Note de l'auteur :
Je tiens à préciser que aucun de ces personnages ne m'appartiens. Tolkien en possède la majorité et les autres sont de amandalynwood, le véritable auteur de cette fiction. Je n'en fais que la traduction, du moins j'essaye. Les traductions ne sont pas simple et traduire mot à mot ne veux parfois, strictement rien dire en notre belle langue de Molière, donc certain passage seront remanier voir supprimer afin de vous permettre de savourer pleinement cette aventure.
Merci à amandalynwood pour l'avoir créée.
Bonne lecture.
~ ONE ~
Eomer et ses hommes galopaient dans les plaines du Rohan. En exil depuis que Grima, Langue de Serpent avait jeté une sorte de mauvais sort sur son oncle, le roi Théoden. Il avait été jeté de force hors de la salle d'Or d'Edoras, et à chaque instant, il craignait pour la sécurité d'Eowyn, sa soeur, sans personne pour la protéger.
Son oncle ne lui avait fournir aucune protection à part un pauvre clignement de paupières et les désirs pervers qu'il avait vu dans les yeux de Grima, lui fit deviner qu'il convoitait sa douce sœur. Son cousin Théodred était mort et bien qu'il ne pouvait pas le prouver, il savait au fond de son cœur que Langue de serpent en portait la responsabilité majeure pour la destruction de la famille qu'il aimait.
Ils traversaient un tronçon particulièrement large de la plaine et ils pouvaient voir des kilomètres dans toutes les directions. C'est alors qu'Eomer vit de la fumée qui monte dans le lointain. Quelque part sur ses plaines si cher à son cœur, il y avait un problème. Poussant un cri à ses hommes, qui le suivait sans relâche, eux aussi en exil pour être fidèles au Rohan, ils chargèrent pour atteindre la fumée ... ..
Le village était en feu et elle pouvait entendre les cris des villageois que les hommes sauvages, perverti et sous le contrôle Saroumane, massacrèrent, d'un village à l'autre. Cette fois, c'était le sien, laissant les villageois pacifiques morts oumourants. Les survivants seraient sans abri et affamés, alors qu'ils fuyaient pour se réfugier ailleurs.
Erienne, elle-même, venait à peine échappé à la mort et à regardé avec horreur sa propre famille être tué devant ses yeux. Un des sauvages la vit et s'apprêta à frapper un coup mortel de sa massue quand un autre l'arrêta. Au lieu de la tuer, il l'ont ligotée, ses poignets attachés dans le dos, lui promettant qu'elle serait tuée comme les autres, mais avant ils avaient d'autres utilisations pour elle. Les yeux de l'homme chargé de malveillances et de convoitise voyagèrent le long de son corps fin.
La main rude et brutale agrippèrent violemment l'un de ses seins lui faisant pousser un cri de douleur. Son agresseur prenait du plaisir à l'entendre gémir et à atteint son autre sein pour le soumettre au même traitement. La famille d'Erienne était peu être morte mais pas sa volonté de vivre, pas plus que son esprit. Elle avait trop peur et trop en colère pour laisser sa douleur prendre le dessus. Déterminé à ne pas se laisser faire, passivement, elle se débattit et lui cracha au visage.
Elle aurait dû voir le coup venir. Sa main de l'homme a frappé son visage et l'a envoyé valser un mètre plus loin. Les mains liées dans le dos, elle a été incapable d'amortir sa chute et elle tomba lourdement sur le sol dur. Les hommes debout près d'eux se mirent à rire de la voir se débattre inutilement. Du sang coulait de son nez et de sa lèvres inférieur.
Mais elle refuse de pleurer. Il la remis brutalement debout.
"Tu veux plus que cela sorcière?"
Elle a répondu par le silence. Il saisit une poignée de ses cheveux et tira sa tête en arrière l'obligeant à répondre à son regard.
"Je t'ai posé une question."
Elle le dévisagea et ne dit pas un mot, ce qui le mit encore plus en colère, outre sa soif de violence sur elle, il voulait plus que tout rompre son esprit. Mais il s'est dit qu'il pouvait accomplir les deux en même temps et ensuite il la tuerait après et regarderait son sang couler hors de son corps. Se déplaçant derrière elle, ses mains saisit le tissu de sa robe et a donné un bon coup sec. Le bruit de déchirement du tissu s'entendit distinctement. Il remonte ses mains à l'avant et tira un peu plus sur le vêtement déchiré découvrant ses seins à tous.
Erienne se débattit autant qu'elle le pouvait mais elle ne pouvait pas empêcher les mains de ce porc toucher sa poitrine. Un autre homme passa derrière elle et lui mordit le dos et les épaules, laissant des traces de dents jusqu'au sang. Et un autre réclama sa bouche, forçant sa langue à travers ses lèvres, l'étouffant quasiment. Elle lui mordit la langue, et sentit le goût métallique du sang dans sa bouche, obligeant l'homme à s'éloigné d'elle. Elle a été poussé d'avant en arrière la rendant sonné et déboussollé, tel un jeu rude et cruel. Puis un autre et encore un autre jusqu'au moment où elle sentit l'un d'eux attrapa sa jupe, fit son chemin en poussant d'un coup de main entre ses cuisses. Elle a atteint le point où elle ne pensait plus pouvoir leur échapper quand ses agresseurs entendirent le bruit de sabots battant ....
