Way ! Nouvelle et accessoirement première fiction. J'espère que vous aimerez :)
Tututut vous vous doutez que les personnages ne m'appartiennent pas.
Bonne lecture !
Alice avait fermé la porte puis s'était jetée sur moi. D'un coup. Propulsant son corps frêle contre mon torse, enroulant ses fines jambes autour de ma taille. Sa bouche mordillait mon oreille droite tandis que ses petites mains passaient sous mon t-shirt, remontant vers le haut de mon ventre.
Je plaquais son corps contre la porte, enveloppant ses fesses fermes de mes deux mains, la maintenant sans effort au dessus du sol. Je frottais mon sexe contre le sien, pouvant presque sentir sa moiteur à travers nos vêtements. Elle gémit contre ma bouche.
« Humm ! Edward ! Allons dans la chambre.
Je ne répondis pas, ma bouche trop occupée à mordre son cou avec urgence. Sa chambre ? Et puis quoi encore. J'allais la prendre ici et maintenant, contre cette fichu porte. 2 mois. 2 putains de mois que j'attendais ça.
Alice Brandon, fille de la célèbre styliste, et accessoirement l'allumeuse la plus sexy de mon bahut. Autant dire que j'en avais bavé pour en arriver là (moi la plaquant contre cette porte, prêt à la baiser jusqu'à qu'elle ne puisse plus sentir son minou.). La miss, non contente d'être une gamine hyperactive et surexcitée, croyait aussi au prince charmant. J'avais dut y aller à grand renfort de fleurs et de compliments à deux balles pour qu'elle accepte enfin de m'accorder une soirée. Soirée qui s'était immanquablement achevée ici, dans son grand appartement du XVI, contre cette fichue porte. Une de ses mains était à présent dans mes cheveux, les tirant doucement, l'autre s'avançait vers mon bas ventre. Je grognais de bien être.
J'ouvris les yeux quelques secondes et aperçut un canapé rouge à moins d'un mètre. Facile, rapide et moins fatiguant, va pour la canap'. Ni une ni deux je balançais la demoiselle sur celui-ci et vint me placer entre ses cuisses tandis qu'elle geignait. Ses joues étaient rouges, ses lèvres gonflées, ses cheveux encore plus hirsute que d'habitude et son regard était emplis d'un désir indescriptible. Je lui souris et vint caresser sa bouche de la mienne. Nos langues valsant ensemble, un frisson parcourant ma colonne vertébrale. Certes, cette gamine m'énervait, mais non contente d'être bandante, elle était aussi sacrément chouette. Au fil du plan drague foireux que j'avais mis en place ces derniers mois, j'avais apprit à la connaître, et j'étais presque déçut de savoir qu'elle finirait immanquablement par me détester. Enfin bon « Baiser c'est baiser, aimer c'est crever. » disait Em. Je reprenais donc mon exploration de son corps à grand renfort de baisers. Ma main remonta sous sa jupe, caressant sa cuisse nue. L'autre était très affairé à presser l'un de ses seins par-dessus son bustier noir. Je la voulais. Maintenant. Elle défit ma ceinture et descendis d'un coup sec mon pantalon et mon boxer.
Mon sexe était tendue pour elle, elle n'hésita pas un instant et commença à le branler avec vigueur. Huuuum j'aimais cette petite. Mais aussi douée soit-elle, il était hors de question que je jouisse avant d'être au fond de sa chatte. Je stoppais sa caresse et me décalait de manière à avoir ma tête sous sa jupe. Du bout de la langue, je caressais sa peau laiteuse puis, doucement, je fis glisser le bout de tissue qui me séparait de son intimité. Son minou parfaitement épilé était un véritable appel à la fornication. Rapidement, je me repositionnais sur elle, mon sexe à son entrée. Elle leva les hanches, n'aspirant qu'à être pénétrée. D'un solide coup de reins, je m'enfonçais en elle, nous arrachant à tout deux un soupir d'extase.
Putain Elle était tellement serrée ! Je commençais à me mouvoir doucement en elle, la laissant s'habituer à la taille impressionnante de Petit-Eddy. Modeste ? Rarement.
« Edwaaaard ! Plus vite ! Me supplia-t-elle.
- Tout de suite ma belle. » Et je la pénétrais avec plus de force, buttant au fond d'elle tandis qu'elle se mouvait sous moi.
Clac ! La porte d'entrée s'ouvrit d'un coup. Je me retournais, près à hurler sur l'enculé(e) qui osait venir nous déranger, toujours en elle.
