Dans la ville de St Louis, un tueurs en série fait la loi. Amassant les victimes et jouant avec la police. Les scènes plus atroces les unes que les autres font réfléchir certains agents de police, dont un, prompt à se pencher un peu plus que les autres ayant échoués. L'inspecteur de police Orton, homme chevronné de 27 ans. Promu inspecteur un peu plus tôt dans l'année. Malgré son passé plutôt peu fructueux pour un homme dans la police, il se classe au top niveau, ayant été dirigeant de section il l'avait fait avec fierté. Ses allures séductrices lui avait valu certaines critiques, admettons que son physique n'était pas celui de tout les hommes de la police. Très musclé, matte, les yeux bleus, brun, un tatouage tribale au tout de son biceps gauche, et un semblant de bracelet tribale sur le poignet droit. Il se dissociait des autres par son tempérament dangereux, même si on ne pouvait pas dire qu'il était dangereux lui même, seulement effronté. Rien ne l'effrayait, pas même une arme. D'ailleurs il n'avait pas de grande formation au niveau de l'armement, il n'en avait pas tant besoin, il se foutait de savoir tirer, ôter la vie au gens ne l'intéressait pas, au contraire, il préférait faire souffrir. Ses nombreuse techniques de combats avait fait parlé de lui, un policier très doué, mais sombre. Ses collègues l'appréciait, ou du moins appréciait le peu qu'il offrait de lui, toujours à faire route en solo, la section où il était, était entraîné et il avait un entière confiance en ses partenaires. Mais il préférait être seul. Malgré tout, c'était le caractère de la brigade à laquelle il appartenait, celle ci se mêlait rarement aux autres, ils restaient entre eux. Se protégeait. Comme des frères.

Un autre homme était interpellé par ce tueurs en série, lui aussi inspecteur. Apprécier de ses collègues grâce à sa bonne humeur et son sourire qui ne décrochait pas ses lèvres, sensible et attachant. Un ami au grand cœur. Il cherchait à faire son nom au seins d'une autre brigade, ses supérieur avait confiance en lui et le laissait résoudre de belle affaire. Celle ci était un grand coup pour lui, il connaissait le nom de l'homme qui terrifiait la population, il en savait des choses. Son gabarie à lui aussi n'était pas le plus attribué à un policier, ni même à un homme comme lui, sous un montagne de muscle se cachait un être au yeux vert pastel, un sourire ravissant au coin des lèvres, suffisant et peu charmeur, il avait la tête sur les épaules, très confiant il se laissait rarement faire, sachant magner les armes à la perfection. D'un caractère réfléchis, il se posait à chaque missions cherchant l'efficacité et le meilleur moyen de ne faire aucun blesser, son tempérament maladroit ne choquait pas, et faisait bien rire ses équipiers, contrairement aux autres, leur équipe était une très grande famille, s'élevant au moindre problème. Il avait entendu parler de l'inspecteur effronté et riait bien de lui, mais une chose qu'il ne pourrait lui enlever était son efficacité relaté au moins une fois dans les journaux. Il avait l'intention de s'imposer en tant que co équipier sa c'était certains.

