Titre:Comment te dire...
- Le Rating: Tout public. (sauf quelque passage préciser.)
- Le genre: Romance-Drame.
- Le couple: ByaxRen
- Un disclaimer: Évidemment l'œuvre est Bleach.
Résumé: Comment te le dire en face. J'aimerais que tu le comprenne, que vous le compreniez et que vous vous éloigniez de moi. Je le sais, je ne fais plus d'espoir. J'aimerais te le dire. J'aimerais te dire: Je Vais Mourir.
Bla bla: Bon bah, première fic sur Bleach. (Vrai Fic, avec plusieurs chapitres xD)J'espère qu'elle vous plaira. EXTREMEMENT DESOLE POUR LES FAUTES!
Chapitre 1: Ikigire. (Respiration Saccadée)
Faire de faux-semblant me gavaient. Avoir l'air enjoué, me lassait. Me laver les cheveux tout les jours, pour qu'ils est l'air moins terne, me fatiguait. Ressembler à une crevette à cause du manque de nourriture, me frustrais énormément. J'aurais voulu hurlé, laissé sortir ma rage, mais, mon corps ne supportait même plus de crier. Je passais mes journées allongés dans mon lit, à compté les rayures du plafond. Je n'avais même plus envie d'aller à ma division pour y travailler. Les autres essaient de me sortir de là, mais rien n'y faisait. Je me laissait tomber, lentement.
Qui aurait cru, que moi Byakuya Kuchiki...serait un jour aussi...faible?
Tout commença Lundi,ce fut la pire des crises que j'ai me suis levé avec la ferme intention, d'aller à la division, signer les papiers,comme d'habitude, mes jambes lâchèrent, mes poumons ne voulurent plus respirer, et mon corps tremblait.
J'essayais de faire n'importe quoi, pour me remettre debout, mais une faiblesse sans nom s'emparait de moi. Pendant un bref moment cela se calma et je pus me hisser sur mes deux jambes sauf qsu'une violente toux s'empra de moi et je me rétamai sur le sol. Je serais les poings de rage et priais n'importe quel dieu pour que personne ne vienne.
Mais bien sûr il fallait que quelqu'un vienne.
-Capitaine!
Je gémit. Tout sauf lui! N'importe qui, mais pas lui! Ses bras chauds m'entourèrent.
-Capitaine Kuchiki, vous allez bien?
-Ça se voit, Abarai.
Il se raidit devant mon ton mordant. Il y eut quelque minutes de silence ou il me contempla stupéfait. Surtout ne m'aide pas! C'était sans doute la première fois qu'il me voyait aussi affaibli. Et puis j'avais employé que son nom de famille.
-Je vous emmène à la Quatrième Division, reprit-il
-Je ne peux pas marcher, dis-je difficilement, le souffle me manquant toujours.
Il haussa les épaules et passa mon bras autour de son cou. J'écarquillai les yeux. Hors de question. Il me souleva comme si je ne pesai pas grand chose.
Je sifflai.
-Abarai, posez-moi tout de suite.
Il me regarda étonné. Saloperie de regard. Il m'installa plus confortablement dans ses bras et marcha. J'ouvris la bouche pour répéter mon ordre.
-Vous n'êtes pas en état Capitaine Kuchiki. Je vous l'ai dit je vous emmène à la Quatrième Division.
Depuis quand avait-il pris autant d'assurance? Ha oui, depuis qu'il avait été nommé Capitaine de la Troisième Division. Nous nous croisions rarement sauf pour les réunions, rare en ces temps de paix.
-Jeune insolent, répliquais-je.
Je toussais et il me serra encore plus conter lui. Mais qu'il arrête j'allais étouffer! Je n'arrivais que très difficilement à reprendre un souffle normale. Je m'accrochais à lui. Si il répétait ça à quiconque je le tuai! Lentement et surement.
Il marcha plus vite et nous arrivâmes devant les locaux de la Quatrième Division. Je n'y avais pas pensé mais...nous n'avions croisé personne, mais...je refusais qu'on me voit dans cet état!
-Capitaine Abarai, posez moi. Tout de SUITE par TERRE!
