Disclaimer : Aucun des personnages ne m'appartient. Ils sont à JKR. Je ne touche aucun argent en publiant ce texte.
Rated : M
Beta : holybleu
Avertissements : Slash M/M /!\ il y a beaucoup de Lemons TRES détaillés !
Pairing : Harry/Severus
Genre : Romance/UAMagique
Synopsis : Une maladresse d'Harry va l'amener lui et son professeur de potion sur un chemin qu'ils n'auraient pu imaginer.
Le canon : Harry a vaincu définitivement Lord Voldemort à l'âge de 15 mois. Pour le reste il suffit de lire la Fic' ^.^
Chapitre : 5
N.B. : Il m'arrive d'écrire des Lemon qui ne collé pas avec le contexte ou le style de l'histoire et aux lieux de les efface je les ai utilisés pour faire cette histoire.
La maladresse bienfaitrice
Chapitre 1
POV Zéro
Un matin, dans une chambre deux hommes allongés dans les bras l'un de l'autre au fond de leur lit.
- Tu te souviens de la retenu ? demanda le plus jeune des deux.
- Il y en a eu tellement…
- Celle sans qui tout ça n'aurait pas existé ?
- Ah oui très bien… répondit le plus vieux avec un grand sourire.
OoOoOoO
POV Harry
J'ai souvent trouvé déroutant mon rôle de « Survivant ». Comment des gens pouvaient m'aduler pour une chose dont je ne me souvenais pas ?
Bien sûr je n'ai pas toujours pensé ça… Pour moi qui ai toujours vécu avec cette célébrité, elle était tout à fait normale. Il y avait bien que mes parents et mes proches pour me recadrer quand je dérapais.
Je dis parents mais c'est Minerva McGonagall et son mari Elphinstone Urquart qui m'ont élevés. J'ai peut-être survécu à la baguette de Lord Voldemort mais ça n'a pas été le cas de mes parents biologiques, Lily Evans et James Potter.
Malgré ça je suis bien entouré. Je peux aussi compter sur Sirius Black, mon parrain et Remus Lupin un ami de Lily et James, 'fin surtout de James.
Sans eux je serais devenu un petit con arrogant et prétentieux…
Il y a aussi Severus Snape… qui est un ami de la famille. Bien que ce fut difficile pendant longtemps entre nous deux. Il ne voyait que James Potter en moi sous prétexte que je lui ressemble beaucoup. Mais avec le temps il a vu que je suis aussi le fils de ma mère. Et que je n'ai pas hérité d'elle que de ses yeux mais aussi une très grande partie de mon caractère.
Malgré cette révélation il n'était pas moins sévère avec moi quand il jugeait que c'était nécessaire.
Mais il n'était pas que dureté et mépris, il avait un côté beaucoup plus humain qu'il ne dévoile que dans le cadre privé. C'est souvent quand Sturgis Podmore, son compagnon, est là que les gens peuvent voir l'humain derrière le connard comme dit Sturgis.
A l'heure actuelle, je me retrouve encore une fois en retenu avec Snape, vu qu'une blague destinée à un de ses protégés avait mal tourné. Amenant le Serpentard à l'infirmerie pour une égratignure qui avait pris même pas 5 minutes à madame Pomfresh pour la soigner.
Du coup j'étais blasé, oui voilà c'est le mot qui définirait bien mon état d'esprit en ce moment même.
Ça doit bien faire ¾ heures que je triais la réserve personnelle du professeur de Potion.
- Où en êtes-vous Monsieur Potter ? Entendis-je la voix rauque du maître des potions.
Ne m'y attendant pas je sursaute, lâchant la potion que j'avais en main.
- La maladresse ne fait pourtant pas partie de vos prédispositions naturelles ? Sort-il avec un sourire moqueur.
Une fumée bleu nuit constellée de paillette rose se dégagea des bris de verre et le sourire de mon professeur s'effaça de ses traits alors que… de la terreur ?
