Tout appartiens à J.K. Rowling, sauf ce qui est à moi (logique n'est-ce pas ?)

Bonjour tout le monde.

Je me présente rapidement, moi c'est Alkatra (Romain de mon petit nom), je suis un étudiant en deuxième année de psycho. Je suis un glandeur sans limites qui fait que jusqu'à aujourd'hui j'ai jamais fini une seule des histoires que j'ai commencé, principalement parce que je trouve que c'est nul au bout de deux chapitres.

Mais ! Pour cette fois j'ai trouvé une parade ! J'écris une histoire qui est loiiiiiiin d'être sérieuse.

N'ayant pas le temps, pas l'envie plutôt, de faire un espèce de prologue pour pose le décor, je vous le donne tout de suite. Cette histoire se situe à la fin de la quatrième année d'Harry, après le tournois des trois sorciers (après son duel avec Voldemort plus précisément).

Tout ce que vous lirez est voulu. Je m'explique, si vous lisez quelque chose que vous pensez faux, et bien c'est normal, et volontaire, c'est quelque chose qui sera expliqué plus tard dans l'histoire...sûrement...si je l'oublie pas entre temps on va dire.

Pour le personnage principal de cette histoire, il s'agit de Nerkos mais aussi d'Harry Potter.

Nerkos est un mage millénaire, avec un pouvoir incommensurable et une schizophrénie très développé.

Pour Harry il arrivera d'ici une grosse dizaine de chapitre je pense, en attendant vous vous habituerez au charme de Nerkos (si si je vous assure c'est possible).

Voilà je pense avoir fini, donc sur ce, bonne lecture !

Pensées de Nerkos

Pensées de Nerk (la voix dans la tête de Nerkos).

Chapitre I

L'arrivée

POV

Nerkos

Il fait noir.

Il fait très noir.

Comment peut-il faire très noir ?

Quand tu garde les yeux fermés il ne fait pas noir, il y a toujours de la lumière. Là ce n'est pas le cas.

En même temps on a pas les yeux fermés.

Ouais, c'est pas faux. Pourquoi il fait noir ?

Parce qu'on dort ?

Non, je pense et je réfléchis donc je dors pas.

Les deux ne sont pas dépendants l'un de l'autre ?

Pas du tout, tu peux penser sans réfléchir, cela dit je ne suis pas sûr que tu puisse réfléchir sans penser. Mais là n'est pas la question.

Y avait une question ?

Oui, les tiennes déjà, et d'ailleurs je vais te brûler vif si tu ne me laisse pas me concentrer.

Je ne parle pas.

Tu sais que tu es à deux doigts de la combustion.

C'est une expression complètement con ça.

Combustion ?

Mais non, être à deux doigts de quelque chose, crétin.

Tais toi par pitié.

Pas de pitié pour les cochons.

Mais tu va...Quoi ? Mais c'est quoi encore que cette expression ?

Ah je sais pas, je croyais qu'on cherchais les trucs les plus cons qu'on connaissait.

Hum...J'ai pas souvenir d'avoir su un jour quelque chose comme ça moi. Bref, tais-toi !

Il fait noir, c'est un point non discutable. Enfin mieux vaut pas essayer. Et il fait chaud, je suis trempé aussi. Pourquoi est-ce que je suis trempé moi ? Je me souviens pas de m'être mis la tête à l'envers récemment pourtant, enfin j'ai bien bu deux ou trois bières hier avec ce vieux russe, mais pas autant quand même.

Bon il faudrait que j'ouvre les yeux là, histoire que je me situe au moins. Allez courage, un, deux et …

…

Tu sais que si tu pouvais éviter de faire ce genre de chose ça m'arrangerait.

Mon dieu mais pourquoi j'ai une gueule de bois, et quel est le con qui a eu la mauvaise idée de peindre une pièce entière en blanc ?!

C'est joyeux, calme, serein, ça agrandit la pièce, ça …

Me fait douloureusement souffrir.

Ouais, moi aussi.

Euh...oui, je pense que c'est rassurant que tu ressente les mêmes choses que moi.

-Aïe !

Excellent le bond, je pensais pas qu'il était possible de se décoller de plusieurs centimètres rien que par contraction musculaires.

-Fais un peu attention Ron, tu va réveiller tout le château !

A défaut du château ça m'a réveillé moi.

Attends...un château ?

Ouais faut croire.

Un château, le gros bâtiment fait de pierre et de bois ?

Ouais avec de la merde entre chaque morceau pour que tout tienne ensemble.

Sérieux ?

Mais non. Enfin j'en sais rien moi, c'était peut être une technique de l'époque.

Suis-je le seul à être perturbé par le fait qu'on soit dans un château ?

Vu que tu squatte ma tête à mes dépends, peut-on vraiment considérer que tu es quelque chose à part entière ?

Tu me vexe là immonde limace !

Tais toi deux secondes et laisse moi espionner !

À vos ordre monsieur Bond.

-Bon tu va te décider Ron ?

