-Aaaaaah !! Poussez-vous !! VIIIIIIIIIIIIIIITE !!!
Je vis les gens s'écarter rapidement sur mon passage, évitant mon arrivée fracassante et mes bras que je ne parvenais à empêcher de faire tournoyer lamentablement autour de moi comme les hélices défaillantes d'un hélicoptère en perdition.
Comme si ça allait m'aider, surtout... Malheureusement, ce genre de situation ne poussait guère à la réflexion. Je n'avais pas le temps de me préoccuper du fait que j'étais tout bonnement ridicule et, de toute façon, le temps avait fini par faire naître en moi une certaine lassitude, à ce sujet.
Aussi, je fonçais droit devant moi, ridicule au possible, et incapable de m'arrêter.
-Aaaaaaaah ! Le mur ! Le mur ! LE MUR !! NOOO...
Mes bras cessèrent enfin leur manège incessants pour se paralyser au niveau de mon visage – protection grotesque, encore une fois – au moment où un bras s'enroula autour de ma taille, stoppant nette ma fulgurante traversée. J'expirai lentement puis, habituée à mon sort, comme si de rien n'était, je me remis correctement sur mes deux jambes – non sans m'agripper au bar à côté duquel je m'étais arrêtée.
-J'avais pourtant bien dit que cette idée de patins à roulettes, c'était la catastrophe assurée. On d'vrait m'écouter plus souvent, dans cette famille. C'vrai ! J'dis pas que des conneries ! J'en dis beaucoup, okay, mai...
-Mais regarde comme elle est mignonne !
Je regardais mon frère et ma mère avec deux yeux ronds. Je venais de frôler la mort et avais failli entrainer avec moi la moitié des clients du restaurants et eux parlaient de simple catastrophe, d'eux-même et de...
-Mignonne ! Maman, j'ai failli crever l'oeil de ce pauvre homme, là-bas, avec mon stylo (je brandis férocement l'objet du crime sous son nez, un stylo bille magnifique marqué « The Happiness Restaurant ») et j'aurais pu assommer avec mon plateau la petite fille qui est là-bas, en larmes dans les bras de sa mère, en train de me dévisager comme si j'étais un monstre ou une échappée de l'asile !
-Tu manque simplement d'un peu d'entrainement, ma chérie ! me répondit ma mère sans se départir de son sourire adorable, Je vais aller m'excuser auprès d'eux !
Et elle s'éloigna en trottinant, le pas léger et le sourire aux lèvres, comme toujours. Mon frère, à côté d'elle, hocha la tête bêtement sans cesser de me fixer. Il faisait tout bêtement, de toute façon ! Et moi, j'enrageais, littéralement. Aussi, je m'assis sur la petite marche qui donnait accès à l'arrière du bar – marche qui avait souvent était une véritable traitresse, d'ailleurs, et sur laquelle mes pieds avaient eu tôt fait de s'emmêler, après que j'eus commencé à me tenir debout et à crapahuter un peu partout à mes risques et périls – et j'entrepris d'ôter les instruments de torture que ma mère avait eu l'excellente idée de me mettre aux pieds, ce matin-là.
Non, mais, vraiment ! Bella Swan, affublée, déjà, d'un grotesque tablier rose ridicule – au centre duquel souriait de toutes ses dents un smiley jaune cerné d'un épais trait noir et coiffé d'une toque gigantesque parce que « c'est une mascotte tellement mignonne pour notre restaurant ! », dixit maman Renée – forcée de porter, également, des patins à roulettes – roses, également, bien sûr et bordés d'une fourrure ridicule qui me grattait ! Je n'osais même pas imaginer comment cette idée avait bien pu arriver jusque dans l'esprit chamboulé de ma pauvre mère...
J'allais devenir folle. Folle à lier.
-C'que tu peux baisser les bras facilement ! C'pas la petite soeur que je connais qui agirait de la sorte !
-Emmett, commençai-je, me faisant la plus menaçante possible tandis qu'après m'être relevée pour lui répondre, il me dominait toujours d'au moins trois têtes, J'ai déjà suffisamment à faire avec ce que la nature a fait de moi – une fille incapable de faire trois pas sans se casser une jambe, comme tu le sais – sans qu'en plus maman s'amuse à me torturer plus encore avec ses idées aberrantes !
