Réchauffe moi
One-shot écrit dans le cadre de la cent-septième nuit du FoF (forum francophone), sur le thème aimer.
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Aimer...C'est monté si haut, disait la chanson. elle oubliait de précisait que c'était pour tomber plus bas.
C'est si facile de ne rien ressentir.
Elle resserra son manteau sur son corps longiligne, un geste vains. Le froid de l'hiver ne pouvait plus l'atteindre depuis longtemps. La silhouette sourit au vent, se moquant presque d'elle même, elle agissait comme si elle espérait pouvoir réchauffer son cœur.
Ne rien ressentir. C'en etait presque un cadeau.
Ca semble si facile, coucher sur du papier. Ou après les rappels de l'expérience. Mais personne n'est insensible face au conséquence de sa naissance, pas même les jolies araignées.
Elle caresse la stèle de marbre du cimetière, retrace le symbole d'overwatch et effleuré les lettre sombre tracé sur la tombe.
Un seul nom est marqué, pourtant elle songe avec amertume que deux personnes sont mortes ce jours là.
Dix ans on passer, Dix ans est pourtant elle se souviens encore avec la même netteté que si elle le voyait sur ses yeux.
Le corps endormit de l'homme, il est beau. Pas d'une beauté typique, mais il à un charme impressionnant. Sa respiration est paisible, le plis soucieux sur son front on disparut dans les limbes du sommeil. Surtout depuis qu'elle est revenue. Elle peut le sentir à la mains fermement posé sur sa taille, il doit encore s'en vouloir que son poste de responsable au seins de l'initiative Overwatch ai mener à son enlèvement. Si elle lui en avait brièvement voulut durant sa capture, elle n'arrive pas à lui en vouloir. Il a remuer ciel et terre pour la retrouver.
Amélie ne saurait jamais ce qui c'est passé. Un instant son mari était le bel Endormit, L'instant d'après il se vidait de son sang, le coup avait été franc, au niveaux du cœur. Nombreux serait ceux à dire qu'il n'a pas souffert.
La jeune femme observe d'un air paniqué son pijama couert de sang, et dans sa mains, rougeoyante dans la faible lumière de leur chambre à coucher, le lame qui à servit à le tuer. Elle à peur, elle est terrifier par la simple idée de ce qu'elle vient de faire. De nombreux sentiment s'entrechoque dans ses yeux paniqué. La terreur, la culpabilité, écrasante cela va de soit, l'incompréhension de son propre geste, la douleur de la perte immense qu'elle avait elle même provoqué.
Tant de sentiments contraire. L'assassin les savoure comme une goulée d'air après une longue apnée, appréciant par le biais de ses souvenirs ce qu'elle ne pouvait plus trouver dans son propre cœur. Le goût est savoureux comme une tarte au citron meringué.
Sucré, délicieux, et avec une douce langueurs amère.
Elle l'avait aimé. Amelie Lacroix, cette ancienne version d'elle, elle avait aimé son mari, et elle l'avait tuer, actrice malgré elle d'une drôle de fable raconté pour faire peur au enfant, tuant au passage tout ce qu'elle était.
Fatal observe les lettres avec un petit sourire, elle semble aussi songeuse que son visage glacial le lui permet.
Amélie aimait Gérard pour les danses dans les soirée mondaines, pour ses entraintes chaleureuse et sincères, pour le sentiment de papillons qu'il faisait naître dans son ventre quand il lui murmuré quelque mots à l'oreille ou quand ses lèvres se posait sur les siennes.
Elle aussi aime cet homme. Non pas pour ses discours niais ou pour des choses aussi futil que la dance. Non, bien sur que non. Ses souvenirs sont une forme drogue, un instant, un instant seulement elle ne vit pas seuelement les choses, elle les ressent. C'était la seule raisons de son pelrinage et de cette rose déposé chaque année sur cette tombe ou un nom caché un double meurtre.
Même dans sa mort, Gerard continuait de lui apportait beaucoup.
