Ma première fic Hp. Désolé si cela ne colle pas totalement avec le bouquin! ^^;
Disclaimer: Les personnages excepté Lionel sont à J k Rowling.
Résumé complet:
He: Harry est partit.
Li: Je sais. Je suis ici pour te révéler qui tu es.
He: Je suis Hermione Jane Granger.
Li: Hermione Jane Jedusor.
He: Pardon?
Li: Tu es la fille de Tom Elvis Jedusor, dernière descendante de Salazar Serpentard.
He: Tu mens!
Li: J'aimerais.
Hermione devient, en moins d'une heure, la fille de Voldemort. Sa mère lui a menti, pendant 17 ans, 17 longues années passées à se poser toutes sortes de question. Pourquoi pouvait-elle déplacer des objets par la pensée? Pourquoi parlait-elle le fourchelangue? Pourquoi lisait-elle dans les esprits? Pourquoi contôle-t-elle les éléments, les animaux? Pouquoi?
Voilà, c'est tout, je vous laisse lire, enjoy!
Lorsqu'ils la reconnurent, les Weasley et Harry se précipitèrent vers elle. Elle était accompagnée d'un jeune homme qu'ils avaient d'abord prit pour Malefoy, de dos. Lorsqu'il se retourna, ils virent en jeune homme blond à la peau légèrement halée. Il avait les yeux noirs et dégageait bien moins d'antipathie que leur ennemi de toujours.
Ro : Hermione ! Mais t'étais où ? Une semaine que l'on ne t'a pas vue ! Heu… C'est qui lui ?
He : C'est Lionel. Il est français et ses parents l'ont envoyé à Poudlard cette année. C'est mon demi-cousin. J'ai du aller le chercher et l'emmener acheter ses affaires scolaires. Ca faisait partie de mes obligations de préfète en chef. Je suis désolée d'être partie sans prévenir mais j'ai reçu la lettre deux heures avant son arrivée.
Ha : Ce n'est pas grave, l'important c'est que tu sois en vie. J'ai cru que les mangemorts t'avaient kidnappée.
He : Et non Harry, ils ne m'auront pas aussi facilement !
Gi : J'espère bien !
Mo : Oh, Hermione, tu aurais pu envoyer une lettre !
He : Je suis désolée Mme Weasley. (Le train qui devait les emmener jusqu'à l'école siffla) On devrait y aller ou le train partira sans nous !
Mo : Revenez-nous vite !
Ils s'étreignirent et les Weasley les regardèrent monter dans le train. Ils se trouvèrent un compartiment vide, y déposant leurs affaires et s'y asseyant.
Ha : Alors comme ça, tu es préfète en chef ? Félicitations !
He : Merci.
Gi : Moi aussi je suis préfète.
He : C'est génial ! Félicitation Ginny !
Gi : Merci. Ron était vert lorsqu'il l'a appris !
Ro : Ca va, tu n'es pas obligée de le lui dire !
Tous rirent en cœur. Harry se tourna vers Lionel.
Ha : Alors tu es français ?
Li : Oui, mes parents m'ont envoyé ici en disant que c'était le seul endroit encore sur de la planète. Vous savez, avec le retour du seigneur des ténèbres et tout…
Ro : On sait. Mais je ne vois pas en quoi Poudlard est encore un endroit sur. Avec ce qui est arrivé l'année dernière… J'ai l'impression qu'il y a beaucoup moins de monde cette année.
Li : Je pense que les gens ont peur. Peur que leurs enfants ne se fassent tuer ou de ne jamais les revoir. Ce qui est légitime.
Ne : On peut se joindre à vous ?
Neville avait ouvert la porte du compartiment. Il était accompagné de Luna.
Ha : Bien sur. (Ils entrèrent et s'assirent après avoir déposé leurs valises dans les filets) Je vous présente Lionel heu… Il est français et passera l'année à Poudlard. C'est le demi-cousin d'Hermione.
Lu : Tu ne nous avais pas dit. (À Lionel) C'est un plaisir de te rencontrer Lionel.
Elle lui tendit la main qu'il serra en lui retournant son plaisir. Il serra aussi la main à Neville. Ils discutèrent, essayant d'en savoir plus sur Lionel, le demi-cousin caché d'Hermione. Ils furent interrompus par le chariot de friandises puis, plus tard par le professeur McGonagal qui venait chercher la nouvelle préfète en chef.
Mg : Miss Granger, veuillez me suivre s'il vous plait, j'aimerais vous présenter l'autre préfet en chef avec qui vous allez devoir coopérer cette année.
Hermione se leva et la suivi, un sourire aux lèvres masquant son inquiétude. Le professeur ouvrit la porte du compartiment réservé aux préfets en chef, bien plus grand que les autres.
Ma : Professeur, vous êtes sure que vous ne vous êtes pas trompée de compartiment ?
