouvement lui fit très mal au dos et son visage se crispa de douleur. Seth retira aussitôt sa main, et le cœur serré, il regardait tout son corps réduit presque à un cadavre. Son pantalon était taché de sang qui coulait encore depuis son tibia. Il ne pouvait pas rester ici jusqu'à demain matin, il allait se vider de tout son sang. Seth se rapprocha à nouveau de Filippo.
«- Je t'en prie, tu ne peux pas rester comme ça…
- Où veux-tu que j'aie ? Dit Filippo dans un souffle. »
Seth n'arrivait plus à parler, pour une fois il ne l'entendait dire des insultes ou autre juron sur lui. Il lui parlait comme un ami, ou au moins un passant. Seth pensa ensuite à sa question, où pouvait-il aller dans cet état ? Il regardait Filippo. Il semblait si fragile, mais pourquoi il l'aidait alors qu'il ne lui était jamais venu en aide ? Mais pouvait-il le laisser mourir ? Puis une idée lui vint enfin en tête.
«- Vient, je te ramène chez moi alors. »
Voili Voilou Voila!
Alors? Vos impressions sur ce premier chapitre?
Les fondations de l'histoire sont-elles plus aux moins compréhansible?
*Je m'excuse des fautes, je ne fais plus de grammaire française depuis trois ans^^*
Rewiew?