Oui, c'est bien de la terreur... Que je vois s'installer dans ses yeux.
- Sortez tout de suite et retenez votre…
Le reste de ses paroles son incompréhensible pour moi alors que je me vois lui empoigner le col et l'embrasse à pleine bouche. Je ne sais pas ce qui me prend, mais une chose était sûre, j'avais un besoin vital de me jeter sur le Potionniste. Il résista quelques instants avant d'être aussi entreprenant que moi.
Je ne vais pas dire que je suis un expert mais j'ai bien plus qu'un peu d'expérience dans l'exercice du baiser, mais là, celui-ci dépassait tout ce que j'avais pu expérimenter jusqu'ici. Merlin que c'est bon, au point qu'un frisson me traverse tout le corps. Il est sans conteste possessif sans être dominateur et d'une douceur inégalée.
Mon professeur me souleva, je passais automatiquement mes jambes autour de son bassin. Il m'adossa aux étagères faisant cliqueter les fioles, bocaux et autre. Bien qu'inconfortable, je le laissai faire m'accrochant d'une main sur son cou et l'autre agrippée à une des étagères au-dessus de moi. Et dans la foulée ses hanches se frottaient aux miennes, je l'accompagnais pour mieux accentuer la friction, la pression sur nos sexes déjà bandés d'excitation.
Il rompit le baiser pour s'occuper de mon cou, laissant ma bouche libre de pousser des soupirs de plus en plus lascifs. Il réussit à glisser une de ses mains dans mon pantalon pour y caresser mon fessier.
Après quelques minutes, il me fit descendre de mon perchoir et me retourna, je m'agrippais une fois encore aux étagères, cambrant les reins afin d'offrir mon fessier à mon professeur. Il emprisonna mes hanches de ses mains pour venir se frotter à moi. Je pouvais sentir pleinement son érection contre mon arrière-train malgré la couche de tissu qu'il y avait entre sa peau et la mienne. De ses frictions, mes cuisses frottaient l'une contre l'autre et mon sexe appuya contre mon caleçon, le mouillant de mon excitation qui transperçait jusqu'à mon pantalon.
Le maître des potions déboutonna et abaissa mon pantalon ainsi que mon caleçon. Dans la foulée je retirais une de mes chaussures pour libérer ma jambe des entraves de tissu. Je le sentis me lâcher et reculer, un gémissement à cette perte passa entre mes lèvres. Mais lorsque le bruit d'une braguette qu'on descendait et d'un pantalon tombant au sol parvint à mes oreilles, j'écartai les cuisses d'anticipation.
Je sentis un doigt baveux se faisant un chemin entre mes miches pour venir caresser ma petite étoile serrée. En tournant légèrement la tête, je vis un pot ouvert avec écrit sur l'étiquette « onguent contre la douleur ». Je compris que c'était de ça qu'il se servait comme lubrifiant. Il introduisit son doigt doucement, précautionneusement. Alors que tout ce que je voulais, c'était m'empaler dessus, ce que je fis. Après ça le maître des potions fut bien plus brusque dans ses gestes.
Je ne compris pas tout de suite la brusquerie excessive de mon professeur. Puis j'eus le déclic, la douceur dont il avait fait preuve à la pénétration de son premier doigt. Il pensait que j'étais encore puceau, qu'il était mon premier.
Je tournais la tête vers lui et glissait une main dans ses cheveux pour exiger un baisser comme une excuse pour ses espoirs gâchés alors qu'il introduisait son troisième doigt. Je haletais dans sa bouche, impatient de le sentir en moi.
Le Potionniste positionna son gland rougi contre mon anus palpitant et enfonça son sexe d'une poussée unique en profitant de l'onguent autour de mon intimité pour faciliter la pénétration me faisant gémir en me sentant ainsi rempli par le sexe de mon professeur. Il ne s'arrêta qu'une fois enchâssé jusqu'à la garde.