[align=left]Le matin se levait, 7 heures, le réveil de l'inspecteur Orton avait une nouvelle fois fini par terre. D'une humeur peu matinale se faire réveil par son réveil et par la sonnerie tonitruante de son portable, ca ne le réussissait pas, mais alors pas du tout. Il connaissait St Louis comme sa poche, et l'alerte qu'il avait reçut était répertorier dans les beaux quartiers, l'homme avait frappé fort. Il sortis de chez lui passant traditionnellement au café un peu plus loin que chez lui, un café long dans un grand gobelet et le journal. Sachant qu'il ne pourrais le lire que ce soir, ou alors qu'il saurai tout son contenu, un policier étant toujours au courant de tout. Il arracha les publicité de son par brise hargneusement, ça allait encore laisser des traces sur les vitres. Il entra dans sa voiture, une magnifique BMW 328d noir opaque. Il déposa son café sur le porte verre placer un peu plus haut que le levier de vitesse avant de démarrer et détaler. Il arriva à un feu rouge, tapotant sur son volant au rythme de la musique. Le feu passa au vert et un forcené lui coupa la route. " [i]De bon matin, ça ne suffisait pas ![/i] ". Il alluma ses gyrophares et suivit l'homme qui partait dans la même direction que lui, l'ironie de la chose ne le frappa pas, d'ailleurs la voiture qu'il poursuivait pila juste devant lui l'obligent à s'arrêter durement. Son café renversé, ses nerfs n'allait pas le supporté, il nettoya vite fait faisant disparaître les tâches qui avait heureusement pour l'homme pas touché ses beaux siège en cuirs. Il sortis de sa voiture et partit furieux devant l'homme qui sortait à peine d'un belle Mercedes classe A. Non impressionné il plaça ses mains sur ses hanches, révélant son t-shirt gris foncé, moulant ses forme. L'homme sorti souriant.[/align]

- Non mais vous êtes malade ! Permis et papier du véhicule vous avez trouvé la bonne personne, à qui coupé la route ! Dit professionnellement Orton.

- Inspecteur de police Orton, enchanté je suis moi même inspecteur, de l'autre brigade, John Cena, dit - il en tendant la main.

- Et à part tuer des gens vous venez faire quoi ici ? Demanda Orton ignorant la main tendu.

John regarda sa main et la retira, la passant sur sa nuque conscient qu'il s'était pris un vent phénoménal.

- Je viens pour le meurtre qui à été commis ici même, dit il souriant.

- Et bien vous pouvez repartir, je suis sur cette enquête et je m'en sort très bien, au revoir et au plaisir.

- Vous me fait bien rire, à propos, vos parent se sont arrêter qu'à votre patronyme ? Ce serai dommage de pas mettre un nom sur un visage comme celui ci.

- Je m'appel Randy Orton. Je suis inspecteur de police, maintenant que les présentation sont faite, au revoir !

- John Cena quel honneur que de vous avoir ici, votre supérieure un grand ami à moi m'a assuré qu'il me donnait le meilleur agent. Je vois que vous avez déjà fait connaissance avec l'inspecteur Orton, vous serez co équipier durant l'enquête ! Annonça le commissaire divisionnaire, supérieur de Randy.

- On sera quoi ? Avec qui ? Et pourquoi ? Demanda Randy.

- Vous ferrez équipe tout les deux, il vous faut un co équipier inspecteur, monsieur Cena allait être muté comme ça vous aurez un avant goût.

- Mais je ne veux ni d'avant goût ni de goût tout court, chef, dit le brun.

- Bon, suivez moi messieurs !

John sourit à Randy qui grogna doucement, s'était claire il allait se le faire, d'un façon ou d'une autre, mais il allait vite lui faire regretter d'avoir demander une mutation dans sa brigade. Ils avancèrent tout les deux dans la grande villa, les jeux de regards étaient très explicite, on aurait dit que Cena aimait fait perdre patience à l'agent Orton, ce dernier étant évidement très patient ce n'était pas comme si des chaises souvent accompagnées de leurs propriétaire avait volées hors de la salle d'interrogatoire, non pas du tout. Cette homme était le calme plat incarné, simplement quand il dormait.

Contrairement à John qui avait un tempérament très patient, ils se complétaient entre autres. Arrivés dans la maison, les deux hommes se mirent en ligne, Randy salua ses collègues, et se rendit au côté du légiste déjà présent, il entendit le haut le cœur de l'inspecteur Cena.

- Si vous devez dégueuler gaffe à la scène de crime, dit le plus jeune.

- J'ai pas tellement l'habitude de voir un type éviscérer, répondit il.

- Oh, et vous êtes dans la police ? Y avait que des femmes dans votre section ?

- Vous avez fait l'école du cirque et sans doute décrocher votre diplôme lors d'une fête foraine non ? Répondis John avec le sourire.