Mg Certaine miss Granger. Veuillez vous asseoir.
Elle s'assit face à l'autre préfet en chef qui n'était autre que Malefoy fils. Il s'était endormi, la tête appuyée contre la vitre derrière laquelle défilait le paysage. McGonagal le réveilla en lui secouant l'épaule. En apercevant Hermione, son masque de mépris se fit plus dur qu'à l'accoutumée.
Dr : Ne me dites pas que…
Mg : Si, monsieur Malefoy, vous allez devoir coopérer ET cohabiter avec miss Granger tout au long de cette année. Que cela vous plaise ou non. Pas de mais ! Maintenant, vous allez m'écouter. Vous êtes tous deux au courant de ce que le monde magique traverse en ce moment. Vous allez devoir veiller sur l'école, vous et les préfets, la protéger à l'aide de tous les professeurs. Nous ne laisserons pas les mangemorts pénétrer de nouveau l'enceinte de notre établissement. La bataille est proche mais n'est pas pour demain. Vous allez devoir effectuer des rondes de nuit. Ensemble. Il est désormais interdit de parcourir les couloirs seuls après la tombée de la nuit, ce qui n'est pas forcément valable pour vous mais qui pourrait le devenir si la menace augmente trop vite. Vos appartements se trouvent au deuxième étage derrière le portrait de la claveciniste. Le mot de passe est Destinée. A votre arrivée, vous m'accompagnerez pour la traversée du lac avec les premières années plus monsieur Menard.
Dr : C'est qui lui ?
He : Mon demi-cousin.
Mg : Je n'ai pas fini. (Ils se turent) Après le festin, vous vous réunirez, vous et les préfets, dans la salle au fond de la grande salle et vous répartirez les tâches. Il vous faudra organiser les rondes et la distribution des emplois du temps prévue pour demain matin, entre autres choses. Vous devriez vous y mettre maintenant, faire un planning et instaurer un roulement. Vous leur expliquerez ce que je vous ai expliqué. Je ne veux avoir aucun problème d'organisation cette année. Maintenant, je vous laisse. Miss Granger, vous devriez passer votre robe de sorcière, nous arriverons dans peu de temps. On se retrouve tout à l'heure. Vos bagages seront portés dans vos appartements.
Elle partit et le gryffondor la suivit. Elle alla se changer annonça à son cousin qu'il partirait avec elle à la descente du train.
Ha : Alors, qui est l'autre préfet en chef ?
He : Devinez…
Li : A voir ta tête, tu ne l'apprécies pas.
He : C'est vrai.
Ro : Malefoy ?
He : Exact.
Ne : L'horreur !
Gi : Tu vas devoir partager tes appartements avec lui ?
He : Oui. On se retrouve au festin. Salut !
Elle partit et retourna dans le wagon où le serpentard s'était rendormi, sa tête reposant sur la vitre. Elle le réveilla et saisit une plume et un parchemin. Elle y fit des cases égales et nota les jours de la semaine dans celle de la première ligne.
He : Bon, qui va faire les premières rondes ?
Ils établirent un planning précis, finissant une heure avant l'arrivée du train en gare de près-au-lard. Malefoy s'était rendormi pendant qu'Hermione lisait un manuel scolaire. Lorsque le train s'arrêta, le serpentard se réveilla tant bien que mal, se frotta les yeux et sortit. Hermione le suivit, notant son état avancé de fatigue. Ils rejoignirent McGonagal et les premières années déjà regroupés en bout de quai. Hermione chercha son cousin des yeux. Elle sursauta lorsque des mains se posèrent sur ses yeux.
He : Lionel, ce n'est pas drôle !
Li : Si c'est drôle !
He : Arrête de faire l'enfant, il te faut encore traverser le lac.
Li : A ton avis, je serais dans quelle maison ?
He : Poufsouffle.
Li : Je parie sur Serdaigle.
He : Pari tenu.
Li : On parie quoi ?
He : Je ne sais pas.
Li : Je peux décider ?
He : Oui.
Li : Alors… (Il réfléchit quelques instants) Une soirée !
He : Si tu veux.
Dr : Granger, je ne vais pas faire le travail tout seul !
He : Ca va Malefoy.
