Disclaimer : L'univers et les personnages appartiennent à Sir Arthur Conan Doyle, et leur adaptation à Steven Moffat et Mark Gatiss.
Note : Ceci est ma première fanfiction (perso, je trouve ça mauvais et OOC mais faut bien commencer par quelque chose) donc je vous demande me laisser des reviews (si vous avez le temps et l'envie, évidemment) pour m'aider à m'améliorer et me donner des idées.
J'espère que cela vous plaira.
Bonne lecture !
La baleine
Le jeune capitaine se tenait fièrement à l'avant de son navire. Son fidèle compagnon, Barberousse le chien, était assis au côté de son maître, humant délicatement la brise marine qui faisait danser ses fins poils au fil du vent quand un léger mouvement du capitaine attira son attention. Ce dernier s'était appuyé à la rambarde en bois, observant quelque chose au loin. Barberousse se dressa sur ses pattes arrières, s'appuyant au rebord pour tenter d'apercevoir ce que regardait son maître mais il ne put voir qu'une tâche plus sombre au milieu de l'océan. Le capitaine pris donc sa longue vue, observa la chose qui venait visiblement vers eux avant de faire demi-tour et d'annoncer aux matelots :
-Baleine droit devant !
Tout l'équipage se mit à son poste près à recevoir les ordres quand un hurlement retentit derrière le capitaine.
-SHERLOCK !
Le concerné sursauta et se retourna pour faire face à la « baleine »
qui se tenait devant lui, brandissant un parapluie au dessus de sa tête prêt à lui montrer ce qu'il savait faire mais Barberousse ne lui laissa pas le temps d'agir et se jeta sur le mollet de leur adversaire.
Sherlock considera la situation : n'ayant pas d'arme et ne faisant pas le poids contre Mycroft, il jugea l'option de la fuite plus judicieuse à celle de la bataille. Il appela Barberousse qui lacha sa proie avant de prendre ses jambes à son cou et de partir s'enfermer dans sa chambre. Il poussa son coffret à jouet devant la porte pour s'assurer que la baleine à parapluie ne passerait pas. Sherlock partit ensuite se cacher sous son lit et fit signe à son chien de faire de même. Une fois installés, les deux compères attendirent patiemment que le vent d'Est passe. Ils entendirent des bruits de pas précipités dans le couloir. Mycroft était visiblement à nouveau en état de marcher. Puis la porte fut violemment secouée. La voix de Mycroft s'éleva de derrière la cloison :
-Sherlock ouvre cette porte ! Tout de suite !
Il patienta environs 5 minutes derrière la porte avant de laisser tomber. Ils restèrent 1 heure enfermés dans la chambre, voulant s'assurer que la colère du Vent d'Est était bien retombée. Sherlock ouvrit doucement la porte et passa la tête pour vérifier qu'il n'y avait personne aux alentours. RAS. Sherlock fit signe à Barberousse qu'il pouvait venir. Ils sortirent et le jeune garçon referma discrètement la porte derrière lui. Il longea le mur du couloir menant au salon, Barberousse sur ses talons. Une fois arrivés à la pièce de vie, Sherlock dit à son compagnon de s'asseoir et de ne plus bouger. Le capitaine inspecta la pièce avant de la juger sans danger quand Mycroft sortit en trombe de la cuisine et attrapa Sherlock. Il se débatit de toutes ses forces mais rien n'y faisait, Mycroft ne faiblissait pas. Barberousse quant à lui ne sut comment réagir et resta assis à sa place sans bouger comme lui avait indiquer son maître.
-Moussallion... Commença Mycroft
-Capitaine ! Rectifia Sherlock
-Capitaine, reprit Mycroft, vous qui aimez tant la mer et l'océan, que diriez vous de prendre un bain ?
-Un bain ?! S'étrangla Sherlock
Mycroft porta Sherlock jusqu'à dans la salle de bain malgré les cris de ce dernier, suivit d'un Barberousse essayant par tous les moyens de secourir son maître.