- Très drôle, franchement, un diplôme en particulier, clown ? Humoriste ? Je sais ! Vous êtes un artiste refoulé, la police vous a servi de lot de consolation ? Vos blague ne faisait plus rire ?

- Honnêtement j'ai un ami qui recherche un bouffon pour une première, j'peux lui soumettre vos coordonnés ?

- J'ai pas de temps pour les gaminerie, voyez vous y en à qui on grandit, sourit Randy.

- C'est vrai, c'est plus cotre âge, une canne et un béret peut être ?

- Je me roule par terre et j'explose de rire, regardez j'arrive même plus à respirer.

- Alors on ajoute un défibrillateur, l'ambulance est encore là, vue son état je crois qu'il vous le laisse sans trop hésiter.

Randy allait rétorqué quand le légiste se mit à parler, stoppant la guerre des deux hommes, attentifs pour une fois, les deux inspecteurs accusait le diagnostique. Lacérations, strangulation, éviscération, il avait eu la totale. Tout fait par un seul homme. Le corps fut emballé et emmené à la morgue. Randy repartit vers son supérieurs toujours suivit de John.

- Inspecteur Orton, allez avec l'inspecteur Cena interroger le voisinage. S'il vous plaît, en suite je vous attend à la brigade pour une première approche et après on avisera.

- Biens chef.

Les deux hommes partirent, en voyant que Cena prenait la même direction que lui, Randy se retourna mauvais.

- Votre voiture est où ?

- On m'a emmener, votre supérieur ma dit que je serais avec vous.

- J'aime être au courant des choses, alors on va établir les règles, durant toute la durée de votre séjour dans ma voiture, il est strictement interdit, de faire des traces, de manger, et de la conduire.

- C'est bon ? On à finit le règlement intérieur ?

Randy leva les yeux et finalement il partis vers une maison non loin, il toqua.

- On pourrais se tutoyer non ? Demanda John. Si on va être amener à faire équipe.

- Si ca te fait plaisir.

- Tu es obligé d'être hargneux comme ça ?

La porte s'ouvris sur une vielle dame.

- Bonjours madame excusez nous de vous déranger si tôt, je suis l'inspecteur Orton et voici l'inspecteur Cena, nous venons vous poser quelque questions au sujet de la tragédie de la maison à côté.

- Bien sûr entrez, je vais vous faire du café.

- Ne vous dérangez pas madame, vous savez nous ne sommes que de passages, dit Randy.

- Je le sais bien, mais je n'ai pas pour habitude de ne rien offrir à de si beaux garçons. Asseyez vous dans la cuisine.

John regarda Randy qui lui lança un regards, pour une fois, sans reproche. Ils prirent place dans la cuisine et la vielle femme leur servit du café.

- Merci, madame. Alors, avez vous entendu quelque chose de particulier entre minuit et 1 heures du matin ? Ou durant la nuit ? Demanda Randy.

- Oh vous savez, avec tous ce que j'entend, mais ce soir là était différent. Je me suis levée parce-que j'entendais des bruits, je me suis mise devant ma fenêtre et j'ai vu qu'il y avait du raffut chez mon voisin.

- Vous avez peut être réussi à voir les assaillants ? Demanda John.

- Croyez vous, il faisait noir, mais ils n'étaient pas plus de deux. En suite vers 1 heures 30 une grosse jeep noir est parti dans un vacarme atroce. Monsieur Holden là bas est sorti de chez lui et il s'est mit à crier. Il n'est pas méchant.

- Je veux bien vous croire, vous avez de la famille qui peu rester avec vous ? Nous savons au combien vivre se genre de chose peut être terrifiant, demanda Randy finissant sa tasse.

- Ne vous en faite pas pour moi, j'ai vécu d'autre chose jeune homme, mais rassurez vous, mes enfants vont venir.

- Alors tout va bien, dit John souriant.

- Vous êtes adorable tout les deux.

Les deux hommes se regardèrent, remerciant la vielle dame d'un sourire chaleureux. Ils partirent en suite.

- Je pense que ce monsieur Holden aura peut être identifié la plaque d'immatriculation, dit John.