Une fois tous les nouveaux arrivants rassemblés, ils traversèrent le lac par groupes de trois. Lorsqu'ils arrivèrent dans la grande salle, tous les autres élèves étaient déjà assis et se turent en les voyant entrer. Les deux préfets en chefs gagnèrent leur table respective, après avoir guidé les nouveaux venus jusque devant l'estrade où se tenait Rogue. Ce dernier présenta Slughorn, le nouveau professeur de potions et Alecto et Amycus Carrow, respectivement professeurs d'étude du monde moldu, matière devenue obligatoire et de Défense contre les forces du mal. Il invita aussi tous les préfets à se réunir à la fin du repas dans la salle au fond de la grande salle avec les directeurs de chaque maison et lui-même avant de laisser la parole au choixpeau magique. Le choixpeau magique chanta, parlant de temps durs et incertains, et fit son habituelle répartition, en commençant pas Lionel qui fut envoyé à Serdaigle. La répartition achevée, les plats apparurent sur les tables et tous mangèrent. A la fin du repas, tous les préfets et chef de maison se réunirent. Drago et Hermione copièrent le planning qu'ils avaient fait dans le train avant de monter dans leurs appartements pendant que les préfets accompagnaient les nouveaux jusqu'à leurs dortoirs. Lorsqu'ils eurent, non sans mal, trouvé le tableau de la claveciniste, ils lui donnèrent le mot de passe et pénétrèrent dans leurs appartements. Ils se trouvaient dans une grande pièce au centre de laquelle étaient disposés trois canapés et une table basse devant une cheminée où brulait un feu. De chaque côté de la cheminée se tenait une porte en bois brut. Une autre se trouvait sur leur droite et une quatrième, faisant face à la troisième, sur leur gauche. Sur ces deux portes étaient accrochés leurs portraits. La pièce était peu décorée mais les couleurs ne manquaient pas. Les couleurs de chaque maison étaient là, se mélangeant harmonieusement, que ce soit sur les tapisseries ou les tapis. Le premier moment de stupeur passé, ils entreprirent d'explorer les deux pièces qui leur étaient communes. Drago ouvrit la porte à gauche de la cheminée tandis qu'Hermione ouvrait celle de droite. Drago pénétra dans la salle de bain, la plus grande qu'il eut jamais vue. Il y avait deux lavabos surmontés d'un grand miroir, des toilettes et une douche dans un coin. Au centre de la pièce, creusée dans la pierre, il y avait une grande baignoire ronde. Il ferma la porte derrière lui et ouvrit celle de l'autre côté de la cheminée. Il tomba sur une bibliothèque fournie au centre de laquelle trônait une table en bois massif. Il aperçut une porte taillée dans le même bois que les autres. Il l'ouvrit. Ce qu'il vit le laissa coi.
Hermione avait ôté la quasi-totalité de ses habits, ne gardant qu'un débardeur et le short qu'elle portait en permanence sous sa jupe. Une chanson tout à fait inconnue du jeune homme envahissait la pièce. Tout un pan de mur était recouvert de miroirs parcourus pas une barre de bois reflétant la pièce dans son ensemble, du sol fait de parquet au plafond d'où pendaient des lustres de cristal. En face de lui se tenait un piano, à côté d'une grande fenêtre munie de rideaux. La jeune fille dansait, n'ayant pas remarqué la présence du jeune homme accoudé à l'embrasure de la porte. Il la regardait, attendant qu'elle finisse de danser, s'étonnant de sa souplesse. Elle ne remarqua sa présence que lorsque la chanson se termina.
He : Ca fait combien de temps que tu es là ?
Dr : Je viens d'arriver. Rhabille-toi, il faut que l'on s'organise pour la distribution des emplois du temps.
He : (rit) C'est déjà fait Malefoy, je les ai donnés aux préfets pour qu'ils les distribuent dans leur salle commune.
Dr : Ah. Dans ce cas, je vais me coucher.
He : Et la douche ?
Dr : Ca fait partit du « je vais me coucher » Granger !
He : Pf…
Dr : Tu devrais en faire de même !
He : Je n'ai pas d'ordre à recevoir de toi la fouine !
Il se retourna et lui lança un regard des plus noirs.
Dr : Un conseil la sang-de-bourbe, ne joue pas à ce petit jeu avec moi, ça pourrait mal finir.
He : Un conseil le mangemort, je contrerais chacune de tes attaques !
Il se retourna non sans lui avoir exprimé son aversion pour elle d'un regard. Il alla dans sa chambre et en ressortit presque aussitôt, ses affaires de douche à la main.
Dr : On va devoir se partager la salle de bain. T'as pas intérêt à toucher à mes affaires.
He : J'allais te le dire.
Il entra dans ladite salle de bains et se doucha longuement. Lorsqu'il en ressortit, Hermione avait posé son ordinateur portable sur la table basse et s'était assise à même le sol, prenant un canapé comme dossier. Elle tapait à toute vitesse sur son clavier. Malefoy s'approcha.
Dr : C'est quoi ce truc ?
He : Un ordinateur Malefoy.
Dr : Encore un truc moldu bizarre ?
He : Ca sert à beaucoup de choses.
Dr : Comme ?
He : Aller sur internet, écrire des textes que tu peux modifier à ta guise, dessiner, regarder des films, écouter de la musique…
Dr : Pas si débiles que ça les moldus…
He : Venant de ta part, je prends cela comme un compliment. Tu n'étais pas censé aller te coucher ?
