Disclaimer: J'en ait marre de dire que les perso sont a Arakawa-San
Un Drabble DolGreed, si on m'avais dit...
C'est pas bon, Dolchet le savait, c'était pas bon du tout. Il s'attachait à lui, et une chimère qui s'attache à se genre de personne, c'est pas bon.
Ça avais commencé un jour tout à fait normale, Greed se mettait à le reluquer depuis un quelque temps déjà, il n'y fessait pas vraiment attention, mettant ça sur son côté coureur de jupon, même s'il était un mec et non une de ces greluche qui l'entourais.
Puis Greed l'avait intercepté dans un couloir, un sourire à la fois charmeur et lubrique aux lèvres. Il l'avait plaqué conte un mur et avait collé leur lèvres avec force, Et Dolchet lui il n'avait pas la force de le repoussé, a quoi bon ? Quand Greed voulais quelque chose il devait l'avoir, on ne refuse rien a l'avarice.
Alors il n'avait rien fait, il s'était laissé faire, il avait laissé la langue de son chef s'introduire dans sa bouche, il avait laissé cette même langue jouée avec la sienne. Il avait laissé une main baladeuse caresser sa cuisse a travers sont pantalon, une autre caresser ses flanc et un genou remonter le long de l'autre cuisse ou venir se frotter contre son entre-jambe.
Son gémissement s'était alors perdu dans la bouche de l'homonculus. Ravissant ce dernier qui sourit entre leur baiser. Et quand Greed Lui promis une nuit folle, Dolchet n'avait qu'une envie, savoir de quoi exactement était capable l'autre, Greed l'attirait, au sens propre comme figuré.
Car oui Greed l'avais attiré dans sa chambre, et oui il lui avait fait vivre la folle nuit qu'il lui avait promis, si bien qu'il ne l'oubliera jamais
Puis les nuit avait continuée, presque tout les jours, jusqu'à se qu'ils passent la totalité de leur nuits ensemble. Dolchet savait qu'il intéressait Greed Physiquement, qu'il l'excitait même, d'âpres les paroles du principal intéressé. Mais est-ce que ça s'arrêtait là ? Il savait être la seule personne au Devil's nest à avoir les faveurs de son patron, c'était déjà ça, mais l'amour...
Un jour Dol' avais pris son courage a deux mains (A deux pa-pattes ! Nan Dol' patapé moi ! Range ce sabre tout de suite !) et lui posa la fameuse question, ce a quoi Greed avais répondu "Je sais pas, peut-être". Dolchet avait alors terminé de se rhabiller et était sorti de la chambre sans regarder l'homonculus, prononçant juste un "Je vois". Dans le couloir il s'était adossé à la porte, "Peut-être, peut-être", ces mots se répétaient en boucle dans sa tête, il espérait alors, il espérait de pas être tombé dans un amour impossible, un amour a sens unique.
Dans sa chambre, Greed souriait de toutes ses dents, fixant la porte Il commençait à apprécier son compagnon plus que de raison.
