Une nouvelle histoire plus courte que mes précédentes avec une narration très différente.
Axée sur la romance, j'espère qu'elle vous plaira.
N'hésitez pas à me laisser votre avis sur ce premier chapitre.

Bonne lecture ! =)

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Chapitre 1 : Laissés pour compte.

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Le premier mois – Partie I

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Être une ancienne héroïne de guerre au sein d'un monde retombé dans la plus totale des normalités n'est pas chose facile, surtout lorsque votre nom est Hermione Granger. Ou comme se plaisait à l'appeler le directeur du Département de contrôle et de régulation des créatures magiques, Harmony. Aux yeux de William Betchley, fier sorcier de quatre-vingt-deux ans, avoir participé activement à la chute de Lord Voldemort et aidé à libérer le monde sorcier de la menace qui planait au-dessus de sa tête depuis des décennies ne vous donnait pas droit à un quelconque traitement de faveur. Non pas que Hermione approuvât ce genre de méthodes de toute façon, mais elle aurait au moins apprécié un minimum de considération. Comme le simple fait de retenir son nom pour commencer.

Si injuste que ce fut, la vie n'avait pas été si merveilleuse que cela pour les anciens protagonistes de la guerre. Si la relation d'Harry et Ginny demeurait paisible et heureuse, le quotidien de l'ex-Survivant se résumait davantage à de la paperasse rébarbative qu'à la poursuite d'anciens Mangemorts dont un grand nombre occupait déjà les cellules de la prison d'Azkaban, définitivement débarrassée des Détraqueurs. Hermione était devenue une employée brûlant de faire ses preuves mais à qui on ne confiait que des tâches de secrétaire et qui s'ennuyait ferme à son bureau. Sa relation en dents de scie avec Ron, faites de disputes et de réconciliations ne l'épanouissait pas autant que ce qu'elle avait imaginé à la fin de leurs années à Poudlard. Le plus jeune des fils Weasley avait bien vite abandonné son poste d'Auror pour aider Georges à gérer Farces pour Sorciers Facétieux et avait fini par racheter les parts de son défunt frère Fred. L'entreprise déjà florissante au temps de Poudlard était devenue une référence incontournable dans le monde entier, ce qui avait pour conséquence directe une multitude de voyages aux quatre coins du globe pour les deux frères. De là découlait également une des raisons pour lesquelles Hermione et Ron se disputaient souvent, ce dernier lui reprochant souvent le fait qu'elle ne l'accompagne presque jamais dans ses déplacements, préférant rester disponible au cas où Mr Betchley lui confierait un dossier. Chose qui n'était encore jamais arrivée jusque-là et que Ron ne manquait pas de souligner lors de leurs querelles. Son propre succès lui avait conféré une confiance en lui désarmante qu'il ne possédait pas auparavant ainsi qu'un orgueil parfois un peu trop prononcé qui exaspérait Hermione au plus haut point. Malgré cela, elle se sentait incapable de mettre un terme définitif à leur histoire.

Mais à partir d'aujourd'hui tout serait différent s'était-elle promis en se réveillant dans son petit appartement situé dans un quartier bruyant de Londres. Elle avait pris la décision d'organiser pour Ron et elle une soirée mémorable dans un hôtel cossu de la capitale, à savoir un bon dîner suivi d'une nuit dans une des suites de l'hôtel où elle avait prévu de lui annoncer son intention de prendre un long congé pour voyager avec lui. Cela semblait... Parfait. Néanmoins, Hermione devait reconnaître qu'elle n'éprouvait pas autant d'enthousiasme que ce qu'elle aurait du. Balayant ces pensées négatives d'un simplement haussement d'épaules, la jeune femme sortit une housse sombre de son étroit placard. Celle-ci contenait une robe, achetée en prévision de grandes occasions mais qui n'avait finalement jamais servie. Elle enfila le vêtement et ne put s'empêcher de pousser un petit soupir de dépit en s'observant dans le miroir. L'effet n'était pas aussi époustouflant que ce qu'elle espérait, la faute peut-être aux innombrables heures supplémentaires qu'elle effectuait assez régulièrement et aux vacances qu'elle refusait de s'accorder. Il n'y avait de toute façon rien à faire de plus de ce coté-là, aussi s'attaqua-t-elle avec une farouche détermination à la tâche ardue que représentaient ses cheveux. Après de longues minutes, une généreuse quantité de lotion capillaire et un sortilège nouvellement appris lui permirent d'arriver à un résultat qu'elle jugeait satisfaisant.

