Cœur de feu
By Pim'ouse
Rated T
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Prologue
La, debout derrière les vitres de ma chambre, j'observé les rayons du soleil bruler les alentours comme un feu de paille. D'ailleurs, il était bien la question d'un feu de brousse, dangereux et dégagent une fumé acre. J'étais la, derrière ma fenêtre à observer les animaux et les hommes ce débattre avec les flammes qui, elles gagnent du terrain a chaque minutes qui passe. Pourtant, je n'ai pas peu, elles n'arriveront pas jusqu'ici, elles n'arrivent jamais ici, elles cessent toujours avant de franchir la ligne invisible de ma propriétés. Seulement, la était l'une des dernière fois ou je pouvais observer cela d'ici. J'avais aujourd'hui dix sept ans et j'étais envoyé par mon tuteur dans une école aux États-Unis. "Il te faut une éducation américaine et non celle d'indigènes" avait il ajouté les dents serrés de rage devant mon refus catégorique de partir d'ici. J'étais née ici, lui, mon paternel était d'une famille venant de la bas, il a connus ma mère durant un séjour ici, pour un safari photo. Il faut dire que dans notre région il n'est pas rare de recevoir des riches chasseurs pour des safaris chasses à tous les animaux de la savane.
Maman, était donc d'ici et c'est battue pour faire interdire cette pratique dans notre domaines, choses faite avec le soutiens des réserves national de la région qui ont pris la décision de faire interdire les chasses dans toutes la région comprenant aussi nos terres et celle de notre voisin amis de notre famille. C'est a partir de la que la relation de mes parents c'est dégradés, ils ne cessés de se disputer pour les décisions de maman et les noms décisions de papa. Puis, un jour, lors d'une dispute plus violente que les autres, ma mère avait trouvé la mort de la main de celui-ci. Aujourd'hui, il ne me reste plus rien, ma mère, morte et enterré depuis plus de cinq années et mon père, mort en prison il y a deux ans, de lâcheté lui, les gardiens de sa prison l'ont retrouvé pendu avec les draps de son lit un beau matin. Pourtant, tous les deux on bien assuré ma vie, maman m'a léguée cette endroit laissé sous la tutelle de bill, le contre maître jusqu'à la fin de mes études et mon père avait pensée a m'organiser mon éducation en m'envoyant de force chez un "ami" a lui au fin fond d'un autre pays. Je lui faisais confiance bien sur, même si, tueur sous le coup de la colère, il resté mon père avant tous et n'avait jamais eu un geste déplacé envers moi. Je pars donc dans quelques minutes – sitôt que les employés auront éloigné suffisamment les flammes pour le permettre – vers les terres qui me sont totalement inconnue des États-Unis d'Amérique. Grand changement pour moi qui n'est jamais quittée les terres arides de l'Afrique du Sud, mais je pense que j'y survirai comme a toute la récente épreuve que le ciel m'a infligée. Je m'en sortirai plus forte qu'avant, je le sais.