Dr : J'y vais. Bonne nuit Granger.
Elle ne lui répondit pas, déjà replongée dans son activité première. Il était minuit bien sonné lorsqu'elle se décida à aller se doucher puis se coucher, oubliant son ordinateur sur la table basse.
Lorsqu'elle se réveilla, le soleil était levé et elle tapait machinalement sur ce qui lui servait de réveil sans que celui-ci ne s'éteigne. Lorsqu'elle arriva enfin à le faire taire, elle se leva et prit la direction de la douche d'où Malefoy sortait, vêtu d'une simple chemise blanche grande ouverte et d'un boxer noir plus que moulant. Elle se frottait toujours les yeux lorsqu'elle le croisa sans y faire attention.
He : Bonjour.
Dr : Bonjour. Bien dormi ?
He : Pas assez je crois. Je peux passer ?
Il se décala de devant la porte, prenant la direction de sa chambre. La jeune fille se lava le visage et entreprit de coiffer ses cheveux plus emmêlés que d'ordinaire, ce qui ne fut pas une mince affaire. Lorsqu'elle sortit, Drago se débattait avec sa cravate, tentant tant bien que mal de faire un nœud correct. Elle retourna dans sa chambre, s'habilla, fit son sac pour la journée. Lorsqu'elle en ressortit, Malefoy en avait fini avec sa cravate et était coiffé, son sac pendant nonchalamment sur son épaule droite. Il se dirigea vers la sortie lorsqu'il aperçut la gryffondor. Elle le suivit et passa la porte qu'il lui tenait, le remerciant d'un regard. Il semblait ailleurs, perdu dans ses pensées… préoccupé, mais elle n'en tint pas rigueur et se rendit dans al grande salle sans plus attendre. Son demi-cousin l'attendait à l'entrée, adossé contre un mur attenant à la porte.
Li : Salut cousine !
He : Salut cousin !
Li : Tu te souviens que tu me dois une soirée ?
He : Oui, je m'en souviens, merci, tu me l'as rappelé hier soir.
Li : C'était pour m'assurer que tu n'avais pas oublié. Alors, cette première soirée avec Malefoy ?
He : Bof, la routine.
Li : Je vois. T'as vu que l'on a des cours en commun ?
He : Ah ?
Li : Tu n'as même pas regardé ton emploi du temps ! Ce n'est pas sérieux mademoiselle Granger ! Quand allez-vous enfin devenir sérieuse ? Cela vous vaut une heure de retenue !
He : La ferme Lionel ! Je suis fatiguée et j'ai faim.
Li : (tout bas) Dit, tu penses que l'on peut manger ensemble ?
He : Je ne crois pas. Fait-toi des amis dans ta maison, comme ça tu ne seras pas seul.
Li : C'est fait mais j'aurais aimé manger avec toi au moins une fois.
He : Pour la soirée, on fait ça quand ?
Li : (sourire innocent) Ce soir ?
He : Si tu veux.
Li : Mais après les rondes hein ?
He : Non, avant.
Li : Mais 'Mione, ce n'est pas une soirée si ça se passe avant les rondes !
He : Moins fort, voilà Carrow & Carrow qui approchent !
Li : On va manger ?
He : Oui. Bon appétit !
Li : Toi aussi ! On se voit en étude du monde moldu ?
He : Ca marche, à toute !
Ils pénétrèrent dans la grande salle. Lionel alla s'installer à la table de sa maison tandis qu'Hermione se joignait à ses amis déjà assis à leur table.
Ro : Alors, cette soirée avec Malefoy fils ?
He : Pas d'incident notoire.
Ha : Je trouve que nous avons beaucoup de cours en commun avec les serpentards cette année.
Ro : C'est sur.
He : Lesquels ? (Ils la regardèrent, étonnés) Quoi ? Je n'ai pas encore regardé mon emploi du temps, c'est tout.
Ro : Ah. On a métamorphose, Potions, Défenses contre les forces du mal et divination avec eux.
Ha : Ca va être une véritable horreur, même si ce n'est que pour peu de temps.
He : Comment ça « que pour peu de temps » ?
Ha : (penché en avant, chuchote) Je ne compte pas rester ici. Il faut détruire les Horcruxes pour pouvoir tuer le seigneur des ténèbres une fois pour toute.
Ro : Je viens avec toi.
Ha : Non, vous restez ici, surtout toi Hermione.
He : Et pourquoi ?
Ha : J'en fais mon affaire.
He : Harry, non ! Il faut que nous t'accompagnions !
Ha : C'est hors de question que tu viennes Hermione ! J'ai reçu des ordres de Lupin et des autres, ils étaient tous d'accord, tu ne dois pas quitter Poudlard. Ron peut venir, mais pas toi !
Ro : Mais il y a Neville et Ginny ! Ils peuvent tout aussi bien veiller sur poudlard !
