Coucou!

Me voici avec une nouvelle fiction, je me suis enfin décidée à me lancer...

Je remercie Mzlle-Moon (Ma Babache que j'adore tant), F' ( Ma maitresse exclusive) et bien sur la merveilleuse Popolove pour leurs corrections et leurs avis!

Je vous laisse avec ce premier chapitre de Prête moi ta main, et oui cette fois pas de prologue ^^ .

J'espère que vous allez aimer!

Résumé: Edward Cullen croyait qu'il suffisait de se marier pour rester célibataire mais si le destin en avait décidé autrement ?


Chapitre 01

Edward Cullen avait tout pour faire rêver. (N/Babache: *les yeux pleins d'étoiles* je confirme oui)

Un physique digne des Dieux grecs, à en faire pâlir Apollon lui même. Des cheveux d'une couleur unique, bronze cuivrés, sauvagement désordonnés, accentuant son côté sexy. Des yeux verts intenses qui pouvaient facilement vous déshabiller du regard, vous rendre toute chose, mais aussi bien vous rendre mal à l'aise, tant son regard était pénétrant. Laissez-le vous faire un sourire en coin et le tour est joué, vous en êtes finies. Plus qu'un pantin désarticulé dans ses mains incroyablement qu'habiles. Tout ce charme se reflétant dans le plus parfait des visages, une mâchoire bien dessinée, la plus parfaite, la plus virile. Il aurait pu être sculpté dans le marbre.

C'est grâce à cette « Belle gueule » (N/Babache: Oh putain ouiii! pour une belle gueule s'en est une) qu'il avait conquis le monde de la critique culinaire et avait ainsi acquis l'une des plus grandes renommées, avec son ami et compère de toujours : Tyler Swan.

Avec son visage d'Apollon, son sourire ravageur (N/Babache: *Fond sur place...*), il avait su charmer toutes les femmes qu'il croisait (N/Babache: Moi avec...). Sa mère Elisabeth fut sa première victime. Elle fut tellement fière d'avoir un fils, seul héritier masculin du grand Edward Sénior, maintenant décédé. Ses sœurs avaient été plus difficiles à attendrir, mais leurs résistances avaient fini par céder devant la mine de leur frère et ses fameux yeux de cocker.

Elles furent décrétées les seules femmes de la vie d'Edward. L'une lui repassait son linge, l'autre rangeait sa garçonnière, et la dernière s'occupait des courses. Depuis ce fameux jour où elles avaient fait fuir, la seule personne en dehors de sa famille, pour qui il avait des sentiments, Irina Bourrag.

Edward Cullen avait été amoureux depuis le jour où il avait croisé les yeux bleus, couleur océan d'Irina. Cette jeune fille lui avait rendu la joie de vivre, le goût de la vie, suite au décès de son père. Il était enfin décidé à la présenter officiellement à sa famille.

- Vouloir être artiste ? Dit Elisabeth. Vous l'entendez comment, ça ? Continua-t-elle, en regardant ses filles autour de la table.

- Feignante. dit alors Esmée, l'ainée de la famille.

- Vos parents sont aussi artistes ? Demanda Elisabeth en la fixant droit dans les yeux, approuvant par la même occasion la réflexion de sa famille. Un léger sourire flottait sur ses lèvres, devant elle, se tenait Irina, qui avait rêvé de prendre ses jambes à son cou, tellement elle fut mouchée par les questions, les déformations de son nom de famille, les remarques incessantes de cette famille.

- Mademoiselle Bouttag... Continua Elisabeth de sa voix mielleuse, l'innocence incarnée.

- C'est Bourrag. Répondit Irina, légèrement énervée.

- J'espère que tu es pour la pilule, on ne veut pas d'enfant avant votre mariage. Annonça Rosalie, l'une des quatre sœurs.

C'est comme cela que s'acheva le dîner, des attaques pernicieuses, des sœurs et de sa mère. Une heure plus tard, Edward l'intouchable, le célibataire endurci est né.

Maintenant il remerciait ses femmes, car elles lui permettaient de profiter de la vie et des femmes qu'il ne cessa de ramener chez lui. Aujourd'hui ne dérogea pas à la règle.

- Humm... Dit une jeune femme, se laissant caresser les hanches, profitant du plaisir que provoquaient les caresses du jeune homme, donnant ainsi encore plus son cou à l'homme qui sentait par tous les ports de sa peau la luxure, qui mordillait et léchait les zones les plus sensibles de son cou. (N/Popo : *Hyperventile* Mince, une culotte de perdue... Faut pas s'étonner qu'on ait plus de sou, si on passe sa vie à en racheter...)(N/Babache: *sanglot* je suis ruinée niveau culotte...)

Ils commencèrent à se déshabiller, se frottant outrageusement l'un contre l'autre, formant une bulle entre eux, telle que la tension sexuelle entre eux était a son comble, faisant oublier le monde autour d'eux et le bruit incessant de la sonnette de l'appartement. Edward avait hâte de consommer cette belle rousse, (N/Babache: Je veux être à la place de la rousette...pitiéééééé) il allait enfin pouvoir gouter à son jus, qui dégoulinait sur ses doigts, accélérant la cadence de son va et vient à l'intérieur de son intimité, quand la porte de chez lui claqua bruyamment.

