Je suis dans un hôpital, il fait sombre quand j'ouvre un peu plus les yeux pour savoir où je me trouve réellement je réalise que je suis en tunique d'hôpital et que j'ai une perfusion au bras droit. Je tourne la tête de l'autre côté de la pièce pour savoir ce qui m'entrave le bras gauche et je me rends compte que c'est une personne, un homme pour être plus précise. Je n'arrive pas à voir sa tête il fait trop sombre mais j'ai l'impression de le connaitre et je sais au fond de moi qu'il me protège. J'ôte le plus délicatement possible mon bras de sa douce entrave quand tout à coup il me plaque sur mon lit avec ses mains sur mes épaules et je peux enfin voir son visage, c'est celui du Docteur House. Bizarrement je ne ressens aucune gêne ni aucune honte, je me sens bien. Il se rapproche encore de moi tout en guettant le moindre de mes mouvements du coup je ne bouge pas de peur ne pas ressentir son corps près du mien, sa chaleur m'envahit, puis il pose délicatement ses lèvres sur les miennes. Au départ je ne réagis pas et ne bouge pas mais il commence à brosser mes lèvres de sa langue me demandant l'accès que je m'empresse de lui accorder. Nous nous embrassons et je n'ai plus mal.
- C'est l'heure de se réveiller. Me hurle une voix.
Je sursaute dans mon lit et pense : « Ce n'était qu'un rêve, ouf surtout que je vais le voir en chair et en os tout à l'heure ».
- Bon tu es réveillée ou il faut que je casse la porte pour venir ? Me demande ma colocataire
- Non, non c'est bon je suis réveillée, je vais aller prendre une douche. Dis-je
- D'accord mais il n'y a plus d'eau chaude. Répondis ma colocataire en descendant les escaliers.
Tant mieux j'ai besoin d'une douche froide. En prenant ma douche je ne peux m'empêcher de repenser à ses lèvres collées aux miennes, à se baiser que nous avons échanger. Je suis encore tirée de ma rêverie par ma colocataire qui me demande si je compte arrivée en retard à mon premier jour de travail. C'est vrai j'en avais presque oublié qu'aujourd'hui je commence mon boulot auprès du Docteur House. « Merde je commence déjà à fantasmer sur mon patron alors que je ne l'ai jamais rencontré et que je vais travailler avec lui. » pensais-je.