Tout ça pour une vulgaire enveloppe...
Si Anthony DiNozzo Junior avait eu un peu de plomb dans la cervelle, il n'aurait sans doute jamais eu l'idée de faire main basse sur le courrier de son irrascible patron, monsieur Leroy Jethro Gibbs, alors qu'il portait des mocassins en cuir lisse. S'il n'avait pas fait main basse sur le courrier de son irrascible patron Leroy Jethro Gibbs en portant des mocassins en cuir lisse, il n'aurait sans doute pas été pris en pleine action. S'il n'avait pas été pis en pleine action, il ne se serait pas pris un slap. S'il ne s'était pas pris un slap, il ne serait pas tombé en glissant sur la collection de billes de cartouches d'encre que McGee venait de renverser (à voir en annexe : Si l'Agent McGee n'avait pas fait de collection de billes de cartouches d'encre). S'il n'était pas tombé en glissant sur la collection de billes de cartouches d'encre que McGee venait de renverser, il n'aurait pas de commotion cérébrale et, s'il n'avait pas eu de commotion cérébrale, il ne serait sans doute pas à l'hôpital. En somme, c'était la faute du destin. Ou de Gibbs. Ou de la vendeuse de mocassins... qui était, par ailleurs, très jolie !
Bref, s'il n'avait pas ouvert cette malheureuse enveloppe, il n'aurait pas découvert ce qu'il avait découvert. Et s'il n'avait pas découvert ce qu'il avait découvert...eh bien, il ne saurait pas ce qu'il venait de découvrir ! (bah oui, suivez un peu quoi !)
En somme, s'il n'avait pas acheté des mocassins en cuir lisse, si McGee n'avait pas fait une collection de billes de cartouches d'encre parce qu'il n'avait pas de vie sociale et si Ziva n'avait pas eu la grippe (à voir en annexe : Si Ziva n'avait pas eu la grippe), il n'aurait pas découvert qu'Abby avait disparu.