- Sans doute, les jeep son équipé d'un éclairage au dessus de la plaque, béni soit l'inventeur de ce système.

- Ca peut servir en effet, reste à savoir si les plaque sont vraie.

- Je ne pense pas qu'il ai eu assez d'esprit pour changer les plaques, prions pour que ce chère monsieur les ai vu.

- Tu le connais ? Demanda John curieux.

- Disons que mes potes et moi étions casse couilles, et que son champ était notre terrain de jeu préféré.

- Je vois.

Ils avancèrent et tapèrent à la porte du monsieur Holden, ce dernier ouvrit et vit les deux hommes, reconnaissant Randy. Ce dernier mal à l'aise souri malgré tout. Au fond il n'était plus le gamin d'avant.

- Randy Orton ! Le p'tit con !

- Bonjours monsieur Holden c'est un plaisir pour moi aussi.

- Où est ta bande de petits amis véreux ?!

- Ce temps est révolu, je faisais parti de ceux qui se sont battu pour que votre terrai ne soit pas acheté. Je suis inspecteur de police maintenant.

- Toi ?!

- Oui je vous assure, dit il sortant sa plaque.

- Je vois. Et vous qui êtes vous ? Dit il s'adressant a John.

- Inspecteur John Cena, son nouveau co équiper, répondis John souriant.

- Laissez moi vous dire qu'ils vous ont foutu un sacré numéro entre les pates, pesta monsieur Holden, de sa voix de vieillard.

- Il à l'air adorable pourtant.

- Il a l'air pas la chanson.

- Bon, rappela Randy, nous venons vous voir pour vous demander si vous avez réussi a identifié quelqu'un où le numéro de la plaque monsieur Holden.

- Certainement pas quelqu'un, mais la plaque je l'ai noté. Je ne veux pas de problèmes !

- Vous n'en aurez pas rassurez vous, dit John.

- Si vous le voulez on peu vous placer sous protection pendant un certains temps pour que vous vous sentiez en sécurité, proposa Randy d'une voix douce.

- Oh tu sais mon garçon, je suis un vieillard maintenant mais j'y vois encore assez claire pour bien viser avec un beau fusil a pompe.

- Je m'en doute monsieur Holden, c'était une simple précaution, ce pendant une patrouille ferra des rondes chaque soirs pendant un certain temps, ajouta Randy.

- Bien, alors tout va bien, prenez ça et filez maintenant, mon feuilleton va commencer. Oust !

Randy pris le papier et John le suivit jusqu'à la voiture.

- Il est bientôt midi, on va manger ? Cadeau d'arrivée je t'invite, proposa John.

- On dois retourner au poste lancer une recherche et attendre le coup de fil du légiste.

- On mange juste un bout et en suite on s'en occupe juré !

- ... Ok mais c'est moi qui paye alors !

- Pff tu me fais bien rire, disons que c'est pour me faire pardonner de t'être presque rentré dedans.

- ... Bon ok.

John souri et il dirigea Randy vers une petit pizzeria, ils prirent une table et demandèrent leur plats.

- Tatiana la secrétaire à réussi a trouver le nom de la victime Joaquim Vegner, d'origine allemande, il avait des problème de stups, et avait un casier judiciaire.

- Ca t'étonne ? Les 6 derniers meurtres on annoncé le même verdict pour chaque victimes, dit John.

- Tu crois qu'il se prendrait pour une sorte de vengeur masqué ?

- Aucune idée. Mais oublions le taff 5 minutes. Pourquoi tu n'as pas de coéquipier ?

- Je fais ma route seul, je n'en ai pas besoin.

- Je suis pas le bienvenu donc ?

- Techniquement non.

- Malgré tout je vais comme même te prouver quelle joie y à trouver en travaillant avec quelqu'un !

- Je t'admire si tu y arrives.

- Alors prépare toi a te prosterner !

- C'est la première raison pour laquelle je ne veux pas de coéquipier.

- Quoi donc ?

- Ça m'évite les odiots, lacha le brun.

