Bonjour, voici le 1er OS que je poste sur Harry Potter sur il est aussi sur mon blog : MaryLupinWeasley. Je reprends des cours de Français, et c'est la première fois que j'ose publier des lemons sur les sites. Donc voilà, je n'oblige personne à lire. Sur ceux, bonne lecture..J'écris, avant tout pour le plaisir...Bye..Les commentaires guests sans noms ne seront pas acceptées...Les os qui seront publier seront des pré-quels sur ma fanfiction que je suis entrain d'écrire...

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Genre : Lemon, famille, OC, amitié _

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—Tout commence chez les Weasley, ou je me trouve actuellement. Les parents ne sont pas là, et il n'y a que les enfants Weasley dans le terrier. Evidemment, les aînées sont là : Charlie, Bill et Percy pour gérer les bêtises de George et de Fred, les jumeaux inséparables. Quand à moi, je suis Mary Lupin et je passe mes vacances chez eux depuis que Luna est malade. Je partage ma chambre avec Ginny, et Hermione Granger, la Miss-je-sais-tout. Je connais cette famille depuis ma 1er année à l'école des sorciers. Je l'ai adore tous. Sept beaux garçons à la maison et deux filles d'extérieurs, il y a de quoi être tourmenté. En plus, il fait presque 31° à l'extérieur et 25° à l'intérieur du terrier.

C'est le matin, et je suis la première à me lever dans la maison. Je marche sur la pointe des pieds car, le parquet grince beaucoup chez eux et je me faufile dans le couloir. Lorsque je fais volte-face ma tête tombe sur le torse de Charlie Weasley, et je rougis. Ces Weasley me font perdre la tête, si ça continue comme ça. Je n'ose pas le regarder droit dans les yeux, et il se marre :

Mary, ne rougit pas comme ça. Voyons…

—-Tu aurais pu mettre un t-shirt, tu es l'aîné, Charlie….Dis-je, en cachant ma voix nouée.

—Je le sais, mais j'aime te voir en bourrique...Les jumeaux ont eu raison. Tu es drôle comme eux.

—C'est Fred qui t'a dit ça ? Pestais-je, dès le matin, ceux-là, je te jure que...

—Non, je l'ai deviné...Tout seul. Tu devrais t'habiller avant que mes frères ne sautent sur toi...Me dit, Charlie.

—Oui, c'est ce que compte faire après le petit déjeuner, Charlie. Dis-je, en me tenant à distance.

—En tous cas, tu es mignonne comme sorcière, sans tes habits longs. Me complimente-t-il, en s'approchant.

Là, Charlie me caresse ma longue mèche de cheveux de couleur brun comme mon père, le professeur R.J Lupin. Mais, je me détourne mon regard pendant qu'il embrasse mon front dégarnie. J'ai des frissons qui parcourent mon corps, mais il est un peu trop vieux pour moi. En effet. Je me dégage de ses bras du grand roux, et j'ai comme un léger coup de chaud. Il me sourit une dernière fois, et me laisse passer devant les escaliers en bois de saule. Charlie est derrière moi, et je marche doucement sur les marches étroites de la maison des Weasley. Cela va faire trois semaines que je dors ici, car Luna est gravement malade à cause d'une vilaine morsure par une bestiole de plante. Je ne pouffe pas de rire, car les jumeaux sont déjà en bas.

Je n'ai pas apprécier leurs coups d'hier soir sur le jeu " action" ou "vérité". Je secoue ma tête, et George me lance un sourire charmeur, et amusé devant moi. Je ne lui réponds pas. En bas, je me dirige vers la table de la salle à manger puis je remarque quelques chaises vides autour de la tablette. Je cherche des yeux, Bill, Percy et Ronald Weasley. Ils ne sont pas là. A ce que je vois, et la voix de Fred me tire brutalement de mes pensées :

—Tu cherches qui des yeux comme ça ? Mary ? Me demande, Freddie en souriant.

—Moi ? Personne...Je ne cherche personne Fred. Mentis-je, en roulant des yeux.

Bon...jour...Me dit George, en me faisant un clin d'oeil. Tu m'as l'air d'être de mauvaise humeur ?