Ha : Ils ont été formels, Hermione ne doit pas quitter le château.
Une chouette déposa un paquet devant Hermione qui l'ouvrit. Il contenait un autre paquet et une lettre. Elle la lut mais n'ouvrit pas le paquet.
Ro : Qui est-ce ?
He : Ma mère et ma tante. Ma mère me demande de mes nouvelles et ma tante me demande de ne pas quitter le château, sous aucun prétexte. Elle me demande même d'éviter de sortir dans le parc seule.
Ro : Qu'est-ce qu'il y a dans le paquet ?
He : Elle me demande de l'ouvrir lorsque je serais seule. La connaissant, il vaut mieux que je le fasse, elle est capable de tout.
Ha : Comment ça ?
He : Mon cousin est quelqu'un de très calme à côté de ma tante. Je vous laisse imaginer ma tante.
Ro : C'est vrai qu'il parait un peu surexcité ton cousin.
Ha : pour le peu qu'on a discuté avec lui. En tous cas, l'Ordre n'est pas le seul à vouloir te faire rester au château. Tu ne viendras pas avec nous.
He : C'est injuste, j'ai autant le droit que Ron de partir avec vous !
Ha : Cela ne me plait pas plus que toi, mais nous n'avons pas le choix. Je ne sais pas pourquoi ils veulent que tu restes ici mais ils ne veulent pas que tu sortes de ce foutu château donc tu n'en sortiras pas, point final !
Gi : Calme-toi Harry. Hermione, il n'a pas tord. Et nous allons avoir besoin de soutient ici. Neville et moi comptons reformer l'armée de Dumbledore.
Ro : Tu vois, ce n'est pas une mauvaise chose que tu restes ici.
Ha : Il y a tout autant à faire ici. Tu pourrais connaître les plans des mangemorts grâce à Malefoy et les surveiller.
He : Dans ce cas, prenez une troisième personne avec vous, vous en serez pas trop de trois pour arriver à vos fins. Promettez-moi de me tenir au courant.
Elle se leva et sortit de la grande salle. Elle se rendit sur la tombe de l'ancien directeur de l'école, restant debout face à la pierre dix minutes durant. Ensuite, elle revint dans la grande salle, s'apercevant qu'elle y avait oublié son sac. Sa décision était prise. Elle retourna vers ses amis qui n'avaient pas encore fini de manger.
Gi : Ca va Hermione ?
He : Oui.
Ro : Tu es toujours décidée à partir avec nous ?
He : Non. Si l'Ordre ne veut pas, je ne partirais pas avec vous. A une seule condition, qu'ils m'envoient une lettre. Et que l'on garde contact.
Ro : Ca fait deux conditions.
Ha : Je leur enverrais ta requête ce midi.
He : D'accord.
Elle se rassit avec eux et reprit son repas là où elle l'avait laissé. Lorsqu'ils eurent fini, ils se rendirent à leur premier cours de la journée, le cours de potion. Slughorn ne les plaça pas, à l'exception des deux préfets en chef qui furent placés côte à côte au premier rang. Ils protestèrent mais l'ordre était indiscutable. Ils s'installèrent donc ensemble au premier rang, à grands regrets. Les cours ne se déroulaient pas aussi mal qu'ils l'auraient pensé, mis à part les cours des Carrow, où les professeurs s'acharnaient sur les Gryffondor, et plus particulièrement sur le célèbre trio. Heureusement pour eux que la torture n'avait pas été rétablie. Lorsqu'Hermione retourna dans ses appartements, Drago dormait sur un canapé. Elle s'approcha et vit qu'il avait les yeux rougis et gonflés. Il se réveilla lorsque la jeune fille se pencha vers lui.
Dr : Qu'est-ce que tu fous Granger ?
He : Rien, je me demandais juste qui pouvait bien dormir sur un canapé en fin d'après-midi dans l'appartement des préfets en chef.
Dr : Qui d'autre que moi, à ton avis ?
He : Tu as pleuré ?
Dr : Répond !
He : Non, je dis ça parce que tu as les yeux rouges et gonflés… Tu devrais aller te passer de l'eau sur le visage, un Malefoy ne peut se montrer ainsi !
Dr : Granger, tu me saoules !
He : On va peut-être pouvoir s'entendre au final…
Dr : Qu'est-ce que tu racontes encore ?
On frappa à la porte. Hermione alla ouvrir.
Li : Hey cousine ! Je peux entrer ?
He : Bien sur !
Malefoy sortit de l'appartement après que Lionel soit entré.
Li : Il est franchement bizarre ce gars non ?
He : Oui, il me traite de sang-de-bourbe chaque fois qu'il en a l'occasion ! En fait, qu'est-ce que tu fais ici ?
Li : Je suis venu te voir pour que l'on convienne d'un rendez-vous pour la soirée.
