La Rose des volturi.

Notes de l'auteur : Bonjour tout le monde, alors pour commencer je dirai que je débute en écriture et sur Fanfiction. Je suis une fan de Twilight en particulier des Volturi (et le couple Edward et Bella je l'ai en horreur!) Je suis totalement folle du personnage d'Aro et j'ai donc décidé d'écrire sur lui.

Il vous faut également savoir que j'écris cette fiction en partenariat avec Lamia22. Comme on le dit : deux cerveaux valent mieux qu'un !

Les différents personnages ne m'appartiennent pas, sauf quelques un que vous allaient découvrir. Cette histoire se base aussi sur des faits historique.

Merci à vous et bonne lecture !

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Un soir d'hiver, en 1691 Italie, dans la belle ville de Rome...Il neigeait pour la première fois depuis de très longues années. La lune était pleine, le ciel étoilé, cette nuit était vraiment magnifique. Dans un des palais du Roi Vittorrio, Amadéo, De Sardaigne, sa maîtresse la comtesse Jeanne était en train d'accoucher de leur deuxième enfants. Le premier enfant le prince William âgé de quatre ans attendait discrètement derrière la porte la venue du bébé. Les femmes de chambre aidaient la comtesse dans cette épreuve difficile.

-Poussez, madame poussez ! Dit une des dames. La comtesse criait de douleur. Je vois la tête, encore un effort madame. Poursuivit la femme.

-Le roi vient d'arriver, madame. Dit une autre.

-Je n'en peux plus ! Soupira la comtesse.

-Poussez encore une fois madame. L'encouragea la sage-femme.

La comtesse poussa encore une fois de toute ses forces sa peau brillait de sueur par l'effort.

-Je l'ai ! Dit la sage-femme. Elle saisit l'enfant l'extirpa des entrailles de sa mère.

-Oh ! Merci mon dieu ! Soupira un fois de plus la comtesse à bout de force.

-Voilà une bien curieuse demoiselle, regardez elle ne pleure pas. Remarquait l'une des femmes de chambre.

-Oh ! Elle est magnifique, une vrai petite perle. Dit une autre attendrit.

-Laissez-moi la voir ! Ordonna la comtesse.

On lava la jeune princesse en l'observant minutieusement, puis ne constatant anomalie on l'enveloppa dans du linge propre et on la donna à sa mère.

-C'est une bien belle petite fille, madame, félicitation.

-C'est ma foi vrai, répondit-elle, faite prévenir sa majesté.

-Bien madame ! La femme de chambre poussa la porte et vit le petit prince, celui-ci recula timidement.-Oh ! Monsieur, mais que faîtes vous là ?

-Qui y a t-il ? Demanda la comtesse.

-C'est le jeune prince, madame. Répondit la femme, dois-je le reconduire dans sa chambre ?

-Non qu'il entre ! Dit-elle en souriant d'attendrissement.

Le petit prince entra, salua sa mère et dit : - Désolé, maman, mais je souhaitais voir le bébé.

-Je comprend William, venez près de moi mon chéri. Dit-elle en lui tendant la main.

William s'avança dans la chambre éclairé par des bougies et le feu chaleureux dans la cheminée, il monta sur le lit en saisissant la main de sa mère et regarda l'enfant endormie dans ses bras.

-Mon chéri, je vous présente votre petite sœur. Dit-elle en souriant, pleine de fierté.

-Elle est si mignonne, maman et si petite. Dit le petit garçon émerveillé.

-Oui, c'est vrai, elle est fragile c'est pourquoi je souhaite que vous la protégez mon fils.

-Oui, maman je vous le promet. Le jeune prince caressait le joue de sa petite sœur et elle ouvrit les yeux. Toutes les personnes présente regardaient la scène avec émerveillement. La petite sourit à son frère.

-Oh ! Regardez maman elle me sourit ! Dit-il au comble de la joie.

-Parce qu'elle sait qui vous êtes.

-Mais comment s'appelle-t-elle ?

La comtesse allait lui répondre, mais un domestique entra et dit: -Sa majesté le roi ! Ce dernier entra dans la chambre. Toutes les dames honneur et serviteurs s'inclinèrent devant lui même le jeune prince.