Une seule question lui occupait l'esprit : tout allait-il bien se passer comme elle l'avait prévu ?

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Être l'enfant unique d'un des hommes les plus détestés de toute l'Angleterre aurait pu conduire n'importe qui à quitter le pays sans se retourner. Mais Draco Malefoy n'était pas n'importe qui. Le patriarche de la famille Malefoy, à qui la dénonciation de tous les Mangemorts et partisans de Voldemort n'aurait pas suffi à épargner un emprisonnement à Azkaban, profita de l'état de confusion général provoqué par la fin de la bataille de Poudlard pour s'enfuir, non sans tenter d'emmener avec lui sa femme et son fils, sans succès. Au lieu de fuir, Draco et sa mère participèrent activement à la condamnation de la plupart des Mangemorts en fournissant au Ministère autant d'informations que possible, en échange de quoi ils demeuraient libres. Une liberté cependant relative puisqu'ils restaient en permanence dans leur manoir du Wiltshire et étaient étroitement surveillés afin de pouvoir intercepter un contact éventuel avec Lucius. Lorsqu'ils apprirent sa capture et son transfert à Azkaban, Narcissa se démena pour qu'ils aient la possibilité de le voir, ce qui ne manqua pas d'écœurer Draco. Mais lors du bref entretien qu'ils purent obtenir, pas un seul mot ne fut échangé entre les deux époux et l'adolescent ne comprit que plus tard que cette visite n'était aucunement une façon de lui apporter un quelconque soutien. Il réalisa que sa mère avait fait cela pour qu'ils puissent dire adieu à cette partie de leur vie, à cet homme qui avait transformé leurs préjugés en haine. Il faudrait bien du temps avant que tout cela ne s'estompe véritablement. Lucius Malefoy fut retrouvé mort dans sa cellule quelques mois plus tard, ce que le Ministère annonça comme étant un décès de causes naturelles - une fin que bon nombre de sorciers estimaient trop clémente.

Une des premières choses que fit Narcissa Malefoy après le décès de son mari fut de vendre le manoir et de partir s'installer dans une imposante maison de style victorien située à Londres en compagnie de son fils. Les années qui suivirent furent essentiellement consacrées à redorer le blason de la famille. Narcissa s'était investie corps et âme dans un grand nombre d'associations caritatives et si les figures populaires du monde sorcier la considéraient toujours avec quelque méfiance, il leur était impossible de nier ses efforts. Sans être particulièrement appréciée, Narcissa Malefoy avait fini par devenir un membre respectable de la communauté magique.

En cela, son fils, doté d'un caractère orageux et d'une réputation quelque peu sulfureuse auprès des femmes, ne lui avait pas facilité les choses. Non pas qu'il fut lâche mais il s'était finalement libéré du jugement constant de son géniteur et avait décidé de ne plus accorder d'importance au regard des autres, apprenant dès lors à endurer les menaces et médisances en tous genres en silence. Physiquement, le jeune homme qu'il était devenu n'avait plus rien à voir avec l'adolescent à l'air maladif de ses dernières années d'école et il devint rapidement la coqueluche de la gente féminine londonienne. Il naviguait de conquêtes en conquêtes, prenant bien soin de ne s'attacher à aucune d'entre elles. Le changement s'était produit trois ans auparavant lors de sa rencontre avec la jeune Astoria Greengrass, qui, loin d'apprécier les remarques parfois acides sur les Moldus qui lui échappaient parfois, les condamnait avec fermeté.