—Je ne suis pas de mauvaise humeur George, Percy se lève tôt en générale ? Non ?

—Va le réveiller, il doit s'occuper de son truc, ce matin. Me balance, Charlie.

—Tu es fou, si je réveille Percy comme ça, sans raison..Je vais me faire crier dessus…

—Percy est le plus ronchon de la famille, me lance Charlie, et te voir dans cette tenue, va le rendre docile.

—Pas question, dis-je, en m'énervant sous les yeux de George.

—Tu oublies, que c'est ton gage, d'hier soir, Lupin(e). Me rappelle Fred, d'un air amusé.

Je roule des yeux, et j'accepte le jeu :

—Bon, ok..Mais, c'est le dernier gage de l'été. C'est clair ? Dis-je, en haussant les épaules.

—Pas de problème, me disent les jumeaux en chœur.

Je m'en vais, et je laisse les trois garçons entre eux. Et si, ce n'est qu'un jeu pour voir si je craque la première parmi eux ? Nan, mais franchement. Qu'elle idée d'avoir jouer avec le pire des jumeaux : Fred Weasley. Il est à peine huit heures du matin, et Percy n'aime pas se lever tôt durant ces vacances scolaires. La porte de Percy est légèrement entre-ouverte, et j'entre dans sa chambre sans faire de bruit. Je vois ce garçon aux cheveux bouclés qui ne ressemble pas vraiment à ses frères, et je m'approche de lui. Doucement. Tout doucement. Je m'approche de Percy Weasley, et je lui donne quelques tapes sur ses joues pâles. Soudain, il ouvre ses yeux et m'attrape durement mon bras qui se trouve au plus près de lui, et je hurle de surprise. Sa baguette se trouve sous mon menton, et je me sens vraiment mal là. Son regard est aussi froid que de la glace, et j'avale difficilement ma salive à l'intérieur de ma gorge. Percy, le préfet en chef de la famille Weasley, soupire puis rangé sa baguette sous son oreiller blanc. Puis, il m'adresse la parole avec une voix presque hautaine :

—J'ai jeté un sort de son pour pas qu'on entend quoi que ce soit dans ma chambre. Me dit-il, d'un air sournois.

—J'ai compris, je n'aurais jamais dû venir te réveiller, à cause de ce jeu débile avec tes frangins….Dis-je, tu me lâches ?

—Ce sont les jumeaux qui m'envoient me réveiller ? C'est ça ? Je vais les tuer...Si, ça continue. Dit-il, près de moi, d'un air furieux.

—C'est possible, mais tu peux cacher le reste de ton corps ? S'il te plaît ? Percy ? Tu me fais mal !

—Tu n'as pas qu'à rentrer dans cette tenue ridicule, Mary...Me lance-t-il, froidement.

—Tu es ingrat, je te déteste Percy Weasley ! Lui, balançais-je en pleine face.

—Ne me parle pas sur ce ton, Lupin. Me dit-il, en me projetant vers lui.

Si, on cherche Percy Weasley dès le matin, on le paie de sa vie. Ce dernier s'autorise à m'embrasser en pleine bouche sur le dessus de son lit, et je ferme les yeux. Je ne veux pas qui me touche. Je le déteste ce Weasley. C'est le seul qui me fait souffrir autant des sept autres. Bill, ça passe. Charlie, le dresseur de dragon est sincère, lui : c'est le diable, entre tous. Le préfet-en-chef a osé de mettre sa langue dans ma bouche fine, et je me crispe devant ce roux odieux. L'une de mes mains se dégage de son emprise, et je le gifle fortement au-dessus de son lit simple. D'un coup, je remets ma bretelle gauche puis, il m'adresse la parole avec froideur :

—Ne revient jamais dans ma chambre, c'est claire ? Lupin ? Ou, je te le fais payer Weasley ou pas...

—Ce sont des menaces ? Venant d'un Weasley, tu n'auras pas le cran. Dis-je, en le fusillant du regard.

—Ne me cherche pas, sang-mêlé...J'étais raisonnable, j'ai vu comment tu regardes George, tu te préserves pour lui.