-Majesté ! Le salua la comtesse.

-Madame, dit-il en souriant, il s'approchait d'elle, puis-je ? Demanda-t-il en tendant les bras.

-Bien sûr, dit-elle en lui tendant l'enfant.

Le roi prit la petite dans ses bras et l'observa attentivement. Elle était si adorable, avec une petite touffe de cheveux brun et de merveilleux yeux couleur chocolat, la petite princesse abordait d'ailleurs un jolie sourire qui conquit tout de suite le cœur de son père.

-Quelle belle enfant, le roi rendit son sourire à sa fille. C'est un ange, dit le roi, il regarda le ciel par la fenêtre. Il neige quelle belle nuit pour venir au monde. -Jeanne, vous avez mit au monde un ange. Celle-ci sourit. -Elle as votre sourire regardez.

-Comment allez-vous l'appeler papa ? Demanda le prince. Le roi regarda attentivement son fils et lui sourit.

-Et bien, mon fils je vous laisse l'honneur de choisir le premier nom de ce petit ange.

Le petit garçon tapa joyeusement des mains :-Justement, papa j'avais pensé à « Angélica ».

-« Angélica » répéta pensivement le roi, il observa sa fille. Ce prénom lui va à merveille, qu'en pensez-vous ma chère Jeanne ?

-Ce prénom est ravissant. Mais puis-je choisir le deuxième prénom ?

-Bien sûr, douce Jeanne.

-Je souhaitais l'appeler « Rose », comme la rose dans le jardin qui bravait la froidure. Elle possédera la force de cette rose. Je le sens ! Dit-elle avec conviction.

-Cela me va, et bien moi je choisis pour troisième et dernier prénom « Bella » Comme cette merveilleuse nuit !

-Qu'il en soit ainsi. Dit Jeanne.

Le roi resta songeur un instant puis murmura pour lui-même:- Angélica, Rose, Bella, princesse Di Rosebourg...Il embrassa sa fille sur le front, qui c'était déjà endormis dans ses bras.

Le Roi s'assit aux côtés de Jeanne et de son fils. Le jeune prince, qui regardait sa sœur avec adoration, lui prit délicatement la main.

-Ma petite sœur chérie, je te promet de veiller sur toi, aussi longtemps que Dieu me le permettra.

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Huit ans plus tard : Le 28 mai 1699.

Point de vue d'Angélica.

C'était une belle journée de printemps au Manoir Di Rosebourg dans la région de Toscane. La princesse et son frère avaient bien grandi depuis, les deux jouaient ensemble dans le parc du manoir.

-William attend moi ! Dis-je.

-Il faut courir plus vite Angélica. Me dit-il en souriant. Sinon nous n'y arriverons jamais, aller donne-moi la main.

Je saisi immédiatement sa main et nous nous remirent à courir. Quand nous furent enfin arrivés à l'entrée du manoir je pus voir ma nourrice Cécilia qui nous attendait. En voyant l'état de nos vêtements elle s'exclama :

-Ciel ! Mais enfin que vous était-ils arrivés ?

-Je suis tombée de l'arbre dans le parc nourrice. Expliquai-je. Mais heureusement William m'a sauvé ! Dis-je en regardant mon frère comme si je voyais un héros !

-Oh mon dieu ! Mais mon prince votre sœur n'a que huit ans, vous vous en avez douze, pourquoi l'avoir laissé faire cette folie ?

Mon frère eu l'air honteux:- Veuillez me pardonner Cécilia, mais le temps d'une seconde elle était déjà partit et...

-Il ne faut pas en vouloir à William nourrice, c'est ma faute je ne recommencerais plus promis !

Cécilia soupira puis leur fit enfin un sourire.

-Très bien, je ne peux rien te refuser de toute façon. Mais l'heure passe et le Roi votre père ne tardera pas à arriver, vite ! Venez vous changer tout les deux.

Plus tard dans la chambre d'Angélica :

-Pourquoi père me laisse ici si longtemps ?

