Ceci sera une fiction concernant Mozart, mais cette fois-ci, le Mozart de notre époque, à savoir, Mikelangelo Loconte, ces collègues seront également présent, comme Florent Mothe, Maéva Méline, Mélissa Mars, Merwan Rim et les autres. Le grand Dove Attia apparaitra lui aussi dans cette fiction. Commençons par le commencement, et que je dis, commencement, c'est vraiment le commencement, nos musiciens et chanteurs ne se connaissent pas encore, c'est partit...!

Bien sûr, je ne connais pas personnellement les personnages, et tout ces dialogues sont inventés de toute pièces, rien n'est vrai. A part les personnages. Les lieux, age et personnalité sont susceptible de ne pas correspondre au réel. Merci.

Les Point De Vue, changerons régulièrement, vous en serez mis au courant :)

/!\ Fiction Slash /!\

PDV : Florent Mothe

Je venais de me réveiller, la tête encore dans le cirage, je ne m'étais pas couché tôt hier soir, il y avait eu une fête dans le village de Toronto, là ou j'habite. J'y ai participé, et j'en ai profiter un peu pour jouer de la musique et chanter. Toutes les occasions sont bonnes pour moi, pour chanter et jouer. Je traina donc les pieds jusqu'à la cuisine en attrapant mon ordinateur portable en passant devant, je l'avais posé sur ma commode. Je le posa et l'alluma négligemment en le posant sur la table. Je me prépara un petit thé avec du miel, mon petit plaisir du matin, accompagné de deux ou trois biscottes beurrées. Je sortis tout les ingrédients nécessaires pour me préparer un bon petit déjeuné à ma façon. Je beurrais mes biscottes en laissant infuser mon thé, je pris une bouchée et la reposa, j'ouvris ma boîte mail, j'ai un message de Myspace, me disant que Dove Attia m'a envoyé un mail. Dove Attia, Dove Attia... Ce nom me disait quelque chose... C'est pas l'homme qui était jury à la nouvelle star, il me semble que oui, il avait aussi fait des comédies musicales aussi, si mes souvenirs sont bon. Mais pourquoi m'écrivait-il? C'est curieux! Impatient j'ouvrais le site Myspace et entra sur mon profil, j'ouvris le message. Une fois le message lu, je n'en croyais pas mes yeux, je venais de lire le plus grosse opportunité de ma vie! Dove m'invitait à participer à une audition pour faire partie de la nouvelle comédie musicale qu'il créé en collaboration avec Albert Cohen, il me dit que sa s'appelle « Mozart L'Opéra Rock ». Je ne perdis pas de temps à lui réponde que, bien sur, j'allais y participer! L'audition se déroulait la semaine prochaine à Paris, coup de chance, mes parents habite à Paris! Je m'empressais de les appeler, et leurs annoncer mon retour à la capitale française, il étaient vraiment heureux et acceptaient volontiers de m'héberger le temps qu'il faudra. Ni une ni deux, je prépara ma valise, j'emmenais juste le strict minimum, on verra sur place! Je filais dès le lendemain à l'aéroport et sauta dans le premier avion pour Paris.

PDV: Mikelangelo Loconte

J'étais un peu stressé, j'avais une audition aujourd'hui, pour la comédie musicale de Dove Attia! J'espérais vraiment être à la hauteur. J'avais mis un jean délavé, et un t-shirt bleu clair, je n'avais pas enlever mes bracelets en tissus, je voulais que, s'ils me prennent dans leurs spectacle, qu'ils me prennent tel que je suis, je ne voulais pas changer mes habitudes vestimentaires. J'ébouriffai mes cheveux et mis un peu de laque, je pris un taxi pour la salle ou se déroulait l'audition. Il y avait toute une file d'attente dans le couloir, je m'installais en dernier et fis la queue comme tout le monde. Devant moi il y avait un homme au cheveux brun, il avait une petit mèche sur le front et une barbe naissante. Oh et puis, snif snif hmm, il sentait terriblement bon, son parfum était vraiment enivrant. D'autre personnes arrivèrent et se mirent derrière moi pour attendre leur tour. Il y avait vraiment beaucoup de monde, allais-je réussir à faire bonne impression? Ais-je assez de potentiel pour être accepté? Je l'espère. Je me retourna un vis un homme derrière moi, il était vraiment grand, et avait les cheveux très long, attaché en arrière en queue de cheval, qui laissaient apparaître une petite boucle d'oreille noir, il avait la peau un peu bronzé, il me fit un sourire lorsque je le regarda, il avait de petites fossettes adorables qui lui creusaient les joues. J'en étais sur, je l'avais déjà vu quelque part, mais où? Je cherchais dans mes souvenirs... Oh mais oui, bien sur, c'est le Duc de Beaufort! Il jouait avec Emmanuel Moire et Christophe Maé dans Le Roi Soleil, Évidemment! Voulant faire un peu d'humour, je lui dit:

-Dit donc Monsieur Beaufort, vous comptez faire toute les comédie musicale comme ça?