He : Ah. Où veux-tu qu'on la fasse ?
Li : Ici, ce soir, c'est bon ?
He : Je pense
Li : On fait comment pour les boissons et la nourriture ?
He : Il faudrait que l'on aille dans les cuisines.
Li : Je te suis.
Ils se rendirent donc dans les cuisines à la recherche de nourriture et de boissons. Ils en revinrent, chargés d'un tonneau d'hydromel et de victuailles. Ils déposèrent le tout dans la salle de danse. Aucune trace de Malefoy.
Li : Je crois qu'il faut que l'on aille manger.
Ils allèrent donc manger. Hermione apprit que ses deux meilleurs amis et Neville partiraient le surlendemain en empruntant un des passages secret du château avant de transplaner autre part. Ginny était triste de voir partir son petit ami. Hermione resta stoïque. Après le dîner, elle fit sa ronde avec Malefoy. Celui-ci alla chercher Parkinson tandis qu'elle allait chercher son cousin qui l'attendait devant le portrait gardant l'accès aux dortoirs des Poufsouffles. Ensuite, ils retournèrent dans les appartements des préfets en chef.
Le cousin et la cousine déplacèrent la table basse et quelques coussins dans la salle où ils avaient prévu leur soirée tandis que Parkinson et Malefoy restaient dans la salle.
La soirée se passait bien des deux côtés lorsque les deux restés dans le salon virent débouler Lionel qui fit un salto par-dessus le canapé où ils étaient assis, suivit de près par sa cousine folle de rage.
Li : T'as pas le droit ! C'est injuste ! Ce n'est pas de ma faute ! Au secours !
He : Ils ne t'aideront pas ! Tu vas payer pour ton affront ! Reviens ici tout de suite !
Li : Non, tu vas encore me casser une jambe !
He : Et alors ? Ce serait justifié ! Tu as Sali mon nom, je ne te le pardonnerais jamais petit effronté !
Li : C'est toi l'effrontée ! Ce n'est pas moi qui me saoule puis qui fait des bêtises avec n'importe qui !
He : C'est arrivé une fois et c'était de ta faute !
Li : Je ne t'ai jamais obligée à coucher avec ce gars ! Ni à boire !
He : La ferme ! Reviens ici tout de suite ou je t'égorge !
Li : C'est hors de question ! Tu vas encore m'attacher au lit et me torturer !
Hermione l'avait rattrapé et plaqué au sol sans ménagement.
He : Maintenant, tu vas t'expliquer le fourbe ! Plus vite !
Li : Je…
Dr : Qu'est-ce que vous foutez ? C'est quoi ce bordel la sang-de-bourbe ?
Li : Oh, tu sais, elle est moins sang-de-bourbe qu'elle en a l'air l'ectoplasme
Pa : Qu'est-ce que tu racontes le nouveau ? Il n'y a pas sang plus sale que le sien !
He : La ferme le pékinois !
Dr : Vous allez vous calmer ? Vous me donnez mal au crâne.
Pa : Drag chou…
Dr : Arrête de m'appeler comme ça, toi, je te l'ai déjà dit je ne sais combien de fois.
Li : Woaw, une dispute d'amoureux. Enfin un peu de spectacle.
Dr : La ferme toi, t'es lourd ! Et c'est quoi cette odeur bizarre ?
Li : 'Mione, t'as encore oublié de fermer la porte, on va encore se faire griller…
Malefoy suivit l'odeur et se retrouva dans la salle de danse. Il y vit la table basse et les coussins. Toute la salle était jonchée d'emballages de nourriture et le tonneau d'Hydromel posé sur la table basse gouttait sur le parquet. Deux énormes chopes vides étaient posées à même le sol. Il retourna dans le salon où Pansy avait entreprit de s'engueuler avec Lionel.
Dr : Vous allez nettoyer la salle et ramener ce qu'il reste ici.
He : En quel honneur ?
Dr : J'ai aussi envie d'en profiter.
Les cousins s'exécutèrent. Malefoy avait fait apparaître deux nouvelles chopes ainsi qu'un nouveau tonneau d'hydromel et un autre de bierreaubeurre. Il s'était levé et s'était passé un peu d'eau sur le visage, ce qui avait un peu fait dégonfler ses yeux bouffis. Les cousins avaient ramené la table basse et l'avaient remise à sa place. Ils y posèrent les restes de nourriture et firent voler le tonneau d'hydromel jusqu'à la salle et firent apparaître une nouvelle table où ils déposèrent tous les tonneaux, l'autre servant à la nourriture et à l'ordinateur d'Hermione qui jouait de la musique.
Pa : C'est quoi cette musique bizarre ?
Li : De la musique moldue. Si ça ne te plait pas, tu n'es pas obligée de rester.
Pa : Toi aussi t'es un sang-de-bourbe ?
Li : Je suis un sang pur figure-toi !
