Version corrigée et améliorer de la fic d'origine. Je ne sais pas comment vous avez pû lire cette horreur pleine de fautes parce que moi je n'ai pas pu XD

Les italiques sont les pensées de Natsuki.


/!\ NatShiz /!\

Quand la solitude laisse place à l'Amour

~ Chapitre un : Aveu d'un être cher ~

10 juillet, après midi calme et chaud. Comme touts les jours qui ont précédé celui-ci, je suis seule dans mon appartement ne sachant plus quoi faire de mes journées. Etrangement, je me sens seule. Pourtant, la solitude un sentiment que je connais bien mais là, il me pèse beaucoup plus qu'auparavant. Mai est partie quelques semaines avec Tate, Mikoto est chez son frère Reito et Shizuru … Je pousse un soupir qui ne cache pas ma tristesse en pensant à elle.

« Shizuru … »

Depuis la remise des diplôme, je ne t'ai pas fait de cadeaux … Tu as du voir dans mon regard que je voulais rester seule …. Ce regard t'as t-il blessé, Shizuru … ? Sans m'en rendre compte, de fines larmes coulent le long de mes joues. Je plonge alors ma tête dans mes bras posés sur cette table basse contre laquelle je suis appuyée depuis maintenant plusieurs heures. Je pleure en silence pour ne pas briser le calme plat de mon appartement … Mais était-ce la vraie raison … ?

« Non … »

Je ne voulais pas pleurer pour la simple et bonne raison que je ne voulais pas que la réalité des choses me fasse prendre conscience que tu me manques Shizuru. Ces mots que je venais de penser, résonnaient dans ma tête. Oui, je venais d'avouer un sentiment qui m'était inconnu auparavant : La dépendance physique et mentale pour quelqu'un d'autre. J'ai besoin de Shizuru comme Shizuru à besoin de moi.

« Shizuru … »

Mes pleures ce font plus intense, mon cœur se compresse et d'une voix fatiguée, des mots que jamais je n'aurais prononcé avant, sont sortie de ma bouche.

« Je veux te voir … J'ai besoin de toi … »

Mon poing se serre, par ce chaud après midi de juillet, je venais enfin de m'avouer les sentiments que je ressens pour elle à cet instant même. Je l'aime … peut être pas encore du même degré mais je l'aime c'est certains. Je l'aime plus que n'importe qui et plus que la mayonnaise. Je souri un peu en pensant à cela, ton visage me revient en mémoire, je peux presque sentir ton parfum et ta voix aux accents de Kyoto soufflé mon nom

« Na-tsu-ki »

Mes yeux se ferment lentement, je me laisse gagner par le sommeil de ces nuits où je ne le trouvais pas.

Le parc en fleur de Fûuka, un parfum doux et fraie, alors que je m'apprête à arracher les pétales d'une de ces fleur, une voix résonne derrière moi :

« Tu ne devrais pas faire ça. Les belles fleurs sont faites pour êtres aimées car elles font de leur mieux pour éclore durant leur courte vie. »

Je me retourne brusquement, tu es là, devant moi, souriante et tu as toujours sourit pour toutes les autres fois où nous nous somme vue. Je ne l'ai jamais dit mais j'ai toujours voulu de ta présence même si mon comportement prouvait le contraire.

Mes yeux s'ouvrent difficilement. Encore sous l'effet de mon rêve qui me rappela notre première rencontre, je ne m'aperçois pas tout de suite que ma fenêtre est grande ouverte et qu'une douce odeur se propage dans mon appartement. Mes yeux s'écarquillent, mes muscles se raidissent et mon cœur bat la chamade. Dans un effort surhumain, je me lève rapidement obligeant ainsi mes membres, encore endormie, à travailler. Je me précipite dans la cuisine, mon cœur s'arrête d'un coup en te voyant. Tu es là, devant moi, les cheveux en chignon, le geste calme mais précis … Tu prépare quelque chose. Incertaine mais rassuré de te voir, je m'approche à pas de loup. Laissant mon éternel froideur et ma peur de cotés, je laisse mes bras enlacer ta taille, te serrant contre moi. Tu sursaute un peu, je devine ainsi que tu hésite entre te retourner et me rendre cette étreinte chaleureuse que je t'offre ou rester de marbre de peur de me faire fuir rompant ainsi ce moment si rare de tendresse. Je te sens trembler …. Pourquoi ? Pleures-tu, Shizuru? Perturbé à l'idée de te voir pleurer, je te retourne et constate que tu pleures bel et bien. Je n'aime pas voir des orbes cramoisie inonder de larme malgré le fait que je sois la cause de tout tes pleures.

« Shizuru … »

A l'instant même où je souffle ton nom, ma main essuie maladroitement tes larmes. Je me sens rougir mais qu'importe. Tu t'approches de moi, doucement, me laissant ainsi le temps de m'éloigner pour refuser ton étreinte mais je ne bouge pas. Tu pousse un soupire qui ne cache pas ton soulagement en voyant que je ne fuis plus. Peu à peu, tu te blottis contre moi. Tes bras m'agrippent et me serre comme un naufragé s'agrippant à son radeau en plein milieu de l'océan. Je sens mes larmes montées et mes sentiments, jusque là rejeté, me submerger. Je te serre ma mon tour, de toutes mes forces.

« Shizuru, pardonne-moi ! Ne t'éloigne plus jamais même si c'est moi qui te le demande ! Reste avec moi ! J'ai besoin de toi … »

Mes derniers mots n'étaient qu'un murmure. Tu me regardes, perdue et étonnée par ces mots que je venais de prononcer. Ton regard ce pose dans le mien, je peux y voir une multitude de questions. Mon cœur s'emballe, mes joues sont en feu tendit que mon regard ce pose sur tes lèvres. Tu rougis à ton tour et t'apprêtes à dire quelque chose mais, prise par un violent désir, je m'empare de tes lèvres, te coupant ainsi toute parole. Je te perturbe complètement, je le voie dans tes yeux pendant que je t'embrasse. Ton malaise étant présent, tu hésite mais finalement tu glisse lentement ta langue dans ma bouche pour venir rencontrer la mienne. Comme pour me laisser le temps de tout arrêter, tu t'arrêtes en plein milieu du chemin. Ton regard cherche un signe dans le mien pour pouvoir aller plus loin.

« Cette fois je ne te laisserai plus partir »

Mes yeux se ferment et ma langue vient rencontrer la tienne, elles s'entremêlent et se touche délicatement. Au plus profond de moi, je sens ta joie et ton interrogation puisque tu te blottis un peu plus contre moi. Pour te laisser respirer, je casse a contrecœur le contact, lentement. Tu es complètement perdue, je souris en voyant le trouble ce dessiner sur ton visage, chacun son tour. Délicatement, je prends ton visage entre mes mains. C'est le bon moment pour te dévoiler mes sentiments, enfin … enfin, ces mots qui m'effrayaient, vont sortir de ma bouche.

« Je t'aime …. Shizuru »