Il me sourit gentiment et laissa échapper un petit rire avant de me répondre:

-Et bien pourquoi pas? Ça me plairais bien!

Je lui souris et lui tendit une main amicale:

-Enchanté, je suis Mikelangelo Loconte, ou plus simplement Mikele.

-Merwan Rim! Enchanté également! Me répondit-il en serrant ma main.

Nous commençâmes à discuter tout les deux, de tout et de rien, nous en vîmes à parler de l'audition, lui avait l'habitude, il avait également joué dans Les Dix Commandements, moi, en l'occurrence, c'était la première fois que je postulais pour une comédie musicale, l'homme barbu devant moi se retourna et me dit :

-Je suis également dans votre cas, c'est une première fois pour moi aussi.

Il avait une voix, douce, calme et tendre. C'était vraiment agréable de l'entendre parler avec autant de sérénité.

-Pourtant vous ne semblez pas stressé... Lui répondis-je.

-Parce que je ne le montre pas! Il me fit un clin d'œil et me tendit une main amicale, Je suis Florent Mothe!

-Mikelangelo Loconte, ou Mikele, Enchanté.

Il se présenta également et serra la main à Merwan, l'homme qui était derrière moi. Nous commençâmes à discuter et à faire connaissance. J'appris que la semaine dernière encore, Florent était à Toronto, il avait fait le voyage exprès, jusqu'ici à Paris, pour venir passer cet audition. Nous arrivions enfin à un petit bureau ou un autocollant avec un numéro inscrit dessus nous furent attribué. Il y avait des canapés et des fauteuils ainsi que des distributeurs de friandises et un mini-bar pour patienter. Je pris place sur un canapé, Florent, qui était juste devant moi dans la fil, s'assit à côté de moi, nous reprîmes la conversation, là on nous l'avions laissé. Il me proposa:

-Vous voulez quelques chose? Il désigna le bar d'un signe de tête.

-Oui, je veux bien, s'il vous plait, ramenez-moi un petit café. Je lui fit un grand sourire en remerciement.

Il se leva et alla chercher ce que je lui avait demander. Il revint avec mon café, il me le donna, lui, s'était prit un thé.

-Merci, vous êtes gentils, lui dis-je.

-Ho mais vous pouvez me tutoyez vous savez, je ne suis pas si âgé que ça. Il rigolait.

-Alors tutoies moi aussi, malgré mon âge... Lui répondis-je en souriant.

-Malgré ton age? Répéta-il étonné.

-Et oui, j'approche rapidement de la quarantaine moi!

Il fit de grand yeux et me dit:

-Très franchement, vous ne les faites pas!

Je rigola et il ajouta:

-Votre rire et votre comportement font très enfantin, c'est mignon, j'aime ça!

-Merci, c'est vraiment très gentil. Mais il faut me tutoyer, lui répétais-je.

-Ah oui, pardon, j'ai du mal à m'y faire.

-Il n'y a pas de mal, ça fait donc seulement une semaine que vous êtes sur Paris, vous habitez dans quel coin?

-Pour le moment je suis hébergé chez mes parents, je cherche un petit appartement, mais les montants sont trop élevé pour moi. Je dois me résoudre, pour le moment à rester chez mes parents. Même si ce n'est pas pratique, ils n'ont pas une grande maison, je dois dormir dans le canapé.

-En effet, ça ne doit pas être vraiment agréable. Chez moi, j'ai une chambre d'amis si tu veux, tu peux venir! Il n'y a pas de problème, ça me fera plaisir.

Il n'eut même pas le temps de me répondre, que son numéro fut appelé, il partit, et nous nous fîmes la bise, je lui souhaita bonne chance. Il partit en direction du jury, dans la salle d'à côté. Hé! J'étais juste derrière lui! Ça veux dire que le prochain à passé, c'est moi! J'avalais difficilement ma salive, et respirais longuement pour me détendre et ne pas laisser le stress m'envahir. Au bout de quelques minutes d'attente, je fus appelé à mon tour pour passer devant les jury. Bizarre, je n'est pas vu Florent sortir de la salle! Tant pis, je suis appelé, j'entre. Une fois entré, je vis une porte de l'autre côté. Ah d'accord, la sortie est par là. Bon, je me présenta devant le jury en faisant de grand sourires pour être le plus agréable possible, on me demanda de chanter une chanson de mon choix, ce que je fis. Puis ils me tendirent un petit panier avec des morceaux de papier dedans, je piocha et déplia le petit papier, je lu à haute voix:

-Vous êtes un grand musiciens de renommé mondial, un fan se met à vous insulter! Comment réagissez-vous?

