Bien-sûr, tout ces personnages appartiennent à J.K Rowling, et lorsqu'un entre en jeu, et que ce n'est pas le cas, je préviendrais.

Cette histoire contiendra des scènes homosexuelles, donc homophobes, et autre rageux, partez lire ailleurs.


C'est Harry Potter.

Je regardais ma chouette, se mouvait sur mes genoux, pour trouver une bonne position. Que devait penser ce tout petit corps, de moi? J'étais pitoyable. J'avais fui. Sa faisait près de trois mois, peut-être 4, que j'avais vaincu la pourriture la plus détester du monde magique. Et j'avais fui, ce château trop grand, ces tours trop hautes, ces murs trop massifs. Chaque pierre puaient la mort, et la perte. J'avais causé trop de dégâts. Même si les gens me rabâchaient que sans moi, la situation aurait était perdue, heureusement que j'avais était là, et bla bla bla. Connerie. Je n'ai pas perdu la situation, mais j'ai perdu des amis, une famille. Il espérait sincèrement que j'allais me réjouir de la mort d'un seul individus pour me consoler de toutes les autres ? C'était leur consolation, mais pas la mienne. En réalité, je n'en avais pas trouvé. J'avais essayé les filles, les garçons. Aucun des deux n'avait réussi à m'rendre une once d'espoir pour "un plus beau matin". Mais rien n'y faisait. Je luttais, pour ne pas faire comme les jeunes de mon âge, en Angleterre, qui passait leur temps dans les pubs à ingurgité des tas de subtances dont, pour la moitié, je ne connaissais pas l'origine. Ah, ça, j'étais balèse pour tout ce qui était de combattre l'homme le plus cruel de la planète, mais pour ce qui est d'avaler, ne serait-ce la moitié d'une bouteille de Tequila, je devais la pire des mauviettes. Soudain, l'idée, vint, comme une évidence. Une évidence plus que belle, et séduisante :

Revenir à Poudlard. Ce réeinscrire pour une nouvelle, et dernière année. Reprendre une vie normal, dans ce collège devenu banale. C'est vrai. Les années, pour moi, avaient était rythmée par les catastrophes. Cette année allait faire enfin faire exception à la règle. N'est-ce pas ?

C'est le narrateur.

Moins d'une semaine après, Harry avait quitté sa location moldue, pour le Poudlard Express. Les premières années le regardaient avec effarement. Déjà, il était plus grand qu'il ne le pensait. Harry avait laisser pousser sa barbe, pour affirmer sa toute fraîche majorité, du moins c'est ce qu'affirmait la Gazette Sorcier, et Rita Sketter. Il avait pris de la carrure, et était devenu un très beau jeune homme. Après une heure, il foulait déjà le sol de Poudlard, et rejoignit la Grande Salle. Il se fraya un chemin parmi les filles de deuxièmes qui beuglaient leur fierté, et les dernières années qui frimaient. Mes deux bras tout fin, et qui sentait la rose, et la cannelle, ne tarda pas à entourer ces larges épaules.

"HARRY, s'exclama une jeune fille."

Harry se retourna, et reconnu son amie Hermione. Elle était plus belle, et rayonnante encore, que les autres années. Ses cheveux bouclés tombaient sur ses épaules, et encadrés son joli visage tendre et fin. Harry pencha son visage vers le front de sa camarade, et en embrassa le front, tout en murmurant.

"Hermione. Tu es jolie comme un coeur."

McGanagall frappa fort dans ses mains, et demanda à l'ensemble des élèves de s'asseoir. Après la mort de Dumbledore, c'est elle qui avait pris les reines du collège. Après une bonne heure, le temps que les élèves sois répartie dans les différentes maisons, la cérémonie fût terminée. Harry retourna dans les dortoirs avec son amie, et se rendit compte, au moment de l'abandonner au seuil du dortoir des filles, qui lui manquait quelque chose pour aller au dortoir des garçons.

"Hey, mais.. commença, Harry, peu sûr de lui, où est Ron, Hermione..?"

Le visage d'Hermione s'assombrit. Sayez, il allait falloir en parler. Comment allait-elle annonçait à son ami, que son fidèle compère, n'avait pas supporter qu'Harry partent sans explications, sans un soupire, sans un au revoir, sans un merde? Qu'il s'était exilée dans le nord du Pays-de-Galles, et qu'il l'avait quittée, avec l'explication la plus stupides qu'elle est pu entendre : Je ne suis pas assez bien pour toi.

