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TON ABSENCE ME HANTE
On dirait, qu'on a tous un ange
On dirait, on dirait bien que c'est toi
On dirait, que dans ce monde étrange
On dirait que t'as toujours été là
Ce qui le réveille le matin, c'est le silence. Il n'y a rien ; tout est silence. Pas un silence apaisant. Non ! loin de là. Un silence qui le mortifie jusqu'au plus profond de son cœur, de son âme. Un silence qui ne devrait pas être là. Un silence qui n'aurait jamais dû exister. Même ses pensées n'étaient que silence. Son âme vide, son corps sans souvenir et le silence de ses pensées. Le silence et l'absence.
Parfois, l'envie de pleurer le saisissait par surprise et face à un miroir qui lui revoyait son reflet, il regardait une larme couler le long de sa joue. Parfois, il se demandait à qui cette larme était destinée. Pleurait-il pour lui-même à cause de ce silence qui le hantait ? De ce vide qui le rendait malade ? Pleurait-il pour sa mère qui devait supporter sa coquille vide ? Pleurait-il pour un inconnu qui habitait le vide de son âme ? Il n'en avait pas la moindre idée. Il pleurait simplement en se regardant dans ce miroir. Il regardait son image fade et vide. Et souvent, il se disait qu'il avait l'air mort.
...x...
Depuis sa disparition, il s'asseyait chaque soir sur la rambarde du balcon de son appartement, il fixait la lune de ses étranges yeux or et chaque soir, il semblait que ses yeux hurlent ce que sa bouche ne pouvait dire. « Pourquoi ? Pourquoi lui ? ». Jamais l'astre ne lui répondait et jamais émettent ainsi ces questions sans réponses ne l'avait apaisé.
Il restait immobile des heures durant dans l'espoir d'un signe. Un simple signe ; il ne demandait pas plus. Quelque chose qui dirait : « Je suis là et je t'attends. ». Un signe léger et sans ornement. Quelque chose auquel il pourrait se raccrocher. Quelque chose qui dirait que son âme vivait encore et que son cœur battait pour un amour qui l'attendait. Un simple signe. Il attendait un simple signe. Il attendait un signe qui jamais ne viendrait. Il le savait. Il le savait et pourtant, il continuait à espérer qu'il le verrait et que les morceaux brisés qui le composaient, s'assembleraient à nouveau. Il sentait l'air entrer dans ses poumons et en ressortir, il sentait son cœur battre et voyait les gens évoluer autour de lui. Mais souvent, il se disait qu'il avait l'air mort.
" Je ne publierai pas cette fanfiction avant qu'elle ne soit entièrement terminée ! Hors de question que ça fasse comme toutes les autres avec mon bébé ! " qu'elle disait. Résultat des courses : le chapitre quatre n'est même pas terminé que le prologue est déjà là ! Pff... Non, franchement je suis juste pas possible...
Voilà pour le prologue de " Ton absence me hante ", j'espère que ce début vous aura plut. Je ne sais pas encore comment je vais m'organiser pour la publication des chapitres, mais vous en aurez au moins un par mois. Je pense que " TAMH " fera au moins dix chapitres (pas plus, mais c'est déjà bien). N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez (je suis hyper stressée de la publié, elle détonne avec ce que j'ai l'habitude d'écrire c'est sûrement pour cela, mais du coup l'avis des lecteurs m'est d'autant plus important). Le chapitre 1 va arriver dans pas longtemps puisque le prologue seul ne vaut pas grand chose.
Oh et quand vous voyez cela " ...x... " en plein milieu du texte c'est qu'on change de personnage, je le mets là comme ça je n'aurais pas à le répéter.
Byebye !
