Les personnages et l'histoire originale ne m'appartiennent pas et son à l'auteur original de Bleach, sauf quelques un qui son de mon invention persnnelle.


La rose éternelle

Prologue :

La jeune femme était assise sur une chaise, seule, dans un coin, se demandant se qu'elle faisait là. Il y avait quelques semaines, elle avait reçu une invitation pour se rendre à une soirée à thème mondaine organisée par le plus grand entrepreneur de nationalité européenne, installé au Japon. Elle avait d'abord songé que c'était une erreur, mais après de multiple vérification, il s'était avéré que ce n'en était pas une et quelle avait bel et bien était invitée.

Enthousiaste, elle avait alors passé une journée entière pour trouver sa tenue à l'aide de Tatsuki, ce qui n'avait pas était simple car toutes les jeunes femmes devaient porter une robe du moyen-âge celte, et toute son après midi pour se préparer et être parfaite pour la soirée.

La jeune femme portait une magnifique robe de soie rouge avec un corset de cuir brun nouait par-dessus. Ses longues manches évasées dont les extrémités étaient brodées d'arabesques jaune, prenaient naissance à la moitié de son bras fin et tombais jusqu'à ses genoux. Elle avait peigné ses longs cheveux roux en une coiffure complexe dans laquelle elle avait noué une rose rouge semblant faite de cristal. Comme le lui avait dit sa meilleure amie, elle était magnifique et son diadème finement ouvragé faisait ressortir à merveille ses grands yeux gris.

A ce moment là, la brune put lire une certaine mélancolie dans son regard, appuyé par un soupir si discret quelle crut un instant l'avoir inventé. Depuis qu'Ichigo l'avait délivré des arrancars elle l'avait trouvé changer. C'était infime et presque imperceptible, mais elle l'avait tout de suite ressentit. Quelque chose s'était passé là-bas… Quelque chose de grave. Chaque fois que quelqu'un avait tenté d'en savoir plus, Orihime détournait aussitôt la conversation, comme un enfant qui voudrait cacher une faute grave. De plus, ses sentiments pour le roux, pourtant forts, avait disparu comme si ils n'avaient jamais existé. Ses grands yeux clairs ne brillaient plus de ce constant éclat de joie et d'enthousiasme qui la caractérisait si bien auparavant.

Un soir où elle avait dormit chez elle, Tatsuki avait vu Orihime gesticuler, pleurer et appeler d'une voix désespérer, briser et souffrante ces même mots en boucle « Ulquiorra-kun ». Au bout de plusieurs minutes, elle s'était réveillé en sursaut, les joues couvertes de larmes. Persuadée que son amie dormait, elle avait pris la rose de cristal dans ses mains et l'avait serré contre son cœur, en sanglotant silencieusement. Le lendemain, la brune était allée parler de ce « Ulquiorra-kun » à son ami d'enfance et celui-ci avait aussitôt blêmit en entendant ce nom et, même si c'était presque indécelable, elle avait put lire une certaine peur dans ses yeux mêlés à un immense regret. Elle avait préféré ne pas insiter et n'en avait plus reparlé.

La jeune femme en était là de ses pensées lorsqu'elle entendit Orihime murmurer tristement :

- …lors… comment me trouverais-tu à présent ?

Se sachant impuissante, la brune ne releva pas et se contenta de serrer les dents agacés par tant de mystère. Elle accompagna son amie jusqu'à la fête et repartie après avoir été sûre qu'elle était entrée.

Au milieu de toutes ces personnes inconnues et venant d'un milieu clairement différent du siens, la jeune femme se sentait aussi à l'aise qu'un poisson hors de l'eau. Elle s'était alors empressée de se trouver une chaise dans un coin isolé et y était restée en se faisant la plus discrète possible.

Soudain, elle sursauta lorsqu'elle vit une main pale tendus vers elle et une voie grave s'élever :

- Pardonnez-moi si je vous ais effrayée mademoiselle, cela n'était nullement mon intention. Es-ce que, pour me faire pardonner, vous accepteriez de m'accorder cette danse, gracieuse déesse dont la divine apparition suffit à illuminer à elle seule mon humble demeure et à faire chavirer mon triste cœur de pécheur ?

La jeune femme releva la tête et, lorsqu'elle vit son visage, son cœur rata un battement et elle écarquilla les yeux de stupeur. Cet homme… Il LUI ressemblait tant… Son allure… Sa peau… Ses cheveux… Même cette mèche qui lui tombait négligemment entre les yeux… Tout était semblable… Non… Tout sauf ses yeux… Ses yeux à LUI étaient beaucoup plus verts, beaucoup plus intense, beaucoup plus beau… Et aussi… sa manière de s'adresser à elle. LUI, l'appelait simplement « Femme »… Et puis, cet inconnu n'avait pas ces mêmes larmes éternelles, qui coulaient indéfiniment le long de ses joues pales.

- Mademoiselle ? insista l'inconnu avec un sourire doux et une voix calme et envoutante.

- Euh… Ou…oui… excusez-moi, j'étais dans mes pensées… s'excusa aussitôt la jeune femme avec sourire éblouissant en posant sa main sur celle du jeune homme.

- Ce n'est pas grave… cela arrive à tous le monde. répliqua le jeune homme avec douceur en aidant sa désormais cavalière à se relever.

Sans plus s'attarder, ils allèrent se mêler aux autres danseurs et entamèrent une valse viennoise que le jeune homme mena à la perfection. La jeune femme était troublée. Elle avait l'impression d'être avec LUI et pourtant elle savait que s'était impossible puisqu'IL était… mort…

- Quelque chose ne va pas gracieuse déesse ? Vous semblez… troublé. Aurais-je fais quelque chose qui, par mégarde, vous aurez déplus ?

- Non ! Tou… tout vas pour le mieux. Ne vous en faite pas. S'exclama la jeune femme en rosissant et en détournant le regard.

- Vous me rassurez mademoiselle…

- Orihime. Orihime Inoue, Monsieur.

- C'est magnifique. Un autre nom ne saurait guère mieux vous aller Inoue-san.

- Je… je vous remercie… Monsieur. rougit la jeune rousse.

- Oh, veuillez excuser mon impolitesse, Inoue-san. J'étais tant éblouit par votre grâce et votre beauté que j'en ai oublié de me présenter. Je suis Douyou. Douyou Akuma1.


1 Douyou: Semblable

Akuma : Démon

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Lien coiffure

Lien diadème

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