Lentement, Dumbledore dévisagea tout les objets de son bureau pour ne pas avoir à poser son regard sur les mots qui composaient la lettre qu'il tenait entre ses mains. Cette lettre qui portait en elle le malheur et la mort.
La nouvelle qu'elle renfermait etait une catastrophe pour lui en tant qu'homme mais aussi pour l'ordre.
Son vieil ami, mais surtout un mage d'exception venait de mourir. Les raisons du dècès n'étaient évidemment aps mentionnés dans la lettre. Mais etait-ce vraiment utile de nommer et décrire l'évidence?
Le malheur n'est compatible dans une phrase qu'avec le nom de Voldemort.
Si on lui avait dit un jour que Robert D'Algrande, détenteur de la science du Duel Ancien et chef de cette même confrérie viendrait à mourir, Albus en aurait rit.
Hélas aujourd'hui la vérité était toute autre et le vieil homme ne sentait en lui aucune envie de rire.
Son ami tout comme lui avait monté une école. Cependant l'ambiance et les cours y était très différent.Les jeunes enfants etaient recrutés après de longs tests. Les plus doués d'entre eux etaient ensuite appelés a faire partie de la confrérie D'Algrande du nom de son fondateur. Eux et eux-seuls avaient droit à l'enseignement du Duel Ancien.
Inutile de rajouter que d'ailleurs ces temps-ci les élus etaient de moins nombreux. Avec la retour de Voldemort la plupart des jeunes s'etaient tournés vers la facilité et la magie noire.
Albus d'ailleurs ne connaissait aucun des cinq élèves apprentis de sa confrérie. Leur maître ne lui avait confié que leur nombre.
Soudain alors que le vieil homme allait se laisser aller à prendre du repos, grand hibou pénétra par la fenêtre laissée ouverte pou y déposer une lettre .
Le vieil homme découvrit rapidement son contenu.
Dumbledore
Nul doute que vous connaissez notre existence. Aujourd'hui la mort de notre maître nous à plongés dans le doute et l'incertitude. Nous avions pour but de combattre le mal or vous savez que seuls nous sommes impuissant. Souvent D'Algrande vous à présenté comme son successeur affectif. Il vous décrivait comme une personne puissant et digne de confiance aussi c'est avec humilité et honneur que nous nous tournons vers vous.
La lettre n'était pas signée. Ces jeunes gens ne s'embarrassaient pas en pratiques inutiles. Dumbledore fixa le hibou et se décida à répondre.
Mes très chers amis
Comme le désirait votre maître c'est à Poudlard que vous finirez vos études et sous ma tutelle que vous reprendrez la lutte. Cependant vos origines resteront le plus souvent secrête car nul doute que votre savoir est convoité.
Je vous attendrai à Poudlard à la rentrée ou vous serez réparti dans les différentes maisons qui composent mes effectifs.
Bien à vous
Albus Dumbledore
Cette lettre aussi était courte. Mieux valait en dire le moins possible par courrier. Quoi qu'il en soit ce problême réglé, le vieil homme se sentit prêt à retrouver le sommeil. Il s'entretiendrait avec les membres de L'ordre plus tard.
Quoi? S'exclama le sombre professeur en parcourant le bureau de Dumbledore. J'espère que c'est une plaisanterie? Vous ne croyez tout de même pas que D'Algrande à confié son precieux savoir à des morveux tout juste en âge d'être torchés.
Sa dernière réplique fit naître une mine de mécontentement sur le visage déjà sévère de Mac Gonagall.
Séverus, si Albus leur fait confiance ce n'est pas sans raison vous êtes bien placé pour le savoir.
Rogue préfera ne pas relever l'insinuation de Mac Gonagall faisant ouvertement référence à son passé mangemort.
Bien continua le vieil homme, maintenant que vous êtes au courant de toute l'histoire je compte sur votre discrétion mais aussi sur votre aide. D'Algrande etait français et vous connaissez les français, ils ont toujours un très long temps d'adaptation. Si des problêmes surviennent , nul doute que vous saurez y faire face.
Les deux professeurs, comprenant qu'ils étaient congédiés quittèrent le bureau pour prendre deux directions opposées.
Vite cria Harry à l'adresse de ses deux amis.J'ai faim moi s'écria t-il en doublant tout ses camarades dans les escaliers de l'école.
Soudain une voix glacée se fit entendre.
