Hellow
Blablas habituel :
Ici-bas Fanfiction venue en cours de soirée d'un coup, pouvant contenir quelques fautes, donner les moi en review si vous souhaitez.
Review anonyme de la Fanfic « Le paradis de Mello » :
-On en sait rien si ça se trouve les auteurs nous ont caché quelque chose xD
… Ouais en fait nan x). Bien que j'aie vu nombres de personnes penser que Mello était une fille x)
Death Note ne m'appartient pas mais à Takeshi Obata et Tsugumi Oba .
Bonne lecture !
Je sombre
Je sombre et je me sens bien
Finalement mourir ce n'est pas si mal
Apres une vie comme la mienne ça délivre plutôt
Certaines personnes disent que l'on voit sa vie défiler devant ses yeux avant de mourir
Elles ont torts
Je ne vois rien,
C'est le noir complet,
J'aurai pensé voir cette petite maison en Irlande, je ne la vois pas,
Ce jour tragique ou ils ont disparus, mais il n'apparait pas non plus,
Le visage de cet homme qui vient te promettre une vie meilleure dans un de ces bâtiments fait de pierres qui sont censés vous protéger.
Ce même bâtiment, ce bâtiment qui protègent les enfants comme toi et moi, dans lequel on se sentait oppressés parfois.
Ta petite tête blonde, un morceau de ton chocolat à tes petites lèvres avec ton regard curieux, curieux de savoir qui est le nouvel arrivant dans ce toujours même grand bâtiment.
Le « t'es qui toi ?» que tu avais prononcé en me voyant m'avancer dans le hall à peine arrivé.
Le regard de ce vieil homme collectionneur d'insectes qui te grondait légèrement pour ta précipitation face à moi, pauvre petit enfant devenu orphelin bien trop vite.
L'insulte de petit enfant que tu avais murmuré à l'égard du vieil homme.
Ta petite main ayant pris la mienne pour m'entrainer dans un couloir et me dire que justement tu « cherchais quelqu'un pour jouer au foot avec moi parce que ce crétin de John est trop occupé à faire son débile avec son namoureuse , t'façon les filles c'est nul ! »
Moi qui me laissais entraîner, ne comprenant pas vraiment la situation mais n'ayant pas spécialement envie de réfléchir sur le moment.
Le vieil homme qui tente tant bien que mal de nous rattraper en hurlant comme il pouvait qu'il fallait « te présenter à L qui avait fait le voyage juste pour toi, te montrer ta chambre te faire visiter l'orphelinat , remplir les documents … »
Je n'ai jamais entendu la suite tu m'avais déjà trainé au dehors par la porte de derrière et ce vieil homme, Roger dans mes souvenirs, avait bien vite abandonné l'idée de nous rattraper.
Puis ton élan de lucidité qui te dis que peut être je venais d'arriver, je ne te connaissais pas et je n'avais peut être pas non plus envie sur le moment de faire un foot avec un parfait petit inconnu.
Tu m'as alors demandé qui j'étais j'allais te répondre mon nom et je me suis rappelé que l'autre vieil homme, Watari dans mes souvenirs, m'avait fait promettre de ne jamais le révélé pour ma propre sécurité et m'avait donné un nouveau nom.
Le nom de Matt.
Tu me donnas alors ton nom , et tu changeas apparemment de plan puisque tu me trainas à l'intérieur de cette bâtisse , mon nouveau foyer, pour m'en faire faire le tour en courant en débitant rapidement le nom des salles , où se trouvait la cantine , les salles de bains , l'étages des filles et l'étage des garçon , tu me désignait les portes des chambres de tes amis , et des gens que tu haïssais en argumentant chaque nom de tous les défauts possibles et imaginables en la personne désignée , puis on arriva au bout du couloir devant la dernière porte , tu t'arrêtas devant elle brusquement puis tu te tournas vers moi et tu m'expliquas sur un ton qui ne présageait rien de bon qu'ici séjournait un petit garçon nommé Near , qui apparemment te battait à chaque « classement mensuel » , évidemment je ne savais pas encore ce que c'étais mais je continuais a t'écouter ,
« Il est tout le temps premier mais de toutes façons je suis SÛR ET CERTAIN que cette larve monochrome est le chouchou de Roger ou de Watari et que ce foutu classement est trafiqué »
Tu commençais à hausser le ton en débitant tout ce que tu pouvais sur cet « albinos de malheur » que je ne connaissais même pas.