- Ca fais plaisir !

Randy leva les yeux au ciel. Accueillant en s'écartant sa pizza, John eu la sienne devant lui en même temps. Ils commencèrent à manger en silence. Ils s'observaient tout les deux. Randy ne décrochait pas un sourire alors que John lui enchaînait les pitrerie. Il fut fière de lui quand il vit que l'inspecteur Orton eu un rictus hilare sur les lèvres. Quand ils eurent finit John régla comme prévu. Et ils partirent.

- Pour une fois j'aurais pas à m'arrêter en route, dit Randy. Merci.

- Y à pas de quoi, ça sert a ça aussi les coequipiers, on peu manger ensemble.

- Je t'offre le café, au moins ça !

- Si ce n'est pas un vulgaire jus de chausettes.

- Crois moi ils sont dément ! C'est en dessous de chez moi.

- Alors allons y.

John suivit Randy et ils prirent deux café à emporter, arriver a la brigade ils passèrent une allée de bureau avant d'arriver à celui de Randy. Ils entrerent, le bureau d'en face était vide, John, qui avait reçu ses effets personnels, souri.

- Tu avais un équipier ! Dit John.

- Ce bureau ne m'appartenait pas avant. Les deux anciens inspecteurs on eu de plus beaux postes. J'en ai hérité; ta nouvelle place était vacante, mais certainement pas à prendre. Je vais voir Tatiana j'arrive. T'instale pas pendant ce temps.

Randy sorti et tira la porte derrière lui. Au fond il était comme content d'avoir un partenaire. Mais il avait de grosse réserve. Dans ses pensées il n'entendis pas la jeune femme l'appeler.

- Hey ho ! On retombe de son nuage ! Dit Tatiana.

- Oup, désolé j'etais loin. Dit tu peux me faire une recherche ?

- Je suis là pour ça mon bichon. Dit moi tout dans les moindres détails.

L'inspecteur lui passa le papier et il allait partir quand :

- Il est mignon hein ? Demanda t - elle.

- Qu... Quoi ? Pas du tout !

- Mouais... C'est s'la !

- Je ... oh et puis hein ! Dis moi quand tu as trouvé quelque chose !

Le jeune femme rit et se retourna vers son ordi. Randy entra dans son bureau et vit que John avait placé ses affaires. Respectant son espace. Il souri légèrement puis il se mit sur son fauteuil étudiant des dossiers concernant les victimes. Il prit plusieurs photo et les plaça sur le tableau numérique, il nota les non et tout les renseignement avec le stylo exprès, John le regarda faire, regardant ses mouvements. Souriant. Son corps qui s'étendait pour atteindre le haut de tableau. Quelle chance il avait d'avoir un coéquipier pareil.

Il s'assit à peine sur le rebords d'un commode en fer et croisa les bras. La porte s'ouvris avant qu'il n'est pu parler.

- Randy, le légiste à appeler. Il à trouvé quelque chose qui pourrait vous avancer.

- On y va.

Comme un vrai binôme les deux homme partirent en même temps. En silence toujours, arriver à la morgue il entrèrent dans la salle que l'accueil leur dit. John pâlis, Randy le regarda pour une fois avec un regard compatissant.

- Tu veux m'attendre dehors ? Demanda t - il.

- Ca va aller, dit passant sa main sur son visage.

- Tu es sûr, tu n'es pas obligé de venir.

- Non mais ça va.

- Comme tu voudras.

Randy se rapprocha du légiste, le corps était totalement ouvert, dans une petit coupelle en fer se trouvait plusieurs choses, dans une plus grosse, le foie de la victime avait été posé, juste à côté de l'estomacs de celle ci. Randy ne mit pas plus de temps à changer de couleur, regrettant le contenu de son estomacs qui avait été sublime, quelle gâchis. Rien que d'y penser il eu un haut le cœur. Mais reprit vite contenance.

- Bien le bonjours inspecteur, vous êtes sûr que vote équipier va bien ? Demanda la légiste.

- Il tiens le coup. Alors ? Que nous a appris la science ?