En entendant le cri de bataille des Rohirrim, ses agresseurs l'ont poussé loin d'eux et s'enfuir. Paniqué de se battre contre les soldats à cheval. Erienne été affaiblie par leur assaut et n'avait plus aucun sens de l'équilibre. Elle est tombée, humiliés et à moitié nus sur le sol ....
Eomer réprima ses larmes quand il a vu les nombreux cadavres éparpillés dans le village. La fureur s'empara de lui lorsqu'il vit les innocente victimes massacrées, des femmes, des bébés et petits enfants. Tant de morts. Sa haine pour Saroumane a augmenté encore plus.
Il était sur le point de tourner le dos et laisser le nettoyage à ses hommes quand il a repéra un mouvement du coin de l'œil. Un aperçu de tissu blanc se déplaçant à la lisière du village. Il pouvait dire que c'était une femme. Il tourna son cheval, fit son chemin à l'endroit où elle était. Alors qu'il se rapprochait, il jura entre ses dents.
Qu'avaient-ils fait?
Ses vêtements étaient en lambeaux, les seins nus et les mains attachées derrière elle. Il lui fallu peu de temps pour imaginer les intentions des hommes sauvages, fatales intentions. Elle ne semblait pas être sérieusement blessé, mais elle a certainement fait l'objet d'abus considérables. Il ne pouvait que prier à ce moment qu'elle n'avait pas été violée.
Elle était jeune, du même age qu'Eowyn et ses cheveux étaient de la couleur du blé réchauffé par le soleil. Et il ne put s'empêcher de penser à comment il se sentirait si cela avait été Eowyn à la place, de la façon dont elle se sentirait, d'être exposés aux regards des hommes, sans aucun choix. Avec sa sœur bien-aimée dans l'esprit, Eomer mis pied à terre, retirant son casque et le jetant au sol. Il s'empara d'une couverture de son sac et s'approcha d'elle ...
Erienne ne savais pas quoi penser, quand les hommes sauvages ont fui, la laissant son étendu sur le sol. Elle n'entendit presque pas les bruits des sabots et des cris de guerre. Elle ne repris réelement ses esprits que lorsqu'elle sentit la présence de Eomer et de sa couverture, la cachant des regards de ses hommes arrivés près d'eux
Elle a été si surprise, pensant que les sauvages été revenus pour terminer ce qu'il avait commencés, elle se mit à crier de terreur, ne sachant plus qui été qui. Comprenant sa frayeur,Eomer lui parla d'un ton calme et rassurant.
«Chut, mon petit, je ne vais pas te blesser. Permet-moi de t'aider. "
Elle leva les yeux vers son visage. Il a été absolument magnifique. Erienne se retrouva à fixer les yeux noir intense mais vide de toute malice et remplis d'inquiétude authentique. Il avait des cheveux d'or qui tombés bien au-delà ses épaules et elle le reconnaissait. Il était le prince Eomer de la Salle d'Or. Elle se souvint de sa visite d'Edoras quelques mois plus tôt, de lui et du prince Théodred. Les Rohirrim ont été bien respectueux envers son village. Sa peur de cet homme disparu.
Eomer regardé son visage, le changement subtil dans ses yeux et il pouvait dire qu'elle n'avait plus peur de lui. Il s'agenouilla à côté d'elle, en tirant pour la faire asseoir à ces côtés et sans la regarder, il a glissé une main sous la couverture. Il délia les sangles de cuir qui maintenait ses poignets. Il glissa sa lame de couteau les coupant net.
Muscles Erienne ont crié à l'agonie lorsqu'elle a bougé ses bras libres. Elle remis la couverture plus solidement sur ses épaules. Elle leva les yeux vers lui et lui dit.
"Merci."
Puis elle a détourné le regard, humilié et honteuse, d'avoir été trouvé dans cet état.
Eomer se rapprocha d'elle et lui saisi le menton, la forçant à rencontrer son regard.
"Ce n'est pas de t'a faute, dit-il doucement. Tu n'a rien fait de mal."
Erienne regarda autour d'elle, regardant de ce qu'il restait de son village, le seul foyer qu'elle ait jamais connu. C'était fini, au coucher du soleil, il n'y aurait plus rien. que des cendres. Sa famille en faisait partis, ses parents et ses frères. Elle regarda autour pour voir si quelqu'un d'autre avait survécu. Mais elle était seule et sans ressources. Qu'était-elle censée faire maintenant ? Où était-elle supposée aller?
Elle a retenu ses larmes aussi longtemps qu'elle le pouvait. Mais elles ont commencé à tomber contre sa volonté. Et Eomer fit ce que son instinct lui dictait. Il l'a tira dans ses bras et la soutenant simplement, pendant qu'elle criait sa douleur.
Ses cris a attiré l'attention de certains de ses hommes et certains d'entre eux se sont déplacée dans leur direction. Avec une simple secousse de sa tête, il les écarta, laissant la jeune femme faire son deuil en paix. Elle s'accrochait à lui, son corps convulsait contre sa large poitrine parce qu'elle pleurait si fort.
Eomer se déplaça pour une position plus confortable, mais a continué à la tenir simplement. Sa main lui caressant doucement le dos et peu à peu, ses sanglots se sont calmée et elle s'est détendue contre lui. Les mains solidement accrochées sur ses manches, elle a dérivé au large, épuisée, dans le sommeil. Erienne n'ai jamais vu les larmes versé par Eomer, car lui aussi, été désolé pour sa perte. La perte des siens.