À l'image du début de sa préparation, ses va-et-vient sont tendres. C'était une extase de pouvoir sentir sa longueur se retirer centimètre par centimètre pour y revenir aussi lentement. Il m'empoigna pour me masturber au même rythme que ces coups de reins. J'entrelaçais nos doigts pour l'accompagner. À partir de ce moment-là, nos gémissements et grondement qui remplissaient la pièce allaient crescendo alors que les coups de butoir finissaient par se faire beaucoup plus vif.
- À qui appartenez-vous ? me demanda-t-il.
Trop pris dans mon plaisir, je ne répondais pas, alors il donna un grand coup de reins secs en me redemandant :
- Dites-moi à qui appartenez-vous, Monsieur Potter ?
- Âââh… À vous professeur ! Mmmm ! À vous…
Après ça, le maître des potions ne se retenait plus, martelant sans cesse ma prostate, me faisant littéralement hurler.
Quelque part dans les limbes de mon esprit, je me demandais comment on faisait pour ne pas rameuter tout le château.
Mon orgasme arriva vite et fort, me précipitant dans un abîme de délices me faisant éclabousser tout ce qui se trouvait devant moi. Mon anus se contractait spasmodiquement faisant éjaculer mon professeur profondément en moi.
Notre jouissance nous laissa très essoufflé. Mon professeur pris appui à son tour sur les étagères et posa son front sur une de mes épaules. On resta comme ça le temps de vraiment savourer notre plaisir qui retombait.
Je pris conscience de ce que nous venions de faire. Bien qu'il soit mon professeur quelque chose en moi ne voyait rien à y redire. Et bien que dans les tréfonds de mon esprit je me disais que quelque chose clochait, j'étais tout de même prêt à recommencer sans hésiter. Mais après un peu de repos.
Je n'arrive pas à garder les yeux ouverts. Mes jambes avaient du mal à me porter et juste au moment où elles allaient lâcher-prise mon professeures me rattrapa. Il me porta pour me poser sur ce que je devinai être un lit car je sentis un matelas sous moi.
Bien que je somnole, je perçus qu'il me retirait le reste de mes vêtements. Me retrouvant nu, des couvertures sont venu me recouvrir.
J'entends vaguement mon professeur sortir de là où il m'avait amené et de revenir peu de temps après. Puis une lumière verte passe à travers mes paupières, une autre voix en plus de celle du Potionniste se fit entendre mais je ne compris pas ce qu'elles disaient, puis plus rien.
Le matelas se creusa à côté de moi, et les bras du Potionniste m'entouraient. Que c'est bon ! Des lèvres se posent sur les miennes.
Je ronronne en venant enrouler une de mes jambes autour des siennes pour mieux me coller à lui.
Avant de vraiment tomber dans les bras de Morphée je l'entends dire :
- Je sens que les explications de demain seront explosives.
OoOoOoO
Mon corps se réveilla, mais ma conscience voulait rester dans ce cocon de douceurs dans lequel j'étais.
J'ai fait un rêve érotique très, très chaud avec Snape. Vous imaginez ? S'il savait ça… rien que d'y repenser, j'avais les reins en feu.
Mon cocon se mit à bouger et je commençais à craindre que ce ne soit pas qu'un rêve. Il fallait que je sache. Alors, j'ouvre les yeux, pour plonger dans des opales noires qui ont hantées mon rêve. Et tout me revient d'un coup, la retenue, la potion brisée, la fumée bleu nuit paillette rose et le sexe endiablé.
- Désolé… je ne vou…
- Chut, calmez-vous, me dit-il en me mettant un de ses doigts sur les lèvres.
Il me serra un peu plus contre lui, ce qui me fit réagir. Instantanément je pus voir les obsidiennes de mon professeur se dilater. Il recula un peu en prenant une grande inspiration alors que le rouge me montait aux joues.
- Il serait plus raisonnable si j'allais me préparer. Nous sommes attendu chez vos parents, dit-il en se levant sans honte du lit et traversant la pièce nu pour disparaitre derrière une porte.