Le seul petit problème à leur histoire, outre le caractère de Draco qui irritait souvent Astoria, était l'ambition de celle-ci, qui gravissait les échelons du Département de la justice magique à une vitesse remarquable pour quelqu'un de son âge. La réputation irréprochable de sa famille l'aidait à faire bonne impression et son esprit vif faisait généralement le reste. La question d'un mariage avait été abordée quelques mois auparavant par Draco, que Narcissa encourageait vivement et qui, il devait bien l'admettre, était loin de trouver l'idée repoussante. Mais Astoria avait esquivé la question et son ami Théodore Nott, le seul de Poudlard avec qui il ait gardé contact – et curieusement le seul Serpentard de son année qu'il n'ait jamais vraiment côtoyé à l'école – lui avait fait remarquer que sa demande manquait peut-être de romantisme. En conséquence, Draco avait invité Astoria dans un des plus beaux hôtels de Londres et prévu de faire sa demande en bonne et due forme après le dîner.

Repas qu'il avait confectionné lui-même par-dessus le marché. Peu désireux de devenir Auror – il doutait de toute façon qu'on l'eût laissé faire – ou d'être employé d'un quelconque département du Ministère de la Magie, il avait fini par trouver sa voie dans la cuisine. Une carrière que sa mère appréciait peu mais dont elle avait ironiquement été à l'origine en achetant un établissement hôtelier moldu doté d'un restaurant réputé qu'elle fréquentait assidûment depuis longtemps dans le plus grand secret. Fatiguée de voir Draco perdre son temps, elle l'avait obligé à y travailler afin de lui mettre du plomb dans la tête et lui faire perdre son animosité à l'égard des Moldus. Jamais elle n'avait envisagé l'éventualité qu'il puisse y prendre goût. Lui ayant octroyé les plus basses corvées à la demande de Narcissa, le chef Moore avait rapidement vu chez Draco un potentiel dont le jeune homme lui-même ignorait l'existence. Désormais sous-chef dans le restaurant de l'hôtel, c'est tout naturellement qu'il avait décidé d'y organiser ce qui devait être une des soirées les plus importantes de sa vie. Mais une petite voix au fond de lui ne cessait de répéter qu'Astoria pourrait ne pas venir, comme cela avait été le cas tant de fois, invitée à des dîners officiels à la dernière minute ou trop occupée à travailler sur des dossiers. Il secoua la tête, ébouriffant ses cheveux d'un blond presque blanc et inspecta son costume couleur anthracite fait sur mesure. Parfait.

Une seule question lui occupait l'esprit : tout allait-il bien se passer comme il l'avait prévu ?

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Hermione pénétra dans l'hôtel et se fit conduire à la table qu'elle avait réservée pour vingt heures. Personne. Ron n'était pas encore arrivé mais elle choisit de ne pas s'en agacer, elle était après tout un peu en avance. Elle décida donc d'aller au bar commander un verre pour patienter. Le barman lui adressa un sourire aimable en lui servant son verre et la jeune femme commença à le siroter en promenant son regard sur les autres clients. Ses yeux se posèrent brièvement sur un homme blond et la surprise la fit avaler de travers.

Draco Malefoy.

Il tenait dans sa main crispée une petite boite en velours rouge qu'il fixait avec une expression d'intense colère et avala d'un trait le contenu de son verre avant de faire un signe de tête à l'attention du barman, qui s'approcha aussitôt pour le resservir. A en juger par la mine inquiète de ce dernier, il ne s'agissait certainement pas de son premier verre ni même du second. Qu'avait-il donc bien pu lui arriver, se demanda-t-elle en avalant une gorgée de son cocktail. Perdue dans ses pensées, Hermione sursauta en entendant une sonnerie aiguë en provenance de son sac à main qui fit converger tous les regards vers elle. La jeune femme rougit et prit l'appel en lançant des regards d'excuses aux autres clients. Elle remarqua que Draco l'observait d'un air stupéfait tandis qu'elle entendait la voix de Ron résonner dans son oreille. Lui expliquer le principe d'un téléphone portable n'avait pas été une mince affaire mais cela s'avérait bien pratique pour communiquer lorsqu'elle se trouvait dans un environnement moldu comme ce soir-là.