Puis j'ai aperçu une vague silhouette au bout du couloir, c'est bizarre j'aurai du la voir normalement ce couloir n'étant pas si long , mais là c'était comme si elle était baigner de lumière , elle se rapprochait de plus en plus et je finis devant une silhouette courbée , à la peau n'ayant pas dû voir le soleil depuis bien longtemps et possédant une épaisse crinière noir de jais ainsi que de orbites écarquiller de la même couleur sous lesquelles d'énorme cernes témoignaient de nuits entières d'insomnies .
Puis, quand tu remarques que je ne t'écoutes plus, tu tournes la tête vers moi toujours ton expression de semi-colère sur le visage qui te rendait plus adorable qu'effrayant , puis en apercevant la personne se tenant devant nous tu rougis violemment et balbutie quelques mots incompréhensibles
L'étranger glousse légèrement fasse à ta réaction et nous demande de la suivre.
L'on rentre dans son bureau et l'on n'en ressortira 2 heures plus tard avec un test prouvant mes facultés à rester dans ce bâtiment censé nous protéger, des clés et un numéro de chambre, un cadeau de bienvenue qui se révèlera bientôt être une console de jeu vidéo et une amitié qui venait a peine de naitre.
Quelques années plus tard je me retrouve de nouveau dans ce même hall, la seule chose qui à changer c'est que je suis agenouillé au sol et en pleure, toi tu n'es plus là, avec tes petites mains et ton chocolat aux lèvres, non, tu es partis combattre de dieu de pacotille, Kira.
Tu es partis parce que l'anciennement étranger qui c'était avéré être L est désormais six pieds sous terre après avoir livré un long combat contre ce même dieu en carton, qui lui aura été fatal.
Tu es partis pour battre définitivement le même petit albinos que tu haïssais déjà à l'époque où tu déversais un flot d'injures qu'il aurait préféré ne pas entendre je pense.
Tu es parti pour devenir premier
Et tu m'as abandonné.
Et ce jour, où, mon téléphone que je pensais avoir éteins depuis bien longtemps , qui était actuellement enfoui sous entre le dossier du canapé de mon appartement à moitié défoncé et le coussin du dit canapé à sonner pour la première fois depuis 4 ans, je n'y ai pas fait attention de suite.
Puis j'ai ressenti quelque chose, comme un pressentiment, et je me suis jeté sur le téléphone pour répondre sans regarder qui venait de m'appeler.
J'aurai peut-être dû car quand j'ai entendu la voie à l'autre bout du fil je n'ai pu m'empêcher de sursauter sur ce pauvre canapé et de manquer de m'évanouir.
Cette voix.
Cette voix je l'aurai reconnue entre toutes, même modifié par le téléphone.
Cette voix c'était la tienne.
Cette voix était éraillée et entrecoupée de soupirs rauques et désespérés.
Cette voix, celle qui m'a expliqué, abandonnant toute fierté, que tu avais foiré et que tu avais dû faire sauter le QG où tu te trouvais.
Cette voix qui me suppliait de venir te chercher en me donnant les coordonnées du dit QG.
Cette voix qui s'éteint brusquement.
Cette voix que j'appelle désespérément à l'autre bout du fil.
Cette voix qui ne répond plus.
Moi qui coupe l'appel et qui fonce sur mes clefs de voiture.
Moi qui me fiche de me précipiter comme un dingue sans rien préparé.
Moi qui fais augmente toujours plus la vitesse et qui dépasse tous les autres véhicules.
Moi qui vole à ton secours.
Et quelques temps plus tard, moi, de nouveau seul devant les adeptes de ce soi-disant dieu qui pointe leurs armes sur moi.
Moi qui tente en vain d'attraper mon arme qui de toutes façons ne m'aurai servie à rien.
Moi qui pense à toi.
Moi qui me demande si tu te rends compte enfin que ce plan est le plus foireux que tu n'aies jamais eu.
Moi qui me demande si tu le savais depuis le début.
Puis un bruit de tire.
Des bruits de tires.
Puis je sombre.
Tout ça Mello je ne le vois pas
Je sombre
En espérant te rejoindre car je suis désormais sur que tu as sombré toi aussi.
Je sombre et je me sens bien
Finalement mourir ce n'est pas si mal.
Surtout après une vie comme la mienne.
Voilà
J'espère que ça vous aura plus
Laisser une review si le cœur vous en dit.
A Bientôt
Moi