Pour essayer de me calmer je détaillais les lieux. Apparemment, j'étais dans les appartements du Potionniste. Ils étaient composés d'une grande pièce avec des bibliothèques remplies de livres, une grande cheminée, devant une grande table basse entourée de deux fauteuils et de guéridons, le grand lit dans lequel j'étais et la porte qu'avait passé mon professeur. Je supposais que ça devait être la salle de bain.
Je fis un bon quand mon professeur repassa la porte habillé de pied en cap.
- Qu'est-ce qui se passe monsieur ? Lui demandais-je.
- Nous verrons ça quand nous serons chez vous. Allez-vous laver, m'ordonna-t-il.
Ne voulant pas le mettre en colère je me levais et me dirigea vers la pièce qu'il venait de quitter en emportant le drap avec moi.
La salle de bain me surpris le lavabo était de style antique, la baignoire était une énorme barrique et la douche était sans délimitation seul l'énorme pommeau de douche en cuivre indiquait son emplacement.
Je délaissais le drap dans un coin pour aller sous le pommeau allumé. Je laissais mon esprit vagabonder le temps de me laver et bien évidement elle se fixa sur la soirée de la veille.
Qui aurait pu croire que le professeur de potion, la chauve-souris des cachots, pouvait être si passionné.
Je me repris bien vite et me sécha avec les serviettes pliées sur le rebord de la baignoire. Un problème se posa à moi je n'avais pas de vêtement. C'est la mort dans l'âme que je mis une des serviettes autour de la taille et sorti.
- Excusez-moi monsieur mais je n'ai pas trouvé mes habits.
Il y eu un moment de flottement jusqu'à ce qu'il dise quelque chose que je ne compris pas.
- Titri.
Et dans un pop, un l'elfe apparut.
- Que puis-je pour vous, professeur Snape, monsieur ?
- Où as-tu mis les vêtements de monsieur Potter que je t'ai remis ?
- Après les avoir lavés, je les ai remis dans son armoire, Professeur, monsieur.
- Serais-tu assez aimable pour les rapporter, s'il te plait ?
- Bien sur professeur, monsieur.
Moins d'une minute plus tard une tenue complète d'hiver de la maison Gryffondor trônait sur le lit.
Une fois vêtu je lui demandais :
- Titri est l'elfe qui est attaché à vos appartements ?
- Oui c'est ça. Allons-y !
Il se dirigea vers les bibliothèques et tourna une poignée dissimilée. Nous atterrissions directement dans la réserve que je rangeais la veille pour atteindre son bureau avant de sortir dans les couloirs des cachots.
Arrivé au Hall d'entrée Ron m'appela en descendant les grands escaliers de marbre.
- Enfin on te trouve. Tu t'es levé aux aurores ou quoi ? Tu es dingue on est dimanche.
Le temps qu'il débite toutes ses paroles pratiquement tous les Gryffondor de mon année nous ont rejoints.
- Monsieur Potter n'a pas le temps pour vos bêtises, Monsieur Weasley, il est attendu ailleurs.
Ron me jeta un regard demandant ce qui se passait. Je lui répondis en levant les épaules et suivi mon professeur.
On traversa tout le parc jusqu'à sortir des limites de l'école pour entrée dans Pré-au-Lard. On traversa pratiquement tout le village pour atterrir devant chez moi, où mon père nous attendait à la porte.
- Papa ?
- Entre mon grand, on t'expliquera tout à l'intérieur.
Docilement je fis ce qu'il me demanda.
- Severus, salua sèchement mon père.
Quand on atteignit le salon Mimine était là, nerveuse, plus surprenant le professeur Dumbledore était également assis dans un des fauteuils.
Mon père me fit asseoir à côté de lui dans le canapé.
- El laisse ta place à Severus, demanda ma mère.
C'est à contre cœur qu'il laissa sa place à mon professeur qui le fusillait du regard.
- Ne commencez pas Severus. Elphinstone ne vous prendra pas Harry, le morigéna le directeur Dumbledore.
