Bonjour
tout le monde, je passe sur non pas pour publier « Tu
tueras les tiens », mais pour y poster un one-Shot.
(Rapide
précision sur « Tu tueras les tiens »,
cette fic est en suspend car ayant repris les cours, moi en terminal,
et Elenthya à la fac, l'écriture s'en verra
fortement ralentit, mais d'ici la j'aurais le temps d'approfondir
cette fic pour que la suite soit encore meilleur, et sachez que les
reviews que j'ai reçu nous ont fait très plaisir à
moi et à Elenthya, et que si je n'y ai pas répondu
c'est que suis tout simplement un idiot tête en l'air qu'il
oublie qu'il faut répondre aux reviews quand on publie un
chapitre, voilà c'était « pour tu
tueras les tiens ».)
Bon
je ne vous retiens plus et je vous laisse à ce one-shot qui se
démarquera de beaucoup de fic de part le sujet (vive
l'ironie). Non en fait je ne fait que changer de point de vue, et
ça ne m'a pas l'air si stupide que ça ce qui est
écrit, (normal je l'ai écrit me dirait vous), mais je
parle je parle, te je vous retarde, alors je me tais et je vous
laisse vous faire une idée.
La
nuit trônait depuis longtemps au dessus du village endormis de
Konoha, mais malgré ça, le cliquetis incessant de la
pluie arrivé à lui donner vie.Dans
son lit, un ninja, bercé par la musique du soir, fixait le
plafond, comme si il y cherchait quelque chose, le sommeil peut être.
Mais
il n'en était rien…
Il
cherchait à comprendre.
Comprendre
pourquoi le jour de son anniversaire, personne n'était venu
le voir.
Comme
s'il n'avait jamais existé…
Bien
sur il avait l'habitude de ce genre de traitement, mais aujourd'hui
était un jour spécial, il avait maintenant un an de
plus, et il avait une meilleur expérience de la vie.
Fatigué
de fixer le plafond, il se redressa, ébouriffa ses cheveux
blond, et frotta ces yeux d'un bleu profond.
Il
quitta son lit, cherchant maladroitement ses pantoufles, et se mit à
avancer vers un bureau sur lequel trônait quelque rouleaux de
papier contenant diverse leçon de ninja.
L'un
d'eux attira son attention, non pas qu'il était mal rangé,
mais il était vierge de toute écriture.
Il
prit place lourdement au fond de la chaise qui se trouvait la, et
chercha sur le bureau quelque chose qui lui permettrait d'écrire.
Il
tomba sur un vulgaire crayon de bois, qui se soir allait être
le témoin de ses pensées.
Il
rassembla l'énergie nécessaire pour pouvoir voir ce
qu'il écrivait, et c'est alors que la main fit danser le
crayon sur la feuille :
Tant d'hommes et de femmes,
Tant de corps et tant d'âmes,
Qui ont tous eu un jour le même
souhait,
Celui d'être aimé.
Mais ces hommes et ces femmes,
On depuis longtemps perdu cette
petite flamme,
Ce petit morceau d'âme,
Et maintenant ils sont
seulement,
Des animaux pensant.
Et ces animaux qui se disent
hommes et femmes,
Ce voient tous infligé
d'un blâme,
Car l'amour est une illusion,
Un sentiment sans raison,
Seulement la pour justifier des
pulsions.
Ces hommes et ces femmes,
N'ont jamais aimé d'âme
à âme,
Ils aiment des objets,
Qui sont leurs désirs
incarnés,
Dont les défauts se
voient voilés,
Par ce sentiment sans raison,
Qu'ils qualifient comme une
passion.
Malheureusement ces objets qui
sont si beaux,
Ne sont pas dénués
de défauts,
Et même s'ils sont
voilés,
Il finiront par le rattraper,
Ce sentiment inventé.
Car d'autres objets se feront
désirer,
Ceux qui n'ont pas ces
défauts,
Et qu'aimeront ces animaux,
Ignorant et détruisant
leurs anciens jouets,
Qu'ils disait pourtant aimer.
Mais l'histoire ne s'arrête
pas la,
Les objets ne resterons pas au
plus bas,
Ils trouveront d'autres
animaux,
Qui les trouveront beaux,
Car l'amour voilera leurs
défauts.
L'amour n'existe pas,
C'est une illusion,
Sans raison,
Sans réel passion,
L'amour est une illusion.
Il
fit tomber le crayon, et relâcha tous les muscles de son corps,
les larmes qui coulaient sur son visage contrastaient avec le sourire
apaiser qu'il arborait. Il venait de s'endormir.
Il
s'était mis à rêver.
Voilà c'est terminé, bon ben vous savez ce que tous les auteurs de fanfic veulent alors je vais pas vous faire de dessin, en tout cas j'espère que ça vous aura plus et que ça vous fera réfléchir.
A bientôt tout le monde.