Je compris vite qu'il s'agissait d'improvisation. Il me dirent que je devais faire un dialogue comme si la personne insultante était devant moi. Je suis de nature très calme, et je m'énerve vraiment très rarement. Ça sera surement bénéfique pour moi. Je mimais donc quelqu'un qui était calme et je ne me pris pas la tête. Le jury sourit avant de me prévenir que j'aurais la réponse dans quelques jours, et me montra la sortie après avoir noté mon numéro de téléphone. Je sortis, soulagé, je ne pense pas avoir fait de grosses bêtises qui puissent m'être fatal, ouf. Je me retrouvais dehors, cette sortie menait donc à l'extérieur du bâtiments. Je passais devant le parking, des centaines de voitures y étaient garées là. Au loin je vis le fameux Florent. Je m'avança vers lui curieux de savoir comment son tour s'est passé. Il fumait une cigarette, il sourit lorsqu'il me vis, il me dit:

-Alors?

-Moi, ça va, j'ai pas l'impression de m'être planté. Et toi ?

-Ça va aussi pour moi! J'ai cru faire bonne sensation.

Nous nous sourîmes et je lui demanda:

-Et alors, pour ma proposition? Tu veux venir chez moi le temps de trouver un appartement?

-Euh, oui pourquoi pas!

-Tu es en voiture toi j'imagine?

-Comment le sais-tu? Me demanda-t-il en haussant un sourcil.

-Et bien, sinon, je ne vois pas l'utilité d'être sur le parking, c'est ici que tu étais.

-Et oui, je suis bête! Il se tapa le front de la paume de la main.

Je rigola.

PDV : Florent Mothe

Le rire du fameux Mikele était un petit rire aigu et enfantin. Il avait des cheveux blond avec une petite mèche de cheveux longue sur le coté, ses cheveux étaient en bataille. Il m'avait invité à venir chez lui, il y avait plus de place que chez mes parents. J'avais donc accepter avec plaisir. Et puis, ça me fait une connaissance sur Paris.

-Il faudra d'abord que je passe prendre quelques fringues chez mes parents. Lui dis-je.

-D'accord.

-Bah t'as qu'a venir avec moi, comme ça tu m'indiquera la route de chez toi une fois que j'aurais pris un sac.

-Ça me va! Il souriait de plus belle.

Il était visiblement heureux de m'héberger chez lui. Tant mieux, comme ça, je n'aurais pas l'impression de m'imposer et de déranger. J'écrasai ma cigarette et nous montâmes dans ma voiture, il s'installa côté passager, sur la route nous discutâmes:

-Tu n'a pas ton permis toi? Lui demandais-je.

-Si, mais je n'ai pas de voiture, et puis ça fait longtemps que je n'ai plus conduit. Donc bon...

Je lui souris:

-Ah oui je vois.

Nous arrivâmes devant chez mes parents:

-Je t'attend là, me dit-il.

-D'accord, je reviens vite, je me dépêche!

-Je t'en prie, prend ton temps.

J'entrai dans la maison et attrapa deux jeans, deux T-shirt et quelques sous-vêtements de rechanges. J'allai à la salle de bain, pris mon shampoing, brosse a dent, et tout les produits de toilettes, et fourra tout ça dans mon sac-à-dos. J'embrassai mes parents en leurs disant qu'un ami m'hébergeait dorénavant. Il furent triste que je parte mais content que j'ai fait connaissance avec quelqu'un. Je ressortis en courant et remonta à bord de ma voiture, au côté de Mikele en jetant négligemment mon sac sur la banquette arrière. En route! Il m'indiquait le chemin à prendre, étant donné que je ne connaissais pas la route de chez lui. Au bout de quelques virages et rond points, il me dit:

-Stop! C'est là.

C'était un petit immeuble de trois ou quatre étages, je me garait devant.

-Nan t'as pas le droit, mon ex s'était garé là, et il euh, elle à eu un PV à cause de ça.

Je sursautais à l'intérieur de moi. Tient c'est marrant, il est gay, je ne savais pas... Ça expliquerait peut être son petit côté androgyne et enfantin. Il portait un jean délavé moulant, et un t-shirt bleu ciel qui lui collais au corps. Oui après tout, pourquoi pas. Je sortis de mes pensées quand il me tapota le bras en me montrant un petit parking a cent mètre de là. J'allai m'y garer et nous descendîmes de voiture, j'attrapai mon sac et ferma ma voiture à clefs. Je le suivis dans le hall du petit immeuble, il appela l'ascenseur:

-Tu verras, me dit-il, c'est pas bien grand, mais au moins, tu ne dormira pas sur un canapé.