Au fur et à mesure que celui-ci parlait, le sourire d'Hermione disparut de son visage et elle raccrocha sans lui dire au revoir. Une soirée imprévue avec des investisseurs avait dit Ron, impossible donc de venir la retrouver mais il se rattraperait, ce n'était après tout pas si grave n'est-ce-pas ?

« Crétin. », marmonna-t-elle.

La mine déconfite, Hermione vida son verre en une seule longue gorgée et en commanda aussitôt un autre. Les minutes passaient inexorablement et le maigre espoir que Ron se décide finalement à la rejoindre au dernier moment finit par s'évanouir. Pour être tout à fait honnête avec elle-même, elle ne comprenait pas très bien ce qu'elle avait cherché à se prouver en organisant cette soirée. Sans s'en rendre compte, Hermione avait terminé son troisième verre et lorsqu'elle sentit la tête lui tourner, elle jugea préférable de s'arrêter là, déjà qu'elle ne tenait pas particulièrement l'alcool en temps normal, boire sur un estomac vide n'était sans doute pas une très bonne idée. La jeune femme se leva maladroitement de son tabouret et lança un regard en direction de Malefoy, qui en dépit de son sixième ou septième verre de whisky semblait relativement lucide mais celui-ci se contentait de regarder droit devant lui, avec toujours la même expression de colère sur le visage.

Bien décidée à profiter de sa nuit à l'hôtel qui était de toute manière déjà payée, elle s'engouffra en titubant dans l'ascenseur, s'efforçant de ne pas prêter attention aux regards désapprobateurs des clients qui s'y trouvaient. Au huitième étage, elle sortit de l'ascenseur et commença à errer dans le couloir à la recherche de sa chambre, réalisant par la même occasion qu'elle en avait oublié le numéro. Elle sortit la carte magnétique de son sac à main et observa avec attention ce qui était inscrit dessus. Tout dansait devant ses yeux et Hermione eût beau tourner la carte dans tous les sens, pas moyen de savoir s'il s'agissait du nombre 66 ou du 99. Un sensation de vertige plus vive que les autres la fit vaciller et, en équilibre instable sur ses talons hauts, elle glissa lamentablement sur le sol. Grommelant des jurons à l'intention de Ron, elle se remit tant bien que mal debout et entendit alors un craquement sonore: la carte magnétique venait d'être brisée en deux par le talon de son escarpin. De mieux en mieux.

« C'est un cauchemar, murmura-t-elle au moment même où une employée de l'hôtel apparaissait au bout du couloir.

- Puis-je vous aider Miss ? s'enquit celle-ci en jetant un regard insistant sur ses cheveux décoiffés et sa robe froissée.

- J'ai cassé ma carte. », bredouilla Hermione en lui montrant les deux bouts de plastique désormais inutiles.

La femme l'observa d'un air quelque peu apitoyé et plissa le nez en sentant l'odeur d'alcool qui émanait d'elle.

« Il faut passer par la réception Miss, commença l'employée.

- Oh s'il vous plaît, je ne suis pas... Enfin, j'ai besoin de me reposer.

- Je comprends bien Miss mais...

- Je vous en prie, je ne veux pas que d'autres personnes me voient dans cet état. », souffla Hermione d'un ton piteux.

L'employée parut s'adoucir et après avoir vérifié que personne ne se trouvait dans les parages, sortit un passe d'une couleur dorée de la poche de son uniforme.

« Bon, c'est d'accord. Quel est le numéro de votre chambre ?

- Hum... », fit Hermione.