-Quel rabat-joie ! grommela-t-il en s'éloignant.
Déjà exténuée, alors que la journée venait à peine de commencer, je poussai un long soupir au moment où mon père passait la tête par l'ouverture rectangulaire qui donnait sur notre cuisine.
-Tu sais bien qu'elle ne peut pas s'empêcher de jouer à la poupée avec toi, me souffla-t-il, rassurant comme il savait l'être, Tu es sa petite princesse, ne lui en veux pas.
Je ne pus m'empêcher de sourire. Non, bien sûr que je ne lui en voulais pas. J'en étais bien incapable. Ma mère était la plus adorable du monde. Elle était complètement givrée, ça, oui ! Mais cela ne faisait pas d'elle une mère irresponsable. Non, elle avait toujours pris grand soin de moi et ce même si j'avais dû apprendre très tôt à déjouer les tours qu'elle semait sur le passage de mon existence, bien malgré elle. Elle rendait mon quotidien un peu plus dangereux encore qu'il ne l'était déjà, du fait de mon incroyable maladresse, mais pour autant, elle était une mère aimante. Elle ne pouvait simplement pas s'empêcher d'être... elle. Dans toute son exubérance et sans jamais se départir de son grain de folie. Tout cela faisait partie d'elle et nous l'aimions ainsi. Mon père, Charlie, bien sûr, mon frère, Emmett et moi.
Pour la petite histoire – car il faut bien commencer quelque part – bien avant ma naissance, mon père avait hérité du petit commerce de son père ; un bar sans prétention dans une rue passante de Phœnix, en Arizona. A l'époque, il venait de rencontrer ma mère et elle était pleines d'idées. Fou amoureux d'elle, il lui avait donné, sans hésiter, les clefs de son cœur et celle de la rénovation de ce bar devenu miteux avec le temps. The Happiness Restaurant était né. Charlie et Renée avaient élaboré un concept simple : tout client devait ressortir de leur établissement avec le sourire aux lèvres ! Pour ce faire, ils avaient sélectionné de nombreux plat qui donnaient le sourire. Le plus souvent, des repas au goût de Soleil, inspirés de recettes du Sud de la France, de l'Italie ou encore de l'Espagne. Mais, surtout, un point récurrent de leur petite affaire : un plat particulier, affiché sous le nom de « Your favourite happiness course ! » sur notre carte ; la possibilité offerte à nos clients de pouvoir commander leur plat préféré. Bien sûr, il leur avait fallu, pour cela, un peu d'organisation, car encore fallait-il avoir de quoi préparer les plats parfois farfelues que réclamaient les gens ! Ils avaient, par conséquent, mis en place un système de réservations. Il suffisait de les prévenir la veille ou très tôt le jour même et ils se chargeaient du reste. Les gens avaient rapidement adoré et adopté l'idée : plus besoin d'hésiter à se rendre au restaurant sans savoir si le plat leur plairait ou non puisque leur plat favori leur serait servi sur demande. Et, rapidement, le bouche à oreille avait fait son travail et les réservations s'étaient faites de plus en plus nombreuses. Sans être l'affaire du siècle, notre restaurant était donc une affaire tout à fait rentable et sûrement l'endroit le plus sympathique de Phœnix.
Néanmoins, j'avais beau aimer autant qu'eux cet endroit, j'appréciais tout de même de pouvoir m'évader, autant que possible, dans mon propre monde ; celui des arts. J'aimais tous les arts ! La littérature, principalement, et la musique, dans un deuxième temps. Je me passionnais aussi pour l'histoire de l'art. C'était une discipline complexe et extrêmement vaste mais elle était de loin celle que je préférais entre toutes.
