Vous verrez que c'est un texte assez tragique, voir pathétique, par l'indifférence omniprésente face à la tristesse... Mais aussi à l'amour.
Même l'amitié de Sirius en est « pervertie ». Vous lirez bien.
HéritierJe suis né le premier, en décembre. Alors, on m'a donné le nom d'un ancêtre.
Je suis le troisième Sirius Black.
Contrairement à Druella qui n'avait eu que des filles, Walburga avait un héritier qui transmettrait le nom et le sang de la famille, une chance !
De ce fait, quoique je fasse, peu importe la bêtise, j'étais immédiatement pardonné.
Je n'avais rien à craindre, rien à perdre, tout à gagner... Cela m'était dû.
J'ai donc pris rapidement cette « sale manie » comme le disait Rusard. Pour connaître les limites.
Peut-être est-ce ce laxisme qui m'a dégoûté en premier.
