Sommaire : comment serait une journée magnifique, idyllique pour nos deux amoureux ?

Petite note : voilà, voilà, je suis fière de vous présenter ma toute première fanfiction Sekaiichi Hatsukoi ! On applaudit ! Enfin bref, hum, hum. J'espère que ce n'est pas trop OOC, sinon je m'en excuse par avance.
ATTENTION : si vous n'êtes pas à jour sur le manga, je risque de vous faire pas mal de spoil, donc vous êtes prévenues ! J'avais eu cette idée après avoir lu le chapitre 12 du manga, et je me suis dit : comment serait leur journée si tout était parfait ?

Appartenance : Attention car Sekaiichi Hatsukoi appartient à Shungiku Nakamura (divinité du yaoi pour moi) mais l'histoire à moi merci :3

Parfois je reste éveillé des heures avant de m'endormir. Une joie immense m'envahit parce que je sais qu'il est là, juste à côté. Et parce que je me dis que cette joie est éternelle s'il est près de moi.

Quand la journée nous paraît parfaite, il y a toujours quelque chose qui peut la rendre meilleure.

Surtout s'il s'agit de son âme sœur.

xxx

Les éditions Marukawa. Les bureaux de l'équipe d'édition Emerald.

Toute l'équipe d'édition était détendue, calme et souriante.

Pour la première fois dans l'histoire du monde manga, leurs auteures avaient rendu leurs story-boards sans broncher une seule fois (sans compter Yoshikawa Chiharu sensei) sur les modifications de leurs éditeurs. Absolument toutes sans exception à la date prévue, c'est-à-dire hier.

Mais les deux personnes qui semblaient irradier de bonheur en ce jour béni étaient : Takano Masamune, l'éditeur-en-chef démoniaque, et Onodera Ritsu, l'éditeur débutant-ne-l'étant-plus. Et donc hier était le bulletin météo romantique d'aujourd'hui.

Pour Masamune, ne pas avoir eu à crier sur ses fainéants et exigeantes auteures parce que « Non, ce n'est pas ce que je ressens le personnage principal, il lui faut ça et ça et ça »; ne pas avoir dû ramener son chat lui-même chez Yokozawa, qui était venu le chercher en lui marmonnant « Oui, on y va, Hiyo sera contente de te voir aussi. », parce qu'il était fatigué ; avoir pu cuisiner son plat préféré et son repas du lendemain ; n'avoir fumé que deux cigarettes, ce qui reflétait la tranquillité de sa journée ; et avoir embrassé Ritsu devant sa porte avant de rentrer chez lui sans qu'il ne lui hurle dessus et se contente de rougir avant de rentrer chez lui en ouvrant difficilement la porte : c'était une simple mais agréable journée.

Pour Ritsu, ne pas avoir à débattre des heures sur l'utilité d'une bulle supplémentaire ou d'une expression peu adapté à telle situation par rapport à tel personnage être rentré du travail à 19h et non pas à 22h ou 23h ou peut-être minuit ; avoir emporté de son restaurant préféré un udon délicieux, bien différent des bentôs du combini d'à-côté qu'il mangeait par obligation ; avoir pu ranger un minimum son appartement, ou plutôt empiler ses vêtements dans un coin pour qu'ils ne traînent plus et enlever toutes les ordures, ça ressemblait enfin à un lieu d'habitation convenable pour un être humain ; et avoir pris une douche chaude et s'être couché dans un lit : c'était une journée de rêve. En incluant plus ou moins le baiser de Takano-san…

Ils étaient tous concentrés sur les sondages du mois précédent, les papiers administratifs de la semaine, le meeting du jour consistant à décider du nombre de copies pour les mangakas de Mino et Hatori et quelques propositions de promotion.

L'atmosphère était emplie d'étoiles et fraîcheur comme au début d'un cycle : pas de papiers ni de livres sur le sol, pas de bureaux encombrés, pas d'odeurs nauséabondes, ni de morts-vivants. Alors ils se permettaient de discuter, leurs tâches étant rapides à boucler :

- J'ai bien l'impression que deux d'entre nous sont particulièrement de bonne humeur aujourd'hui. Lança Mino, son sourire effrayant collé au visage, sa voix nasillarde calme et posée.

- Hé, hé… Je vois de qui tu parles, n'est-ce pas Ricchan, Takano-san ? Acquiesça Kisa d'une voix joyeuse, assis en indien sur sa chaise et regardant tour à tour les deux intéressés.

- Ah, oui, c'est simplement l'Amour. Ajouta simplement Takano-san, un sourire au visage, ses yeux noisettes qui fixaient Ritsu qui rougit immédiatement et reporta son attention sur sa proposition.

- Waouh ! Comme c'est romantique Takano-san ! Je me demande qui est l'heureuse élue ! Mais j'ai peut-être une petite idée ! S'exclama avec une curiosité mal contenue Kisa.

- Moi aussi. Mais j'aimerais bien savoir. Dit Mino, se tournant vers son patron.

Le dit-patron se contenta de hausser les épaules sans lever la tête de ses papiers, pour bien signifier qu'il n'en parlerait pas, un petit sourire amoureux sur le visage. Bien qu'il ait déjà donné un indice à leur retour du voyage d'affaires… Que Kisa s'était empressé de remettre sur le plateau discrètement.

Heureusement pour lui, personne d'autre n'avait remarqué que Ritsu était devenu plus rouge qu'une fraise et qu'il tapait à toute vitesse sur son clavier.

Voilà, première partie publiée ! La suite ? ;)

J'ai vraiment peur vous savez... c'est ma première sur Sekaiichi Hatsukoi, et bon, ça peut être horrible et moi je me dis que c'est bien et puis et puis et puis... ARGH !
Calmez-moi avec des reviews ! Bonnes ou critiques (si c'est mauvais, ben tant pis) !