Malheureusement, pour pouvoir suivre ce cours bien particulier et, en prime, bénéficier d'une éducation artistiques à sa mesure, j'avais dû étudier beaucoup, énormément, bien plus que tous les collégiens que je fréquentais à l'époque, pour pouvoir, enfin, entrer dans le seul lycée de la ville qui offrait ce type d'enseignement spécialisés : The High School of Arts and Culture de la ville de Phœnix. Le paradis des artistes. Écrivains en herbe, musiciens en devenir, chanteurs, dessinateurs, peintres, photographes ou que sais-je encore ! Tous les arts étaient enseignés ainsi que leur histoire en plus des matières ordinaires qui n'étaient pas pour autant bouder par les professeurs et leurs élèves puisque le lycée bénéficier des meilleurs pédagogues, dans chaque domaine. Les résultats obtenus aux examens étaient excellents, chaque année et ce lycée se hissait sans mal en première place du classement des meilleurs de la ville et de l'état.
C'était le lycée parfait. Le lycée de mes rêves !... qui était rapidement devenu l'endroit que je détestais le plus au monde.
Pour entrer dans cette école prestigieuse, j'avais dû batailler sec et obtenir une bourse conséquente. Mes parents n'avaient pas les moyens de payer les droits d'inscriptions exorbitants réclamés pour chaque année du cursus. Malheureusement, rares étaient les élèves a avoir eu un niveau suffisamment bon pour obtenir cette bourse et la plupart de mes camarades étaient, par conséquent, des fils et des filles à papa au mieux complètement délurés, au pire totalement abjects. Et moi, petite Bella timide, réservée – pour ne pas dire que je manquais cruellement de confiance en moi – et, la plupart du temps, suffisamment à côté de ses pompes pour ne provoquer que les rires moqueurs de ses comparses, j'avais dû tenter, depuis déjà un an, de me faire une place dans cette école.
Un mois plus tôt, j'avais donc entamé ma deuxième année avec bien moins de motivation que l'année précédente. Fort heureusement, mon amie Angela – la seule amie, en réalité, que je m'étais faite au High School of Arts and Culture – serait de nouveau là pour me soutenir et je la retrouvais donc avec plaisir près des casiers, ce matin-là. Elle semblait, néanmoins, un peu plus excitée qu'à l'ordinaire et cette étrange attitude, aux antipodes de celle qui était ordinairement la sienne, ne me dit aussitôt rien qui vaille... Elle trépignait sur place, exactement comme ma mère en avait l'habitude. Aïe, aïe, aïe...
-Hey ! la saluai-je d'un signe de la main, incertaine.
Elle releva, alors, très rapidement le nez de son portable, sur lequel elle pianotait à tout allure, pour me sauter au cou en hurlant. Par une étrange réaction en chaine qui, j'imagine, devait faire partie de ces réactions incontrôlées et incontrôlables de l'être humain face à des situations données – comme le fait de battre des bras tout autour de soi en espérant que cela va pouvoir arrêter les patins que l'on a aux pieds avant de heurter le mur d'en face – je me mis également à crier et, quand elle se mit à sautiller, mes mains dans les siennes, un grand sourire aux lèvres, je l'imitais à nouveau bêtement – bien que, fort heureusement, dans un élan de lucidité venu de je-ne-sais-trop-où mais sans doute du au fait que je ne comprenais absolument rien à ce qui lui prenait, je ne me mis pas à sourire à sa manière mais, plutôt, à l'interroger :
-Je suis certaine que si tu me racontes ce qui se passe je serais très vite dans le même état que toi mais je t'avoue que, pour l'instant, je suis un peu... perdue.
-Oh Bella !
A nouveau, elle poussa un cri suraigu et me sauta au cou sans cesser de sauter toujours plus haut. Autour de nous, je ne pus m'empêcher de surprendre les regards curieux et franchement moqueurs des autres élèves mais je m'efforçais de les ignorer. J'aurais bien le temps, sur toute ma journée, d'entendre leurs réflexions et de pouvoir bouillonner tout mon soul sans jamais oser rien leur dire.
-Angelaaa, chantonnai-je de ma voix de casserole rouillée, Dis-moi ce qui se paaaasse !
-Ben m'a invité ! S'exclama-t-elle en relâchant enfin son étreinte, Il veut que je sorte avec lui ! Au cinéma ! Oh, je sais que c'est cliché mais... Ben m'a invité à sortir, Bella !