Pa : Et tu oses toucher Granger ?
Li : A ton avis, pourquoi ne suis-je pas allé à Serpentard ?
He : Lionel, tu devrais te calmer, tu commences à être bien entamé.
Li : Toi aussi.
He : Certes, mais moi, je ne suis pas à deux doigts de me battre avec un pékinois enragé !
Lionel explosa de rire tandis que Drago remplissait deux chopes d'hydromel et en tendait une à Parkinson.
Li : Moi aussi j'en veux s'il te plait !
Il prit la chope qu'il lui tendait et la remplit à son tour. Il proposa à Hermione de faire de même « pendant qu'il y était ». Ils burent et mangèrent. Ils burent beaucoup. Trop. Tous étaient éméchés à une heure du matin et les cousins se mirent à danser ensemble sur un tango.
Li : Mince, y'a plus de miroir !
He : Bah oui gros bêta, on n'est plus dans la salle de danse !
Li : Rho, ça va, concentre-toi sur les pas, sinon tu vas encore te planter.
Il la fit tourner et elle sembla ne pas vouloir s'arrêter.
He : Je n'arrive pas à m'arrêter ! Au secours, Lionel ! Arrête-moi !
Il l'arrêta tant bien que mal et la jeune fille tangua un moment avant d'essayer d'aller s'asseoir devant la table basse.
He : Ca tourne… Je ne vois plus rien…
Son cousin l'assit sur un coussin de sol face à l'ordinateur, lui tendant une chope pleine d'hydromel.
Li : Tient, bois.
He : Si j'arrive encore à trouver ma bouche.
Il s'assit derrière elle, une jambe de chaque côté de ses hanches.
Pa : C'est quoi cette position ?
Li : Quoi ?
Pa : On ne dirait pas que tu es son cousin mais plutôt son petit-ami.
Li : Je suis son cousin. Il n'y a aucune relation incestueuse entre nous !
He : ah bon ?
Li : Hey ! Je te signale que je suis en train d'essayer de sauver ton honneur !
He : Ah, désolée, je n'ai rien dit.
Dr : Trop tard Granger. Maintenant vous allez devoir nous expliquer qui vous êtes réellement l'un pour l'autre.
He : C'est mon demi-cousin. Il est français.
Dr : Comment ça, ton demi-cousin ?
Li : En fait, on n'est pas de la même famille. Je suis le fils de l'ex-femme du frère de sa mère.
Dr : Donc vous êtes vraiment cousins en fait.
Li : Non puisque je suis issu du premier mariage de l'ex-femme du frère de sa mère.
Pa : Je pense que l'on vient de trouver un monsieur Zabini !
Dr : C'est clair. Sauf que ses femmes ne meurent pas apparemment !
Li : Hey !
Dr : Quoi ?
Li : C'est qui ce Zabini ?
He : Le meilleur ami de Malefoy. Sa mère a été mariée sept fois et ses maris sont tous morts dans des conditions plus que douteuses.
Li : N'insultez pas ma famille et tout se passera bien.
He : Trop tard coco !
Li : Arrête de m'appeler coco !
He : Non.
Li : Et pourquoi ?
He : Pas envie.
Li : Tu vas voir si t'as pas envie. Je vais leur montrer les photos et vidéos de tes exploits !
He : Ne fais pas ça !
Li : Allez, juste celle de la soirée de la troupe l'année dernière !
He : Non !
Li : Mais allez…
He : J'ai dit non, c'est non.
Dr : Elles ressemblent à quoi ces photos ?
Li : Bah en fait…
He : Ne raconte pas ma vie à mon pire ennemi !
Li : Elles montrent tous les exploits de ma chère cousine…
Dr : C'est quoi cette histoire d'exploits ?
He : Lionel…
Li : Trois fois rien, juste ses multiples cuites et victoires aux concours de T-shirt mouillés…
Dr : T-shirt mouillés ?
Li : Un jeu moldu où la fille qui a le t-shirt mouillé le plus rapidement gagne. Evidemment, le t-shirt et blanc et les filles ne portent rien en dessous…
Pa : Ingénieux ces moldus.
Dr : Sinon Granger, tu deviens quoi quand tu es saoule ?
He : Tu le vois bien non ?
Li : Une véritable allumeuse !
Dr : Sainte-nitouche serait en fait une allumeuse de premier ordre ?
Pa : C'est trop drôle ! Montre-nous les photos qu'on rigole un peu…
He : Lionel, tu fais ça et…
Li : Et quoi chère cousine ? Tu montres les miennes ? Mais je n'ai rien à perdre…
He : Fit-il avec un grand sourire.
Li : Allez, file-moi cet ordinateur.