J'étais encore endormi ? Je faisais un cauchemar ?
Et pourtant je ne pus empêcher le rouge de me monter aux joues.
- Explique-nous plutôt ce qui s'est passé, ordonna le vieux mage.
- Monsieur Potter était en retenu avec moi. Il avait pour ordre de ranger ma réserve privée. Quand j'ai été voir si tout allait bien, je l'ai fait sursauter et il a fait tomber la potion qui s'avéra être de la convenientiae. Le temps que je me rende compte de ce que c'était, il était trop tard nous avions déjà inhalé la potion.
Convenientiae ? Pourquoi ce nom me disait quelque chose ?
- Mais pourquoi Mordred vous aviez de la convenientiae dans votre réserve ? S'énerva mon père.
- C'est Lucius Malfoy qui m'avait commandé pour les fiançailles de son fils et la benjamine des Greengrass. Mais comme vous le savez, Draco a réussi à casser tous les contrats que son père a signé en son nom donc je l'ai rangé dans ma réserve et n'y ait plus jamais touché.
Grand merlin ! Non !
Je me revois deux ans plutôt plonger avec tous les amis de Malfoy et lui ainsi que Neville et Hermione, dans des livres sur les mariages de convenance pour délivrer Malfoy de tout ça.
Seul mon Amitié pour Hermione m'avait poussé à participer aux recherches. Je n'aurais pas supporté qu'elle souffre en voyant l'homme qu'elle aime se marier avec une autre.
[…] La convenientiae est une potion qui est utilisé dans les mariages de convenance où la cohésion du couple est un critère défini par l'accord des deux familles.
L'effet de la potion est en deux temps.
La première détermine la concordance physique des promis. Deux possibilités, ils ne le sont pas et rien ne se passe, de là le contrat entre les deux familles est cassé. Ou au contraire les promis son compatible, la première étape dure entre 12 à 72 heures.
Dès lors la potion aura un effet aphrodisiaque. C'est pour cela qu'en général le futur couple est isolé dans une pièce.
A noter qu'en général un dominant dans le couple est aussi déterminé à ce moment-là. Nous parlons bien sexuellement.
La deuxième étape est beaucoup plus longue. C'est de l'ordre une douzaine de mois où durant cette période, les promis devront cohabiter afin que la potion détermine par plusieurs critères s'ils sont faits pour vivre ensemble.
A ce terme si les promis sont compatibles à plus de 80% ils seront officiellement déclarés mariés. […]
Je compris enfin les tenant et les aboutissant de ce qui c'était passé hier.
- Harry ?
- J'ai aidé Malfoy à annuler tous les contrats donc je sais ce qu'est la convenientiae, annonçais-je à la cantonade en me tournant vers mon prétendant.
- Bien comme ça on n'a pas tout à t'expliquer, me dit le professeur Dumbledore avec un petit sourire. Hier soir avec Minerva, les professeurs Flitwick et Chourave, nous avons cherché dans l'édition complète du règlement de Poudlard et ses archives pour savoir la marche à suivre. Il avéra que le cas c'est présenté une fois, en 1712, ajoutant un alinéa exprès dans le règlement. Ce qui nous est utile.
- Et donc ? demanda mon professeur.
- Si l'élève est majeur, c'est le rite qui prévaut sur le règlement. Ce qui est le cas ici.
- Comment allons-nous procéder ? demanda El.
- J'ai déjà déclaré l'incident au comité. Ils m'ont demandé de l'annoncer au plus vite au public.
- Est-il possible d'attendre jusqu'à demain ? Questionna mon professeur.
Comme aucune réponse ne venait il ajouta :
- J'aimerais prévenir Sturgis moi-même.
Sturgis ! Merlin, je l'avais oublié…
- Je suis désolé mais je ne le peux pas. Je ne peux que vous conseillez fortement d'y aller tout de suite, lui dit le directeur Dumbledore qui avait l'air sincèrement peiné de lui dire non.