- Eddynou ! Cria Esmée tellement elle fut outrée du spectacle qu'offrait son frère. Rosalie qui suivait derrière ne comprit pas le visage rouge de colère qu'exprimait sa sœur. C'est quand elle suivit son regard, qui l'amenait au canapé, qu'elle fut verte de rage. D'un geste rageur elle pointa son doigt vers eux.

- Vous avez deux minutes pour vous rhabiller. Dit elle d'une voix glaciale. Toi, la greluche, dégage au plus vite avant d'avoir un coup de pied au cul ! Dit elle en désignant la dite « greluche ». (N/Babache: Ah ben nan, c'est bon...j'ai plus envie tout à coup *siffle*)Cette dernière émit un énième grognement de mécontentement, puis elle fixa l'Apollon au dessus d'elle. Elle put lire sur son visage, la surprise, l'incompréhension puis pour finir, la colère, ce qui provoqua un nouvel incendie dans son bas ventre, suivi d'un nouveau grognement.

- Tu veux peut être une mu-solière ? Demanda Esmée d'un ton hargneux, qui provoqua un léger frisson dans le dos, le sortant à moitié de son immobilité, il ne reconnut même pas sa sœur.

- Elle pourrait avoir la rage, tu devrais faire très attention Edward. Tu devrais sûrement passer des analyses... Dit Rosalie en s'asseyant en face d'eux.

La rousse foudroya du regard la jeune blonde en face d'elle. Elle ne se laissa pas faire, elle soutint le regard, jusqu'à ce que la rousse, décontenancée, baisse le sien vers l'entrejambe de son compagnon d'infortune qui resta bien silencieux face à cette joute verbale. Elle fut déçue quand elle constata qu'elle ne faisait plus aucun effet au jeune homme. Rosalie qui suivait la scène avec amusement, sourit encore plus fièrement, son frère étant toujours figé comme une statue. Elle rigola légèrement quand elle pensa que son frère comme ça, ressemblait vraiment a un dieu grec dans le plus simple apparat.

Edward n'arrivait pas à croire que ses sœurs avaient fait cela, avoir fait intrusion dans son appartement, viré une de ses conquêtes sans aucun scrupule. Il était encore sous le choc du venin, de la colère dans la voix d'Esmée, la voix de la sagesse, toujours calme et gentille. Il n'avait rien dit quand la rousse fut mise à la porte avec un billet de dix dollars pour payer le taxi. (N/F':Ha . Ha Je vois la scène mais elle est ou sa compensation à la pauvre rousse?).

Reprenant contenance, il jeta le regard le plus noir à ses sœurs, ne se laissant pas démonter, elles étaient tellement dégoûtées par son comportement, qu'elles lui rendirent son regard sans problème.

- Eddynou, dans une heure et demi chez notre mère, pour le repas de famille du dimanche. Dit Esmée avant de claquer la porte en partant.


- Elisabeth j'aimerais vous parler. Dit Garrett, le fiancé de Kate, l'avant dernière des sœurs.

- Oui Emmett ?

- Non, moi c'est Garrett.

- Bref, que veux-tu ?

- Avec les garçons, on se demandait si on pouvait pas changer le plat traditionnel du repas de famille, c'est toujours du gratin de chou fleur, accompagné de pommes de terre, Répondit-il mal à l'aise, cherchant de l'aide auprès de ses beaux frères.

- OK...les garçons, c'est un devoir mémoire, mais on va faire un marché. Dit-elle conspiratrice. Tant qu'Edward Sénior sera mort, on continuera la tradition. Dit elle les fixant tour à tour. (N/Popo : Bon bah au moins c'est clair...)(N/Babache: Sa reviens au même non?)

- A table ! Cria-t-elle en se détournant d'eux.

Edward qui jusque là, s'était muré dans un silence, essayant de se faire le plus discret, jouant avec sa nièce adoré Lou-Anne (N/Popo : Ma Lou va être contente, elle peut jouer avec Edward *hehe*)(N/Babache: OH MY GOD! OH MY GOD! MA BABACHE PUTAIN QUE JE T'AIME! AAAAAH! *souris fièrement*), ne sentait vraiment pas ce dîner, il avait un mauvais pressentiment. Il osa enfin prononcer un mot.

- Kate, où est ce que tu as mis mon linge ?

- J'ai envie de te répondre dans ton cul. (N/Babache: Et toc...) L'agressa sa sœur, le foudroyant du regard par la même occasion. Ce n'est pas marqué BONICHE ! Continua-t-elle en désignant son front.

- Calme. dit Edward, légèrement étonné du comportement de sa sœur.

- Non je ne me calme pas ! J'en ai assez, avec l'autre assisté qui en fout pas une à la maison. Continua-t-elle en vidant son sac.

- En plus il faut faire le repassage d'Eddynou, la bouffe d'Eddychou ! Il serait temps que tu grandisses un peu, MERDE ! Acheva-t-elle.

Edward se frotta l'arrêt du nez, pour tenter de se calmer, si cela continuait, la migraine n'allait pas tarder.