-Parce qu'il à peur pour ta vie ma chérie. Dit doucement Cécilia.

-Pourquoi ? Insistais-je.

-Pour plein de raison, tu es encore un peu jeune pour comprendre, Voilà ! J'ai terminé. Dit-elle en nouant le dernier ruban de ma robe. Viens te voir dans le miroir, regarde comme tu es jolie !

Je portais une magnifique robe bleu ciel, Cécilia ne cessait de me dire que le bleu mettait mes cheveux brin en valeur, c'est vrai que j'étais jolie. Je fit un sourire éclatant à ma nourrice.

-Allez voir le Roi maintenant, il doit être impatient de vous voir.

J'ai toujours vécu loin de la cour et les visites de mon père étaient rare. Je passais le plus clair de mon temps à m'instruire, à jouer avec William...et dormir ! J'adorais dormir, le monde des rêves était mon seul échappatoire depuis que ma mère s'était enfuit et avait disparut en France. Heureusement j'avais Cécilia et mon William.

Je sortis subitement de mes pensés quand je m'aperçus que j'étais arrivée devant la porte du salon, déjà je frétillais de bonheur à l'idée de voir enfin mon père.

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Depuis lors la vie s'écoula lentement avec ses hauts et ses bas. À l'âge de 12 ans Angélica fut présentée officiellement à la cour et fut légitimée elle et son frère par le Roi. Elle eu aussi comme tutrice une certaine Madame Di Firenze une comtesse chargée par le Roi ''d'armer'' la jeune princesse contre la cour en lui apprenant à se défendre et à s'imposer pour pouvoir analyser les gens et ne pas se laisser manipuler.

Ayant reçu malgré elle à la fois l'éducation d'une femme et celle d'un homme, Angélica apprit également comment l'on dirige un état et par conséquent devint vite une conseillère avisée pour son père contre l'avis de ses ministres. Puis vers ses 17 ans elle s'enfuit du couvent où son père l'avait placé contre sa volonté, cédant au nouveau caprice de sa fille le Roi confia la responsabilité d'Angélica à son fils William pour le plus grand bonheur de ce dernier.

Cependant une guerre éclata entre l'Italie et la France quand la princesse eu 19 ans, le Roi l'envoya alors secrètement, pour la protéger, dans une riche demeure qu'il lui avait offert à Volterra.

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31 août 1710 : point de vue Angélica.

Cela fait maintenant six jours que je suis arrivée à Volterra, il y a quelque chose de mystérieux dans cette ville. Elle est certes magnifique, mais elle dégage une sorte d'aura ténébreuse, curieusement les gens ne sorte jamais la nuit et semble se méfier des étrangers. Bien sûr personne dans cette ville sait que je suis ici ! Seul mon garde du corps Orlando et ma nourrice Cécilia et aussi les domestiques de la maison sont au courant. Je vais repartir en Sardaigne dans deux semaines, mais avant ça...je compte bien m'amuser un peu.

Je m'avançais alors vers la fenêtre de ma chambre, qui donnait vue sur la grande place au centre de la ville, juste en face il y avait une grande tour avec une horloge, elle allait bientôt sonner midi.

La place était très animée aujourd'hui, les gens dansaient, riaient, je les enviais tellement, eux au moins il n'était pas enfermé par cette belle journée.

Soudain il me vint une idée ! Pourquoi n'irais-je pas danser avec eux, incognito.

- Cécilia ! Appelais-je.

Elle mit quelques minutes avant d'entrer dans ma chambre.

-Vous m'avez appelé princesse ?

-Oui Cécilia, trouve moi des vêtements de paysanne pour que je puisse aller danser sur la place.

Cécilia me regarda avec des yeux rond tel un hibou, elle semblait à la fois surprise et indignée !

-Mais enfin princesse ! Quelle idée ! Ce n'est pas là votre place.

-Je veux juste danser, m'amuser. Je m'ennuie tellement ici et puis Orlando m'accompagnera.

Elle voulu protester mais je la regardais droit dans les yeux.

-Et sache que ce n'est pas négociable ! Je veux aller sur la place et j'irai ! Dis-je en me forçant à prendre un ton autoritaire.