- La mort est difficile à situer dans le temps. Le foie est tellement mal foutu que je me demande comment il a fait pour ne pas en mourir avant. Le contenu de l'estomacs est très impressionnant. Que de la mal bouffe, de la bière, et tout autre chose. Dit elle faisait tourner le contenu liquide d'un bol en fer.

S'en fut trop pour John, il finit par tourner de l'œil, finement rattraper par Randy. La légiste surprise regarda par dessus la table.

- Je vais le sortir, y à pas de souci, envoyer moi votre rapport s'il vous plaît.

- Bien. Ca va aller ?

- Oui, faut juste que je le sorte d'ici, il est nouveau.

- Ca se comprend alors, ria la femme.

- Au revoir, sourit Randy.

Il traîna John dehors, puis il l'assit sur les chaise métallique, claquant ses joues. John finit par se relever, à la vue de sa tête Randy chercha au tour de lui et trouva un sachet, John rejeta la contenu totale de son estomacs. Quand il se releva il regarda Randy qui était mort de rire.

- T'es beau quand tu souris, dit John.

- Tu délires mon pauvre, aller arriver on retourne à la brigade, que tu te repasse un coup sur la gueule parce-que tu as vraiment une tête de mort vivant.

- Alors le résultat ?

- Elle va nous envoyer le dossiers. Arrive.

Les deux hommes retournèrent à la brigade, Randy avait toujours se sourire sur le visage, moqueur. A peine arriver John partit se changer et se laver le visage, il se brossa les dents en même temps. Randy l'avait suivis histoire de changer de t-shirt. Ils retournèrent dans le bureau. Ils passèrent un petit moment a discuter de l'affaire.

Épluchant les dossiers, il y passèrent l'après midi, le bureau fut silencieux un moment mais très vite les deux homme se refirent entendre. - Traffique de drogue, dit John.

- Règlement de compte, annonça Randy.

- Non, Non peu plausible, les victimes n'ont rien en commun.

- Tu les a interrogées ? Ragea Randy.

- Non mais ça figurerais dans leur dossiers.

- Pas forcément. Puis elles pouvaient ne pas se connaitre mais avoir un problème avec ce fêlé.

- ... C'est bizarre comme hypothèse.

- Bizarre mais plausible. Concernant notre pigeon, on doit attendre les prochains comptes rendus. Pour aujourd'hui je pense qu'on peu arrêter.

- Quoi ? Déjà ?

- On à rien, il est bientôt 8 heures du soir.

- Peur des heures sups ?

- J'ai fais des heures sups tellement que je finissais pas ne plus les compter. Mais là je ne vais pas me pourrir la nuit si je n'ai même pas un nom.

- Faut que t'aille te coucher c'est ça ? Tu as menti sur ton âge honnêtement !

- Y à une chose qui pourrais pas te mentir sur mon âge. Cherche moi encore et tu vas y passer serieusement.

- Ohoh ! Des menaces ?

- Des promesses.

Le jeune brun se leva et mit sa veste. Avant de partir sans un autre mot, John le regarda partir, il observait sa démarche féline, son déhanché provocant, ses bras balançant le long de son corps, dieu que cet homme était attirant il le vit s'éloigner et ne le lâchais pas des yeux, cet homme n'était pas fait pour être dans la police, ce corps, ce visage, ces yeux, lui tout simplement, sans doute aurait il mieux été dans un milieu de mode, au milieu des manequin, il ferrait la différence. Quand le jeune homme fut hors de porté de vue, John se leva et partis lui aussi chez lui. Réfléchissant à cette enquête tumultueuse, elle leur donnait bien du fil à retordre et durant tout le long, John allait chercher à découvrire le jeune homme, le comprendre, essayer même de le voir sous tout ses jours, lui montrer les joies du coéquipiage. Mais il avait aussi son idée dans la tete si la possibilité ce présentait de pouvoir être plus qu'un simple coéquipier il n'allait pas ce gener, car oui, il lui plaisait etpas qu'un peu.