Bonsüar.
Je manque de sommeil. Je crois que ça se voit.
Bonne lecture!
Le TBC en dix leçons
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Leçon n°1 : Mais le TBC, ça vient d'où ?
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Grande question philosophique sur laquelle ce sont penchés Descartes et Platon, si vous voulez mon avis. Mais si vous ne voulez pas mon avis, c'est tant mieux, parce que j'ai plutôt tendance à dire n'importe quoi.
Petite leçon sur l'histoire du TBC, donc. Le TBC naquit en l'an de grâce 1354, avec l'apparition du premier Tony DiNozzo de l'histoire. Il était Tony. Il était DiNozzo. Mais il n'était pas dans une télé. C'est dommage pour lui, d'ailleurs. Le pauvre ne sera jamais célèbre.
Le vrai TBC naquit en l'an 2010, grâce et à cause de filles complétement timbrées dont nous tairons le nom. Tout cela partit d'une série composée de quatre lettres, que nous nommerons NCIS. Et pas CSI, ok ? Sinon, c'est que vous êtes dyslexiques, ou que vous vous êtes trompé de site, chers lecteurs.
Dans cette série, un agent très spécial, qui s'appelle… *roulement de tambour, s'il vous plait*… Anthony DiNozzo, oui ! Dit, Tony. Ledit Tony étant très spécial, était aussi très aimé. Mais qui dit aimé dit torturé. Logique. Imparable. Ah vi que c'est vrai ?
Dont, le pauvre personnage très aimé fut très mal en point dans de nombreuses fics d'auteurs très tordues. Pour ne citer qu'un passage d'un auteur -que nous nommerons Wenetsgi pour plus de discrétion-, par exemple : « Il quitte la pièce. La porte se referme dans un bruit sourd. Le premier coup de poing atteint son visage. C'est le premier d'une longue série. ». Ceci est un exemple flagrant de TBCisme aigu, accueilli par une salve d'applaudissements et de hourras grandiloquents par les lecteurs, malgré les menaces qui s'en suivent pour l'auteur.
D'ailleurs, les auteurs de TBC ont appris à vivre avec les menaces en même temps qu'avec le TBC. Ils ont acquis un sens de la survie tel qu'ils peuvent devenir transparent dès la mention du mot « hache », par exemple. Nous en parlerons dans une prochaine leçon.
Pour en revenir à nos moutons NCISiens TBCique : Au cours de ces deux ans, l'agent très spécial a connu bien des difficultés, malgré ses réclamations contre ce club. Le club a grandi, le TBC aussi, et les fans en demandent encore plus, au grand bonheur des auteurs.
C'est triste (pour Tony), c'est formidable (pour nous). Une auteur que nous nommerons GBP cite d'ailleurs, en parlant du club : GNAK GNAK GNAK, MOUAHAHAHA. Ce formidable discours est très parlant sur la mentalité TBCienne.
Le TBC fait maintenant des petits, le ZBC (Ziva's Bobo Club), le ABC (Abby's Bobo Club)… Il y a aussi des variantes amicales du TBC, telles que le TibbsBC (Le Tibbs's Bobo Club), le Tiva's Bobo Club… La famille s'agrandit. Versons une petite larme de bonheur, voulez-vous?
Le TBC est voué à continuer de vivre, pour vous, grâce à vous, et parce que, même les haches ne l'arrêterons pas. Ni les tronçonneuses en diamant. Il est entré dans l'histoire. (Ou du moins, dans ce fandom, hum).
Alors… Pensons NCIS, pensons TBC, vivons AIPM !
Prochaine leçon : Mettre le TBC en pratique.
Mouarf. Pardon.
