Bonsoir, et voila ma nouvelle fiction.
J'espère que cela va vous plaire
TOUT LE MONDE A LE DROIT AU BONHEUR
PROLOGUE
Je m'appelle Isabella SWAN, mais je préfère qu'on m'appelle Bella. J'ai 22 ans, je viens de terminer l'université et je suis prise en tant que bibliothécaire dans la grande bibliothèque de Port Angeles. Je ne suis pas un top model, j'ai des rondeurs et pour être franche, je ne plais pas aux garçons. Je n'ai jamais eu de petits copains, ni même des amis, ma mère était très déçu de moi, je lui faisais honte, c'est pour cela que je suis partie de chez elle pour aller vers mon père. Mon père est shérif d'une petite ville appelé Forks. Je ne l'ai pas vu souvent car j'ai vécu avec ma mère mais j'ai gardé de très bon lien avec mon père, nous nous parlons souvent par téléphone. Il ne m'a jamais rien reproché.
Et voila, je m'étais trouvée un petit appartement dans une résidence à quelque pas de la bibliothèque. Et aujourd'hui était mon premier jour de boulot. Je me suis mis un petit tailleur noir pantalon avec des escarpins à petits talons. Je sors de mon appartement. Et croise ma voisine.
Bonjour tu dois être Isabella ? Ma mère m'a parlé de toi, elle m'a dit que tu étais ma voisine. Je suis sure que nous deviendrons les meilleures amies du monde enfin je l'espère. Je ne t'effraye pas. Hein ?
Non pas du tout, mais je n'ai pas l'habitude de rencontrer quelqu'un comme toi. Enfin pas du tout l'habitude. Mais je suis ravie de me faire déjà une amie.
C'est vrai, tu veux bien qu'on fasse connaissance.
Bien sûr.
Je suis trop contente. D'habitude les gens ne veulent pas me voir, ah ce qu'il parait je fais peur. Mais je ne me suis même pas présentée, je m'appelle Alice.
Ravie Alice moi c'est Bella. Donc la résidence est à ta famille.
Oui c'est ma mère qui t'a fait la visite. Mais tu vas où comme cela ?
Je vais au boulot. Je suis désolée mais je dois y aller sinon, je vais être en retard.
D'accord on peut se voir cette semaine.
Bien sur, glisse moi un mot dans la boite au lettre et je te répondrais. Je suis désolée mais je dois vraiment y aller
D'accord Bye Bye
Je me dépêchais de me rendre au boulot. La bibliothèque était magnifique. Je rentrais dans le bâtiment, je croyais rêver, on dirait un musée. Je fus accueilli par la directrice, elle était très gentille. Aujourd'hui ma principale mission était de réorganiser le coin enfant car la personne avant avait fait que des conneries. Donc je fis ce qu'elle me demandait. Je classais les livres jusqu'à 17heures. J'adorais faire cela, voir de nouveaux livres, les relier, les classer, les ranger et les découvrir. Je décidais de faire un tour dans la bibliothèque avant de partir. Et là je vis une petite fille en train de regarder un livre. Je m'approchais.
Bonjour ma puce ! Que fais-tu ici toute seule ? Demandai-je en me mettant à sa hauteur.
J'attends mon papa, il m'a déposé ici et il va venir me chercher dans pas longtemps. Dit-elle timidement.
Cela te gêne si je reste avec toi jusqu'à l'arrivée de ton papa. Elle secoua la tête négativement. D'accord, tu veux que je te lise ce livre. Elle acquiesça.
Je lui lisais donc l'histoire, elle était très attentive. Cette petite fille était un ange venu du ciel.
Carlie, ma puce tu viens ! S'écria un homme.
Papa ! Cria la petite puce.
Je vis la demoiselle sautait dans les bras de l'homme donc si je comprends bien la petite s'appelle Carlie et cet homme est son père. Carlie parla avec son papa et ils se dirigèrent vers moi. Mon regard capta celui de l'homme, mon dieu il était magnifique.
Bonjour, je voulais vous remercier d'avoir tenu compagnie à ma fille.
De rien vous avez une petite fille merveilleuse. Je me basais à la hauteur de Carlie. Ma puce la prochaine fois que tu viens tu demandes Bella et je viendrais m'occuper de toi. D'accord ?
Oui merci Bella à bientôt.
Merci pour tout heu Bella.
De rien heu…
Edward, Edward CULLEN.
Bah Au revoir Monsieur CULLEN, Carlie.
Au revoir Bella.
Je regardais Edward et Carlie prendre la direction de la sortie. Cet homme représentait tout ce que je rêvais, il était un dieu vivant. Mais jamais un homme comme lui pourrait s'intéresser à une femme comme moi. Pourquoi n'aurais-je pas le droit au bonheur.
alors ce prologue?