-Mais puisque je te dis que je ne veux pas y aller, en plus il t'apprécie beaucoup plus que moi en ce moment.

-Si tu n'avais pas été aussi immature par rapport à ce tournoi on en serait pas là.

-J'y peut rien, j'étais persuadé qu'il avait triché...

Un tournoi ? Trop bien, ça me manque tout ça, les joutes équestres, les combats à l'épée, les décapitations. Pourquoi on à fait arrêter les tournois ? C'était bien les tournois, les gens s'amusaient, ça faisait une petite sortie en famille.

-Bon je suppose que je vais être obligée d'y aller.

-Oublie pas Ginny, s'il est réveillé il sera sûrement dans le flou, profites en.

-Je sais très bien Ron, n'essaies pas de m'apprendre quoi faire !

Oh les vilains petits canards qui veulent profiter de la faiblesse d'un infirme, tiens pour la peine un petit sortilège de bannissement sur la double porte. S'ils sont doués ils en ont pour une vingtaine de minutes.

Tiens, des hurlements ? Je me serais planté de sortilège ? Pas mon style ça pourtant...

Non à peine.

De retour toi, finis de faire la gueule ?

Ouais, je trouvais le moment trop intéressant pour ne pas participer.

Bah voyons, pourquoi ça ne m'étonne pas.

En dehors de ton vil sarcasme, je te ferais remarquer que tu viens t'utiliser une malédiction, et non un sortilège.

Ah ouais...pas faux, ils se ressemblent tous tellement en même temps.

Bien sur, un sortilège pour maintenir une porte close et une malédiction qui brise un par un les os de la personne qui y touche c'est tellement similaire qu'on ne peut que les confondre.

Je sens comme de la moquerie de ta part.

De la moquerie ? Non, je me rends simplement compte que tu es con comme un palmier.

C'est méchant ça Nerk.

La prochaine fois que tu m'appelle comme ça je te mange.

Je me demande de quelle manière tu t'y prendrais étant donné que tu n'as pas de corps propre, donc pas de bouche.

-A l'aide ! Que quelqu'un vienne nous aider ! Ginny reste avec moi, Ginny !

Mais qu'ils sont bruyant ces vermisseaux, je devrais améliorer cette malédiction pour l'accompagner d'un charme de silence.

À ton avis...

Oui Nerk ?

La troisième personne dont parlaient les deux morveux que tu viens de condamner.

Ils sont pas encore morts.

Questions de minutes.

Ouais, pas faux.

Bref, le numéro trois, tu crois que c'est lui ?

Je sais pas, il à pas l'air super en point quand même.

Ils ont parlé d'un peut très bien y avoir participé et avoir perdu.

Ouais, mais alors là il a vachement bien perdu hein.

Pourquoi donc ?

Parce qu'il est mort.

Il est mort ?!

Non non, je dis ça parce que je sais pas quoi te donner comme diagnostic. Crétin.

Je te trouve méchant, on est quand même devant un mort.

Techniquement parlant on est plus devant une table de chevet là.

Tu me gonfle.

Et voilà que la moitié de ma cervelle se prend pour un ballon.

C'est bien les ballons.

Ça crève les ballons.

Ils en font du bruit dehors. Oh et accessoirement il a une sacré puissance celui qui s'acharne contre mon sort.

Faudrait qu'on se cache.

Y a pas de buissons autour de nous.

On peut se cacher ailleurs que dans un buisson.

Ah bon ?

Oh il commence les incantations en latin, les portes vont plus tenir très longtemps à ce rythme. Bon et bien désolé petit, mais là faut que je sauve mon cul, alors je te pique le peu de souvenirs que ta carcasse traîne encore et je t'expédie loin d'ici.

Ah la porte viens de lâcher. Et le mur est partit avec aussi. Et une partie du plafond.

Pile poil dans les temps, le charme de dissimulation devrait suffire pour l'instant. Ils peuvent fouiller la salle où ils veulent, ils ne trouveront aucune trace de moi.

Heureusement qu'on à appris à empêcher toute émanation de notre magie.

Ça aurait été gênant sinon.

Tu aurais été obligé de tuer tout le monde.

Tu emploies les pronoms que tu veux quand tu veux toi hein.

Que veux-tu, je n'ai pas de corps propre je ne peux donc pas t'aider.

Rancunier en plus.

Bon, il a fini le père noël de balancer des sorts dans tous les sens, il va finir par nous faire tomber le toit sur la gueule.

Oh je le connais le vieux, c'est Dumby.

Oh, on est à Poudlard.

Trop bien.

J'aurais pas pu tomber sur pire.

Hum...si, tu peux tomber sur une situation pire.

Ah ? Et en quoi s'il te plaît ?

Tu pourrais avoir pris la place, l'apparence et les souvenirs du jeune Harry Potter, sauveur du monde sorcier et garçon-qui-a-survécu. Bien que ce dernier titre soit à revoir.

La merde...

Voilà voilà, j'espère que ça vous a plu, n'hésitez pas à commenter, en bien comme en mal je prends tout moi.

A la prochaine !