Ben, bien sûr. Le fameux Ben. Le merveilleux Ben. Un des membres de l'équipe de Basket et un saxophoniste de talent, à ses heures. Beau, plutôt intelligent – un peu plus que la moyenne, en tout cas – et totalement charismatique. Angela avait craqué pour lui dès le premier jour et n'avait eu de cesse de rêver qu'il la remarque un jour. Et ça avait été le cas pendant les vacances d'été. Impossible d'imaginer, bien sûr, que môsieur beau-gosse de service – et n'allait pas imaginer qu'il était le seul car, en plus d'être prestigieux, notre lycée accueillait un lot impressionnant de beaux et belles gosses en tout genre, à mon grand désespoir – ait pu poser les yeux sur Angela, élève studieuse et aussi timide et réservée que je l'étais, au beau milieu d'un couloir de notre lycée huppé. Non. C'était donc le hasard qui avait fait en sorte que leur chemin se croise et que s'ouvre les yeux du prince charmant de mon amie.
Nous l'avions croisé alors que nous venions faire nos emplettes dans un magasin vendant des instruments de musique plutôt pauvret mais excellent d'un point de vue qualité-prix et dont les vendeurs étaient toujours sympathiques et de bon conseil. En nous voyant entrer, l'un des vendeurs, habitués à nous voir débarquer dans la boutique assez régulièrement, nous avait salué chaleureusement et avait eu l'amabilité de nous présenter à « un garçon de notre école qui venait dans la boutique pour la première fois et la trouvait, littéralement, parfaite ». Ce sur quoi avait débuté des présentations plus en détail et une longue discussion entre Angela et son désormais dévoué prince charmant qui ne l'avait plus lâché d'une semelle depuis.
Je ne pus m'empêcher de soupirer en repensant à toute cette histoire de fou. Pourquoi n'avais-je pas droit à mon conte de fée, moi aussi ? Bella, c'était pourtant bien le nom idéal pour une princesse ! Hého, le grand barbu là-haut, pourquoi ne me donnes-tu pas le droit d'être une princesse, un peu, à moi aussi !
Nouveau soupir. Il fallait vraiment que j'arrête de parler à ce type soi-disant tout-puissant dont on disait qu'il régulait nos vies. Aucun doute, il avait dû paumer les ficelles de la mienne, d'existence, et abandonner la marionnette que j'étais à son pauvre sort. C'était sans doute pourquoi j'étais aussi maladroite ! Incapable de marcher seule sans être soutenue par les fils invisibles du destin qui m'avaient abandonné... Et, bien sûr, n'appartenant plus au destin, n'étant plus relié à lui, je ne croiserais donc jamais le prince qui m'était promis et je finirais seule, désespérée, lassée et, sans doute, entourée par une ribambelle de chats.
-Bella ! Youhou ! La Terre appelle la Lune ! Ça ne te dérange pas trop de passer récupérer toute seule ma commande chez James&Victoria, ce soir ? Je tiens vraiment à l'avoir d'ici demain mais avec ce rendez-vous...
-Non, ne t'inquiète pas, je m'en chargerais. Ça me changera les idées de flâner un peu en ville avant de rentrer, de toute façon.
-Ah ! Je t'adore, je t'adore, je t'adore !
Et, de nouveau, elle m'étreignit.
**********
C'est ainsi que je me retrouvais seule dans les rues de Phœnix, après les cours, ce soir-là. Je ne pouvais pas en vouloir à Angela, après tout. Elle avait tant désirée ce qui lui arrivait enfin et elle semblait si heureuse que je ne pouvais m'empêcher d'être contente pour elle. Simplement, j'avais la nette impression que cela n'allait pas arranger mes affaires... C'était bien égoïste, certes, mais Angela était ma seule amie et je n'étais pas suffisamment naïve pour croire qu'elle ferait en sorte de partager équitablement son temps entre son parfait petit-ami dont elle était raide-dingue et moi, la gentille Bella quand même carrément moins glamour, comme compagne.