J'avais consciense de faire un caprice d'enfant gâté(mais au fond, j'étais un enfant gâté bien que maintenant je me débrouillais seul).Il m'adressa un sourire moqueur.
-Ça va aller Capitaine Kuchiki.
Il ouvrit la porte avec une facilité remarquable et rentra. Tout les regards se tournèrent vers moi. La malaise s'accentua et je gémis. Le mal de tête reprit, et les tremblements avec. Le manque d'air aussi. Je fermais les yeux et essayai de me calmer. La sueur couvera mon front.
Le nouveau capitaine de la Troisième s'écria:
-Vite allez chercher le Capitaine Unohana!
Les membres de la Quatrième s'éparpillèrent. Mon ancien Lieutenant était chaud. Même si ça me déroutait de l'admettre: j'étais bien dans ses bras. Si bien que je pouvais dormir.
-Capitaine Kuchiki, ne vous endormez pas!
Je laissez ces mots roulez sur moi, comme une pluie fermais les yeux, c'était si fatiguant de rester éveiller, si fatiguant.
-Capitaine!
$*$*$*$*$*$*$
J'ouvris les yeux incertains. Un mauvais pré-sentiment et un mal de tête au rendez-vous. Je fronçais les sourcils, n'était-ce pas le plafond des salles de la Quatrième? Si, je me trouvais bien dans un des salles de la Quatrième Division. J'étais glacé d'effroi. Les éléments me revenait comme un torrent, troublant encore plus ma vision et redoublant le mal de tête lacinant qui s'amusait à se rependre lentement. Je passais un main sur mon front et remarquais les perfusion. Joie. J'essayai de me relevais. Une personne se tenait dans l'embrasure de la porte.
-Ha...vous êtes réveillé Capitaine Kuchiki.
Vu le son de sa voie cela devait être la combien terrifiante capitaine Unohana.. Je la regardais d'un air sombre s'approchait pour faire un bilan de mon état de santé.
-Qu'est-ce qui m'es arrivé?demandais-je d'une voie rauque.
-Capitaine Kuchiki, depuis combien de temps êtes...ressentez vous ce genre de malaise?
-Depuis quelque temps, dis-je en restant vague.
Unohana fronça les sourcils.
-Ça a toujours été aussi violent?
-La première fois, mais après cela c'est calmé.
-Bien. Pour être franche, je ne sais pas d'où vous vienne vos malaise. Mais ce que je sais, Capitaine, c'est que les nerfs qui lient vos jambes à votre cerveau commence à s'éteindre.
-Et donc...commençais-je glacé d'effroi.
-Oui, dans peu de temps vous allez perdre l'usage de vos jambe.
Je voulu rester fort. Je voulu mettre mon masque d'impassibilité. J'aurais voulu oui. Une barre me tordait le ventre me déchirant de l'intérieur. Mon mal de tête se propagea bizarrement dans tout mon corps. Je passai un main sur mon visage, las. Mes yeux me picotaient. Je poussais un sifflement rageur, pleurer? Et puis quoi encore, détruire le peu de dignité qui me rester.
Je regardais le Capitaine Unohana.
-Y-a-t-il un moyen de soigner ça?
La Femme prit une grande inspiration.
-On dirait, qu'il y a un blocage qui bloque mes soins. Donc, jusqu'à ce que je trouve le moyen de contourner ce rempart, vous devrez faire avec.
-Faire avec quoi?demandais-je, Je peux toujours marchez n'est-ce pas?
Elle fronça les sourcils.
-Je préférais que vous évitiez. Je ne contrôle pas vos nerfs. Ils peuvent vous lâchez à n'importe moment.
-Et je fais comment pour me déplacez?
Elle me fit un sourire compatissant.
-La bonne vieille méthode: le fauteuil roulant.
Je détournais la tête dégouté. Pourquoi mon corps de faisait-il ça? Pourquoi? Unohana sortit me laissant seul se dont je lui étais reconnaissant. Je repoussais les draps en regardant avec haine mes jambes. Elles me semblaient si...si...si dérangeante. Qu'est-ce que mon clan allait dire? Qu'allais-je devenir, si je ne pouvais même plus participer au combat? Des frissons me parcoururent. Je rabattit le draps et me pelota dedans. Je voulais juste oublier.