Monsieur Potter si vous ne nous avez pas fait le plaisir de ne pas revenir au moins faites-nous celui de vous taire.
Sur ce, le professeur continua sa route vers le bureau du directeur sans accorder un regard de plus aux gryffondors.
Ou il va celui-la lacha Ron il à un problême d'orientation en plus de ne pas savoir se laver les cheveux ?
Ron continua Hermione si le professeur Rogue decide de quitter la grande salle alors que la répartition va avoir lieu c'est qu'il à une bonne raison de le faire.
Quoi? S'exclama le rouquin en accordant un regard desesperé à son camarade à lunettes. Tu sais quoi je ne vais même pas te répondre j'ai trop faim pour ça.
Pendant que le trio rejoignait la grande salle, Rogue lui montait les marches du bureau de Dumbledore. Lorsqu'il poussa la porte une voix chaleureuse l'accueillit.
Ah Severus entre donc.Nous n'attendions plus que toi.
Aussitôt entré Rogue dévisagea les autres personnes présentes.
Deux filles et trois garçons se tenait debout le regard impassible pour certains, un air ennuyé pour d'autres.
Laisse moi te présenter nos amis français qui viennent étudier notre art de la magie. Dumbledore lui fit un clin d'oeil complcie pour lui signifier que tel serait l'excuse officielle.
Grâce à l'association magique Merlinus dont la directrice est une copine à moi. Nous avons l'honneur d'accueillir :
Clara dit-il en désignant une jeune fille aux cheveux courts bruns. Son regard aussi foncé que ses cheveux etait pour le moment totalement impassible. Elle se contenta de faire un signe poli de la tête.
Marc ! le jeune homme qui se goinfrait de bonbons aux citrons se leva.Blonds aux yeux bleux il semblait plus jeune que les autres. Son visage etait rieur et il avait l'air ma foi d'assezbonne humeur.
Marie dit-il en designant une petite blonde également en train de se regarder dans un de smiroirs du bureau. A l'appel de son nom elle se retourna subitement et un couleur rose vint pointer sur ses joues.
Et enfin Voici Pierre et Roger deux freres. Sin Dumbledore ne l'avait pas précisé il aurait été aisé au professeur de deviner le lien de parenté entre les deux garçons. Tout deux grands et bruns leur visage etait également impassible.Ils ne se fatiguèrent même pas à montrer un signe de politesse.
Alors les enfants laissez moi vous présenter…….
Albus ces présentations sont très touchantes mais il est temps d'y aller. La cérémonie va commencer et on n'attend plus que nous. Rogue n'avait que faire des noms de ces morveux, il etait venu ici dans le seul but d'obéir aux ordres de son directeur.
Oh oui merci severus de me le rappeler mais que veux-tu le temps passe vite quand on s'amuse. Le professeur dut se forcer pour ne pas répondre.
Allons !Allons mes petits, un succulent festin nous attend.
Les jeunes emboitèrent tous le pas du vieil homme. La jeune fille au cheveux bruns menait d'ailleurs la marche. Surement leur chef pensa Severus en s'eloignant vers la table professorale.
Dumbledore lui n'avait pas laché les jeunes gens et les fit venir avec lui alors qu'il reclamait l'attention.
Bonsoir mes chers élèves en cette nouvelle et exceptionelle rentrée la cérémonie de répartition va commencer par celle de nos nouveaux venus de France grâce a l'association Merlinus.
Je vous demanderai de les accueillir comme il se doit.
Minerva !! Voilà le signe qu'attendait la directrice des gryffondors pour venir au milieu de la salle avec le choixpeau voulu.
Les élèves passèrent un à un sous le bout de tissu rapiécé. Clara, Roger et Pierre furent envoyés à Gryffondor. Al'inverse Marie se dirigea vers la table des verts et argents. Quant aux derniers Marc, il emboita gaiement le chemin vers la table des Pouffsoufle.
Les élèves ne se quittaient pas des yeux malgré leur présence à des tables séparés.
Salut jm'appelle Ron s'exclama le rouquin en tendant une main poisseuse à Clara.
Tu m'en vois ravie repondit-elle sans se présenter pour autant jetant ainsi un froid qui coupa net toutes les tentatives des élèves de converser avec les nouveaux pour le moment.
Une fois le repas engloutis chacun d'entre eux se dirigea vers son dortoit esperant avoir les idées plus claires le lendemain ;