Il attrapa ledit ordinateur et alla se réfugier entre Drago et Pansy. Il leur montra les photos de sa cousine qui tentait vainement de se lever en protestant. Les deux serpentards rirent en voyant certaines de ces photos puis le nouveau poufsouffle revint s'asseoir derrière sa cousine en posant l'ordinateur sur la table devant elle.
He : Traitre, tu vas me le payer !
Li : à celui qui aura les meilleurs résultats !
Hermione fulminait. Elle reprit à boire et elle et Drago finirent tellement ivres qu'ils ne purent se rendre dans leurs lits respectifs, les laissant à Pansy et Lionel. Lorsqu'Hermione se réveilla, la première chose qu'elle constata fut que son crâne lui en voulait pour la dose phénoménale d'alcool qu'elle avait ingurgité la veille et la deuxième qu'elle était bien au chaud. Elle se décida à ouvrir les yeux lorsqu'elle comprit qu'elle n'avait pas de couverture et eut un violent mouvement de recul.
He : C'est quoi cette chose ? Malefoy, je vais te…
Dr : Hum… J'ai mal au crâne Granger, la ferme…
He : Tu me lâches et on en discute ok ?
Dr : Pas la peine d'être aussi désagréable… Laisse-moi dormir encore un peu.
Li : Debout les amoureux ! Il est sept heures, vous allez finir par être en retard ! Allez, on se bouge !
Malefoy ouvrit brutalement les yeux, prenant brutalement conscience de la position dans laquelle il était.
Dr : Granger, lâche-moi tout de suite !
Li : Je ne veux pas être rabat-joie, mais c'est toi qui l'enlace.
Il la lâcha et se dirigea vers sa chambre où il trouva Pansy toujours endormie dans son lit. Il lui ordonna de « virer de son pieu » et l'expulsa de la chambre. Hermione en profita pour aller se doucher à toute vitesse et ressortit de la salle de bains dix minutes plus tard, en serviette et coiffée. Elle se précipita dans sa chambre, s'y changea puis saisit son sac de cours tout en attachant sa cravate. Malefoy sortit de la salle de bain en serviette et l'imita sans le savoir. Pansy et Lionel discutaient sur un des canapés en les attendant. Lorsque Drago fut prêt à partir, ils descendirent rapidement dans la grande salle, se séparant à l'entrée.
Ro : Hermione ! On a bien cru que tu allais être en retard !
He : Arrête de crier Ron, s'il te plait. Et je ne suis jamais en retard !
Ha : Surtout que l'on commence avec botanique.
He : Avec les poufsouffles…
Gi : Pourquoi soupires-tu ?
He : On va dire que je vais devoir assister à un cours avec mon cousin. Ca va être du sport…
Ro : Comment ça ?
He : Il est plutôt du genre pas du tout calme et à exposer toute ma vie. Vous allez vite comprendre.
Hermione reçut une lettre de Lupin qui lui interdisait de sortir du château. Ils finirent leur petit déjeuner puis se dirigèrent vers les serres où les attendait le professeur Chourave, déjà équipée pour son cours. Harry et Ron comprirent bien vite les paroles de leur meilleure amie en découvrant l'attitude que son cousin avait avec elle. Ils en rirent toute la journée. Le soir venu, ils la saluèrent plus chaleureusement qu'à l'accoutumée, lui promettant de la tenir au courant de leurs actions. La jeune fille se réfugia dans sa chambre, s'asseyant sur le rebord de la fenêtre, les bras autour des genoux, la tête dans les bras. C'est dans cette position que Drago la trouva lorsqu'il entra dans sa chambre accompagné de Lionel.
Li : 'Mione…
He : Laisse-moi.
Li : Hermione, s'il te plait, il faut qu'on parle.
He : De quoi ?
Li : De ta mère. Ma mère m'a demandé de t'en parler lorsque tu ne serais plus avec Potter, c'est pour ça que je suis ici.
He : T'as intérêt à me dire toue la vérité et vite.
Malefoy sortit en refermant la porte derrière lui. Lionel s'approcha de sa cousine qui regardait obstinément par la fenêtre.
Li : Je suis désolé mais j'ai fait un serment inviolable avec ma mère. J'ai juré que je ne te parlerais de tout cela que lorsque tu serais à Poudlard sans qu'Harry y soit.
He : Accouche et arrête de remuer le couteau dans la plaie.
Li : C'est délicat.
He : Dit-le comme tu le pense.
Li : Bien. (Une courte pause) C'est un mensonge. Ta mère te ment depuis le début.
He : Comment ça ?
Li : Tu n'es pas une sang de bourbe.
He : Explique-toi, et vite.
Hermione fulminait et le regard qu'elle lançait à son cousin le glaçait.
Li : Et bien, en fait… Tu es la descendante directe de Salazar Serpentard.
Voilà, merci d'avoir prit la peine de lire ces douze pages de word écrite au beau milieu de la nuit! ^^ Verdict?
Allez, à la prochaine! Enjoy!