Les effets de l'alcool se faisaient davantage sentir de minute en minute et il ne faisait aucun doute qu'elle serait totalement inopérationnelle dans quelques minutes.

« Je suis dans la chambre 66, finit-elle par marmonner.

- Ah vous n'étiez pas très loin, venez je vais vous y conduire. », répondit l'employée en tendant à Hermione son bras, qu'elle prit avec gratitude.

Une fois devant la chambre 66, elle introduisit son passe dans le lecteur et ouvrit la porte. Alors qu'elle s'apprêtait à appuyer sur l'interrupteur, Hermione secoua la tête.

« Pas de lumière, je vous en prie, marmonna-t-elle en portant une main à son front.

- Vous êtes sûre que ça va aller ? demanda l'employée.

- Oui, je... j'ai juste besoin de dormir. C'était une très mauvaise soirée.

- Bien, n'hésitez pas à appeler quelqu'un en cas de problème.

- Merci. », fit Hermione en avançant lentement dans la pièce plongée dans la pénombre tandis que l'employée refermait la porte derrière elle non sans un dernier regard préoccupé.

Hermione heurta quelque chose et supposa que c'était le lit. Elle commença à défaire le corsage de sa robe mais sentit ses yeux se fermer tous seuls. Étouffant un bâillement, elle se laissa tomber sur le matelas délicieusement moelleux et s'endormit, en espérant de toutes ses forces qu'elle se réveillerait le lendemain matin et réaliserait que cette soirée n'était qu'un simple mauvais rêve.

La nuit était déjà bien avancée lorsqu'un léger bruissement de tissu lui fit ouvrir péniblement les yeux. Une haute silhouette se mouvait dans la pénombre et malgré l'alcool qui lui embrumait encore l'esprit, Hermione sentit son cœur faire un bond dans sa poitrine.

« C'est toi ? », souffla-t-elle d'une voix un peu pâteuse.

En silence, elle sentit Ron s'allonger à ses côtés et tendit la main dans sa direction. Il était finalement venu. Un sourire apparut sur ses lèvres quand celui-ci l'attira contre lui.

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C'est tout pour ce premier chapitre, qu'en pensez-vous ?

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Faits divers:

- L'idée de base (mais vraiment de base quoi) de cette histoire vient d'une vieille série taïwanaise. Si si.
- J'ai lutté pour écrire le résumé, pour ne pas qu'il spoile à mort la suite (au moment où j'écris ces mots je m'arrache toujours les cheveux dessus [et je crois que ça spoilera quand même hélas...])
- Ecrire une histoire "légère" m'aide à avancer sur mon autre histoire "De sombres secrets" qui est plus longue, beaucoup moins romantique et bien plus compliquée. J'en ai une troisième "Ton souvenir" dont j'avais écrit toute la trame sur un cahier. En déménageant, je l'ai perdu et ça m'a tellement dégoûtée que j'ai mis cette fiction en pause. J'espère retrouver la motivation rapidement.
- Tous mes titres de fictions, de chapitres et souvent leur contenu me viennent en anglais, et trouver les mots en français me prend du temps. C'est quelque chose qui m'énerve beaucoup ^^.
- Je suis bigleuse alors même avec la meilleure volonté du monde je laisse souvent passer des coquilles et je m'en excuse. N'hésitez pas à me les signaler !
- J'ai toujours trouvé que Ron était le loser de l'équipe, toujours dans l'ombre parce que sans prophétie grandiloquente à son sujet et sans une intelligence hors normes. Alors je lui ai donné la vie la plus épanouissante des trois et toc!
- Lucius est mort. J'adore ce personnage que l'acteur a rendu classe dans les films mais il ne cadrait pas dans cette histoire alors il est passé à la trappe. Ça me rend un peu triste quand même...
- On lit/écrit encore des Draco/Hermione en 2016? Je suis tellement pas au courant...

Comme toujours je parle trop, alors à bientôt!