Merde. C'était lui. Grand, blond, des yeux bleus, et à cet instant, le visage complètement décomposé. Il nous regarda tour à tour, Alice et moi, la rage envahissant ses trais. Ma conquête se dégagea de mon emprise, abaissant sa jupe, les larmes aux yeux.
« Jasper ! »
Mon ex-pote tourna les talons, quittant la pièce tandis qu'une femme s'appuyait nonchalamment contre cette porte sur laquelle j'avais faillit baiser Alice. Un sourcil relevé, un sourire narquois sur le visage. J'aurai dut y penser.
Bella Swan. Sale Pute.
Deux jours plus tôt
« Cullen veut se la faire.
_...Hum. Répondis mon frère, icône de la tranquillité, adossé contre le chêne.
_ Il la veut vraiment. Insistais-je en le regardant, incrédule.
_ Ouaip. Hocha-t-il en faisant sonner le « p ».
_ Et tu t'en fou ? Tu vas rien faire pour l'en empêcher ? C'est ta meuf dont on parle Jazz !
Il me regarda un instant, son visage se faisant plus dur. Puis il haussa les épaules et tira sur sa clope.
« J'ai confiance en elle. Je ricanais. Jasper était tellement naïf.
_ Jazz, on parle de Edward-j'ai-tout-ce-que-je-veux-Cullen ! Il l'aura et tu vas t'en…
_ Ta gueule. Me coupa-t-il, sec. Je m'étouffais avec ma cigarette et attrapais durement son bras.
_ « Ta gueule » ? MA gueule ? Putain mais c'est quoi que tu ne comprends pas dans « il veut se la faire » ? Tu sais qu'il…
_ Bells… arrête. murmura-t-il.
_ T'as déjà piqué Maria et tu vas le laisser recommencer avec Alice ? Mais t'es juste con ou…
_ Bella ! Son visage était fermé et il se dégagea de ma prise sur son bras d'un coup brutal.
Nous nous fixâmes un instant, nous défiant du regard. Puis il écrasa son mégot, ramassa son sac, mit ses wayfarer sur son nez et partie vers le réfectoire. Lâche.
Shit. Il allait encore se faire couiller et c'était moi qui ramasserai les dégâts. Pourquoi mon frère avait-il tendance a toujours s'amouracher de filles aussi superficiels et connes que cette Alice ? Ok, il était parfaitement normal que le sex apeal d'Ed ne la laisse pas indifférente, mais merde quoi, elle était en couple ! Rageuse, je ramassais mes frusques, jetais mon sac sur mon épaule et m'empressais de regagner les bâtiments du lycée.
J'entrais dans la cafét, vérifiant qu'il était bien à sa table. Oui, il était là, assis à côté de mon frère, qui me lança un regard peu amène, me défiant surement de venir me poser avec eux. Je haussais les épaules, remplissait un plateau et rejoignais le groupe des pétasses qui squattaient ma table, trop heureuses que je leur accorde un tant soit peu d'attention.
« Hey Bellaaaa ! Ça fait tellement longtemps. Me souris Tanya, sa poitrine siliconée trop proche de moi à mon goût. Je lui rendis son sourire et commençais à manger sans me soucier de leurs regards.
_ Lauren était justement entrain de me dire à quel point elle avait adorééé ta dernière soirée, je me demandais, ça te dirais de venir samedi soir ? J'organise une petite sauterie, rien de phénoménale, quelque chose d'assez intime. On sera une quarantaine. Je serai a.b.s.o.l.u.m.e.n.t ravie si tu acceptais d'être des nôtres. Débita-t-elle sans reprendre son souffle. Je pouvais presque voir ses doigts se croiser sous la table. Potiche va. Je ne répondis pas, jetant un regard à la table ou se trouvaient mes amis. IL me regardait. Son sourire en coin plaqué sur son visage angélique. Connard. Un de ses bras était enroulé autour des épaules d'Alice, mon frangin assit à moins d'un mètre d'eux, pianotant sur son portable.
Bzz bzz bzz… Mon téléphone vibra. Je l'attrapais et regardais qui était l'expéditeur. Jasper. Je relevais les yeux, croisant son regard. Il détourna la tête tandis qu'un sourire hypocrite naissait sur mes lèvres. Je retournais à mon portable.
« True. Samedi soir, entre 2 et 3 heures du mat, chez elle. Fuck. »
_ Sorry Tanya, samedi, j'suis taken. Murmurais-je.
Gagné.
J'espère que ça vous a plue :) Si c'est le cas... vous savez quoi faire !
THE question is... dois-je continuer ?
Monty.