"Ecoute, Harry. Ron est parti. Il n'a.. Enfin, ça était douloureux de voir son meilleur ami partir. Surtout au moment où il a eu besoin de soutien. Je n'essaie pas de te culpabiliser, ni rien, mais.. Harry, il venait de perdre Fred.. Il habite à SnowDown, et on est plus ensemble."

Elle lança un regard désolé à son ami.

"Bonne nuit, lança-t-elle attivement."

Puis, elle disparue, dans son dortoir. Harry en restait bouche bée, et s'insultât de tous les noms, à voix basse. Comment avait-il pu abandonner Ron, alors qu'il avait toujours était là? Comment avait-il pû faire passer son bonheur personnel, avant celui de son meilleur ami? Il avait détruit son amitié, et le couple de ces amis. Il tapa son front, contre la pierre blanchâtre du mur en face de lui, et se dirigea vers le parc centrale du château. Il s'allongea sur un banc, et regarda les étoiles, un long moment. Puis, une voix, le tira facilement de sa torpeur.

"Potter? Alors ça, c'est la meilleure. Je sors pour avoir la paix, et j'tombe sur mon balafrée préfèrer. Dis, tu vas encore me pompé l'air?"

Harry se redressa et reconnu la touffe blonde la plus célèbre de Poudlard : Drago Malfoy, dont il avait oublier l'existence. Pourquoi McGanagall avait-elle autorisé la réinscription de cette vipère? Malgrè tout ça, il n'avait plus le coeur à être méchant contre ce garçon, qui, malgrès son timbre agressif, avait le visage détaché, fatigué. Il ressemblait plus à un homme marqué par la tristesse et la culpabilité, qu'à un adolescent. Il avait pris de la carrure, ses épaules étaient plus larges, son buste plus imposant. Les Moldus aurait dit qu'il "en jetait".

"Malfoy.. comment vont les affaires?"

Pour Malfoy, les affaires allaient mal. Sa mère, était morte. Suite à une dépression nerveuse. Trop d'excès, trop d'efforts, trop de soumission, pour elle, lui avait été fatal. Lucius, lui, pourrissait -au sens propre du terme- à Azkaban, suite au jugement sévère mais merité du Ministère de la Magie, face aux Mangemorts. Il avait trouvé refuge à Poudlard. Il se méfiait de tout, et ne savait pas vivre sans les obligations de son père. Il ne pouvait pas vivre sans qu'on lui impose une personnalité. Il devait face maintenant à la sienne : c'est-à -dire un garçon timide, introvertie, méfiant, même envers ses amis qui baisaientt son nom de famille du bords des lèvres.

"Ecoute, Potter. On va pas commencer à s'faire des nattes. Et j'suis pas là pour chialer sur ton épaule."

Harry soupira, et haussa les épaules. Drago s'assit à côté de lui, et passa une main dans ces beaux cheveux blonds. Harry pensa, à la vue de ceux-ci que les Anglais n'en avait pas de si beaux, puis reprit le court normal, et souhaité de ses pensées. Harry croisa ses bras derrière sa nuque, et observa une nouvelle fois le ciel étoilé.

"J'crois qu'on est rien sans notre merde, pas vrai, mon vieux?"

Il jetta un coup d'oeil à son "rival" qui ne deigna même pas un regard. Puis une silhouette fine, et petite, apparu dans l'encadrement du seuil du jardin. Harry reconnu immédiatement cette voix haute perché, et cette tignasse brune.

"Drago? Qu'es que tu fiches avec cet enfoiré ? Viens ici, immédiatement."


Voilà, voilà. J'avais écris un premier jet, que j'avais mis en ligne, mais comme il n'y avait pas de review et que j'en étais pas très fière, j'ai décidé de le réecrir, et je suis plus fière de celui-là. J'espère qu'il vous à plu? Alors, pour qui est-ce, cette tignasse brune? Qu'es qu'Harry va faire vis à vis de Ron? Comment aimer vous sa personnalité? Je devrais publier la suite, assez rapidement. Si vous voyez des fautes d'orthographe, parce qu'ils doient en avoir, j'en suis navrès, sachez que j'ai fais un effort ! :) (PS : j'ai un coeur fragile. Doucement, pour les commentaires...)

Tendrement, Carta.