Cécilia fit une moue boudeuse, mais n'insista pas davantage, connaissant suffisamment le tempérament enflammé de la princesse.

-Bien. Soupira t-elle. Mais juste une heure dans ce cas et Orlando ne vous lâchera pas !

-Merci. Dis-je en lui faisant un bisou sur la joue.

Quelques minutes plus tard :

-Voilà ! S'exclama Cécilia. Une vrai petite dame du peuple. Je ris. C'est quand même une jolie robe, continua t-elle. Un corset rouge, jupon marron rouge, manches blanche et bouffantes...vous êtes magnifique, on dirait une zingara.

En effet j'étais magnifique, je sens que comme toujours je vais en séduire plus d'un. Mes beaux cheveux brun foncés tombaient en de belles boucles dans mon dos.

Je tournais alors la tête vers Cécilia:-Merci, je peux y aller maintenant ?

-Bien sûr, allez vous amuser, mais par pitié pas d'imprudence ! Et revenez bien dans une heure.

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Plus tard, sur la place de Volterra :

Orlando n'était pas très rassuré à l'idée que je sorte ainsi, il ne me lâchait donc pas une seconde, c'est un jeune officier de 27 ans et plutôt bel homme à vrai dire, je crois même qu'il est un peu amoureux de moi, il ne me l'a jamais dit bien sûr mais son côté protecteur, ses regards fervents et les doux sourires qu'il me dédiait m'amenais à le croire.

Dès mon arrivée sur la place on m'a tout de suite remarqué, plusieurs hommes me demandèrent de danser avec eux, ce que je fis volontiers. J'entraînais même Orlando dans la ronde, ne supportant pas de le voir tout le temps à l'écart. Nous nous mirent à danser une danse typiquement gitane tout les deux et bientôt un cercle se fit autour de nous, lui et moi n'y prêtions pas vraiment attention et dansâmes à un rythme endiablé. Mon garde du corps était un excellent danseur, je riais au éclats, ma robe tournoyait, mes cheveux volèrent dans tout les sens, je me sentais libre ! À cet instant je n'étais plus une princesse...j'étais seulement moi, Angélica.

Nous attirions tout les regards, les gens devaient sans doute penser que nous étions un couple, mais peu importe au moins je ne me ferai pas aborder par des gens peu fréquentable. Tout à coup la musique s'accéléra et nos mouvements se firent plus souple et encore plus rapide.

Quand la danse s'acheva Orlando et moi haletions, essoufflés mais nous fumes récompensés par un tonnerre d'applaudissement. Nous nous inclinions pour saluer le public puis Orlando me rappela poliment que nous devions rentrer. Je fit une petite moue déçu, mais je le suivi sans protester.

Pourtant, au moment où nous passâmes devant le Palazzo, je m'arrêtais, comme pétrifiée...je me sentais soudainement observée. Je levais donc la tête vers l'imposant bâtiment, tout de suite mon regard fut attiré sur une fenêtre de l'édifice, je ne m'étais pas trompée, il y avait bien une personne qui m'observait !

Il s'agissait d'un homme, il me fixait intensément et quand mon regard croisa le sien je fus soudain incapable de détourner la tête. A voir ces vêtements il s'agissait sûrement d'un noble à n'en point douter ! Ses cheveux étaient noirs et lui arrivait aux épaules, sa peau était tellement pale. Je ne pouvais me l'expliquer mais cet homme m'attirai, il était d'une beauté surnaturelle. J'avançai donc, sans le quitter des yeux, de quelques pas vers le Palazzo, soudain il me sourit.

-Madame ! M'appela soudain Orlando qui s'était rendu compte que je ne le suivait pas. Il faut partir.

-Je viens. Je regardai encore une fois l'homme à la fenêtre et lui sourit à mon tour, il me contempla complètement fasciné, puis je me mis à courir pour rejoindre Orlando et rentrer à la maison.

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Alors ? Qu'est-ce que vous en pensez pour un début ? j'espère que ça vous a plût. N'hésitez pas à me laisser des commentaires. A bientôt pour le prochain chapitre.