Bref. Il valait mieux pour moi que je cesse de songer à tout cela pour le moment. Je jetais un rapide coup d'oeil à ma montre. 18H45. La boutique où je devais me rendre fermait à... « 19h pétante ! »
La voix de mon amie dans mon esprit résonna comme la sonnerie de mon réveil-matin annonçant que j'étais en retard, comme toujours et, aussitôt, mes réflexes matinales prirent la relève et je me m'y à courir à perdre haleine dans les rues afin d'avoir une chance d'arriver à temps. Il y avait fort à parier que je me casserai la figure avant d'avoir traversé trois rues mais je devais au moins essayer. Je n'allais tout de même pas prendre le risque de perdre une amie pour de bon pour une bêtise pareille ! Ce que je pouvais être tête en l'air ! Pourquoi avais-je tant trainé, aux casiers, après les cours ? Pourquoi avais-je pris le temps de m'offrir une pâtisserie, alors que je ne le faisais jamais ? Pourquoi avais-je marché si lentement ? Et pourquoi étais-je infichue de rester concentrée sur une tâche plutôt que de me perdre dans mon imaginaire délirant ?! J'aurais vu l'heure passée, si j'étais moins bête ! J'aurais pris conscience de mon retard et je me serais rappelé que la boutique fermée à cette heure-là !
Et voilà que je pleurais à chaudes larmes sans pouvoir m'en empêcher. Mes yeux furent rapidement inondés et ma vue se brouilla inévitablement. Pourtant, je continuais à courir ; je tenais à arriver avant la fermeture ! Je pouvais le faire ! Je n'étais pas si null...!
Le temps sembla soudain perdre son rythme effréné et ralentir, et ralentir encore... Je vis chaque détail de la scène comme si des arrêts sur image, incroyablement longs, me le permettait. Le choc, tout d'abord, puis la couleur bleu d'un polo très doux qui caressa ma joue une fraction de seconde. Puis deux émeraudes, agrippant mon regard. Hypnotiques. Puis, le vent balayant mes cheveux et les siens, rougeoyant et brillant sous le soleil couchant. Son bras tentant de me rattraper pour m'empêcher de partir en arrière et, dans le même temps, sa chute à lui, inéluctable. Une sorte de demi-tour et, enfin, à terre tous les deux. Moi sur lui. Lui sous moi. Nos lèvres jointes. Nos yeux exorbités. Et nos cerveaux – le mien, particulièrement – incapable de réagir et de saisir ce qui vient et se qui est en train de se produire. Mon premier baiser.
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Hey !
Bah oui, c'est moi ; Shousetsu. Celle qui vous fait poireauter depuis je ne sais même plus combien de temps avec son autre fic, XIX. Alors, on va faire vite : non, je n'ai pas l'intention du tout d'abandonner XIX mais je suis dans une période carrément chargée, entre partiels et autres évènements qui me prennent un temps de fou sur mon emploi du temps et, j'avoue, je n'écris quasiment plus rien hormis ce qu'il faut que je rende comme devoirs à ma fac. Mais, si tout va bien et que je survis aux partielles, ça devrait finir par s'arranger. Quoiqu'il en soi, XIX finira par revenir et j'en profite pour remercier celles (et ceux, peut-être) qui continuent de me laisser des reviews et qui attendent patiemment la suite. Je fais de mon mieux mais je ne veux pas vous livrer une suite ratée alors c'est long.
Bon, mais revenons-en à nos moutons... J'ignore si je dois continuer ou pas cette fic-ci. Enfin, c'est surtout partie d'une idée qui me trottait dans la tête et il est vrai que j'ai beaucoup d'idées quant à ce qui pourrait arriver à nos amoureux préférés et à leurs amis et familles mais, deux fanfics en même temps... Pas forcément évident.
Cela dit, si l'histoire vous plait vraiment, le style et le reste, que vous avez esquissé le moindre sourire en lisant ce chapitre, n'hésitez pas à me le dire. J'imagine que vos reviews m'aideront à prendre une décision et à me motiver. Bref, si vous voulez une suite, CRIEZ LE BIEN FORT ! ^^'