- Faudrait déjà arrêter de l'appeler Eddynou non ? Dit Alice la plus jeune des sœurs, la benjamine de la famille d'une voix douce, tout en faisant un sourire attendri a son frère. Ce dernier hocha la tête pour la remercier.

- Je ne suis pas ta femme EDWARD ! Cria Kate en frappant sa main sur la table, ignorant la dernière remarque de sa sœur. Je suis ta sœur ! Hurla-t-elle au bord des larmes.

- Non, nous ne sommes pas tes femmes. Reprit Rosalie en claquant sa langue sur son palais, signalant son mécontentement. (N/F: Ca pète un câble dans Edward au pays des merveilles. ) (N/Popo : Je veux bien le consoler moi...)(N:Babache: Euh, nan, NO TOUCH! C'est moi qui le console, je rappelle que je suis SA NIÈCE!)

- Il est temps de te trouver une femme, de te marier, de fonder une famille. Dit Esmée, en regardant son frère pour la première fois dans les yeux depuis ce matin. Ce sont les choses essentielles de la vie. Continua-t-elle d'une voix douce, en serrant la main de son tendre mari Carlisle.

- Tu as quand même la trentaine, il est temps qu'une autre femme s'occupe de toi maintenant.

- Mais... Commença à protester Edward.

- Tu dois cesser d'être immature. Dit Alice d'une voix posée.

- Qu'est-ce que tu me parles de maturité ? Tu as la vingtaine et tu crois encore au prince charmant ! Cracha-t-il.

Il commençait vraiment à en avoir marre d'être jugé pour son comportement. S'il était célibataire, c'est parce qu'il aimait vivre ainsi, sa vie lui satisfaisait parfaitement. Il aurait pu se voir à une époque avec une résidence pavillonnaire, avec une femme à son bras et des enfants courant autour,mais ce rêve était partit en cendre en même temps que son premier amour.

Le silence se fit dans la pièce, chacun se demanda comment un simple repas avait plombé l'ambiance, certaines barrières s'abaissaient, certains non-dit avaient franchi les lèvres.

- Je n'en peux plus d'être entourée de bras cassés. Sanglota Kate, elle se sentait mieux, comme si un poids avait quitté ses épaules. Esmée ne supportant plus le désarroi de sa sœur, la réconforta en la prenant dans ses bras.

- Attends Kate, je veux bien accepter qu'Edward ait des torts, mais Ed' n'est pas comme... Dit Garrett son mari.

- Han...Je parle de toi là. Coupa-t-elle d'une voix colérique. (N/Popo : Sympa...)

- Qu'est ce qui vous prend là ? J'ai juste posé une question... une simple question ! dit Edward, ahuri.

- Ce qui nous prend ? Hurla Rosalie, faisant frissonner son mari Emmett au passage qui lança un regard désolé à Edward. L'épisode de ce matin est la goutte d'eau qui a fait déborder le vase, tu traites les femmes comme des bouts de viandes, tu es trop enfantin. Continua-t-elle plus calme mais d'où suintait la colère.

- Elle a raison, ce n'est plus à nous de prendre soin de toi, mais à une femme, TA femme ! Dit Elisabeth, qui était restée silencieuse depuis lé début. Elle regarda son fils, sa fierté, mais son comportement envers les femmes devait cesser, il avait assez joué. Les garçons. Dit-elle en désignant Carlisle et Emmett. Débarrassez la table, conseil de Famille. Garrett n'oublie pas le pain en partant.

Les garçons ne se firent pas prier, sous l'œil effaré d'Edward, se croyant en plein cauchemar. Même si ses sœurs l'avaient vu en pleine action ce matin, ça ne méritait pas un conseil de famille et encore moins des remontrances venant d'elles. Il se dit qu'il aurait dû se faire porter pâle, genre la rousse lui aurait refilé ses microbes. (N/F: Faut savoir, moi je me propose pour "Voyage au pays des Doubles F' sinon? Mais c'est simplement parce que je suis généreuse :D )

- A l'ordre du jour, le mariage d'Edward ! Dit Elisabeth d'un ton sans appel. Qui est pour ? Dit elle en regardant autour d'elle. (N/Popo : POUR! si c'est avec moi! Ok je sors...)(N/Babache: NAAAN! On va me prendre mon tonton... *pleure toute les larmes de son corps*)

Toutes les femmes présentes levèrent leur main.

- Adjugé ! Le mariage d'Edward aura bientôt lieu, priorité de l'année ! Dit Elisabeth en frappant son verre avec son couvert.

- Quoi ? Cria Edward, abasourdi.

Après quelques minutes à dévisager ses sœurs, Edward affichait son éternel sourire en coin, il était déterminé à garder son célibat, il fera tout pour les faire abandonner leurs idées farfelues, même si pour cela, il devrait engager une épouse, pensa-t-il avec humour.


Dazzling

Alors verdict ? N'hésitez pas a laisser une review pour me donner votre impression, qu'elle soit bonne ou mauvaise! Merci!

Ps: Je m'inspire du film " Prête moi ta main". Je vous le conseille vivement!