Je rigola et lui répondis:

-Oui, voilà, c'est gentil en tout cas de m'héberger.

-Mais c'est normal, si je peux rendre service au gens! Il me fit un grand sourire. L'ascenseur s'ouvrit, nous entrâmes, et il appuya sur le bouton du 3ème étage. Un grand silence se fit. Je repensa à ce qu'il avait dit « Mon ex... Il euh, elle... ». Était-ce une erreur sans importance ou était-il vraiment comme ça? Non pas que ça me dérange, mais je ne voulais pas le blesser si je dit un truc de travers ou si une réflexion m'échappe, ou encore même si je dis un truc, et sans le savoir il y a un rapport avec ça, il pourrait croire que je me moque de lui ou quoi. Je ne voulais pas faire de faut pas. Et pourquoi s'était-il rattraper en disant « Elle », ensuite? Peut-être ne voulait-il pas que je le sache? Je n'eus pas le temps de me poser plus de question, l'ascenseur s'ouvrit. Son appartement était la porte à gauche du couloir, il fit ouvrit la porte et me fit signe d'entrer avant lui. Une fois à l'intérieur il referma la porte et posa ses clefs sur une petit table.

-Viens, je vais te montrer ta chambre, tu pourras poser ton sac.

-Merci.

Je le suivis, il ouvrit une porte sur une pièce avec une armoire et un lit.

-Je te laisse t'installer, me dit-il, je vais préparer à manger. Tu as faim?

-Oui, merci.

Il me sourit, je lui rendis un sourire en retour, et il referma la porte après être sortit de « ma » chambre. Je posa mon sac au pied du lit et m'assis dessus. Je retira mes chaussures et m'allongea en passant mes mains derrière ma tête. Je bailla et m'étira, j'étais fatigué, je m'étais levé tôt ce matin pour me préparer et être de bonne heure à l'audition, nous étions rester longtemps debout, et nous avions attendu longtemps. Après tout, c'est bientôt le soir, c'est normal que la fatigue me gagne. Je ferma les yeux et me détendis.

PDV : Mikelangelo Loconte

Je l'avais laisser s'installer et se mettre à son aise de la chambre d'amis. Moi, je m'étais mis à lui préparer des pâtes, le meilleurs plat que je sais faire, normal, je suis italien quand même. Je me surpris à rire tout seul de ma réflexion idiote. Des pâtes, des petits lardons, et de la crème fraiche! Hop, c'est prêt! J'appelais:

-Floreeeeeent, c'est prêt! Tu viens manger?

Pas de réponse. J'allai jusqu'à sa porte et je toqua doucement. Personne ne répondit! Mince... J'entrouvris légèrement la porte, et je le vis allonger sur son lit, les yeux fermés, il s'était surement endormis. Je m'avançais pour le réveiller. Non. Finalement je le regardait. Il n'était pas si mal que ça quand même! Son t-shirt noir épousait parfaitement son corps. Sa frange retombait négligemment sur ses yeux, à chaque respiration, son torse se soulevait. Il est beau, je n'avait pas remarqué à quel point... Mais contrairement à moi, lui ne s'intéresse pas aux hommes... Du moins je ne pense pas, c'est pas son style. Quoique, il n'y a pas de style définis pour aimer les hommes. Mais bon, je ne me fais pas trop d'illusions. Je continuais de le contempler un instant, et je me surpris à avoir fait glisser mon regard sur son entrejambe. Non Mikele, soit sérieux voyons. Je tendis la main afin de lui secouer le bras pour le réveiller, puis stoppa mon geste, non, il est surement très fatigué. Je sortis de la chambre et retourna à la cuisine, je mis un peu de pâtes dans une assiette et posa une cloche au dessus pour ne pas que sa refroidisse, j'emmenai ça dans la chambre de Florent et le déposa doucement sur sa table de nuit, sans faire de bruit ou de gestes brusques pour ne pas le réveiller. J'étais tout près de son visage, je le regardais, son visage était magnifique, sa bouche m'attirais énormément. Je sortis vite de la chambre pour ne pas avoir à me retenir et me contrôler plus longtemps. Moi aussi, je ferais bien de me coucher tôt! Je me servis vite fais une assiette à mon tour et mangea en vitesse. Je rangea un peu la cuisine et rejoignis ma chambre, je me déshabilla et me glissa en boxer, sous la couette. Brrr, les draps son froid. Je souris à l'idée de savoir qu'un si bel homme dormait dans la chambre juste à coté de la mienne, Je m'endormis en me remémorant le visage de Florent et je pensais à toute les choses que nous allions vivre et partager, si nous sommes tout les deux pris dans la comédie musicale de Dove Attia...