—Quoi ? Tu te fais des films, Percy ! On est juste ami, c'est tout ! A ce que je sache….

Rudement, je me lève et il me pousse violemment en direction de la sortie. Il ne s'habille pas, et reste dans son lit. J'ai eu beaucoup de chance car, j'ai senti son engin se durcir en dessous de moi. Derrière sa porte, je reprends mes esprits, et je vois qu'il m'a laissé sa marque sur le haut de mon épaule. J'ai envie de pleurer, mais je ne peux pas. Pas devant les Weasley. Hermione sort de la douche avec ses cheveux mouillées et me voit dans cet état-là :

—Tu vas bien Mary ? Me demande, Mione, d'un air inquiète..

—Euh, oui ça va...Je peux me laver ? La salle de bain est libre ? Mione ? Demandais-je, en soufflant.

—Oui, tu peux y aller, miss. Tu es sûre que ça va? Me redemande-t-elle, d'un air intrigué.

—Oui, insistais-je, en souriant.

Hermione n'est pas con. Elle sait que quelque chose ne va pas au fonds de moi depuis que Percy est de retour de ses vacances en même temps que nous. D'habitude, il vit à Londres avec Pénélope. Mais, là il a décidé de me pourrir l'existence depuis les premières semaines d'août. J'ignore comment il a su que je suis attirer par George et non pas Fred Weasley. Pourtant, je n'ai rien dit à personne sauf à Luna, ou Ginny. Cependant, je sais que Ginny me garde le secret envers ses frères, mais pendant combien de temps ? Je suis sortie avec Michael Corner pour le rendre jaloux, mais nada ? Aucune réaction. Bref, je pars sous la douche, car mes habits y sont déjà. Je ferme la porte, et je me dirige vers le lavabo blanc des Weasley. Je me regarde dans le miroir et je me cogne ma main dans levier tellement que je me dégoûte moi-même. Percy me répugne, il me dégoûte tellement que j'ai presque envie de vomir à cause de lui. Je secoue négativement la tête, et je me mords la lèvre. Je fais couler l'eau chaude, et j'enlève mes habits qui se glissent sur le sol en chêne.

De ce fait, je n'entends pas les jumeaux qui se trouvent derrière la porte de la salle de bain, et ils font le signe "chut" avec le majeur, et Fred a sa baguette de sorcier dans sa ma main gauche. Le gage n'a pas fonctionné sur Percy, et George s'en veut un petit peu, car il se perçoit que je n'ai pas le sourire, ce matin dans le verrou de la porte. Ensuite, je remets mes habits d'hier, car ils sont propres, et j'ai juste changé mes sous-vêtements pour la journée. Je remets le savon à sa place, et je vois que mon haut n'est pas de la même couleur. Est-ce une farce des jumeaux ?! Si, c'est le cas...Je vais sortir ma baguette de crin de licorne de 23 cm, et je vais jeter des sorts marrants sur eux. Néanmoins, j'espère que mon rêve érotique n'a aucun rapport avec leurs nouveaux produits sinon je les étrangle.

Je mets mes chaussures qui sont vernis depuis hier soir, et je me dirige vers la sortie. J'ouvre, puis je tombe sur les jumeaux qui se chuchotent entre eux et me fixent droit dans les yeux. Je grimace, et ils ne me laissent pas passer. Je bouillonne à l'intérieur de ma chaire, et ma patience a des limites :

—Tu ne trouves pas qu'elle est plus belle qu'Hermione en sous-vêtements ? Dit, Fred.

—Hum, possible Fred, mais tu oublies qu'elle est en couple avec ce crétin de Corner. terminent-t-ils, en chœur.

—Je sors uniquement avec lui pour te rendre jaloux, George. Mais, tu n'as rien vu, espèce de crétin !

—Tu n'as pas de sensation étrange depuis le réveil ? Mary ? Me demandent-ils, en même temps.

Je cache ma poitrine avec l'aide de mes bras, et Fred me colle contre le mur, et je suis bloqué contre une poutre et eux. Fred joue avec ma chevelure, et George fait glisser sa baguette sur mon haut, et voit que je résiste. L'autre jumeau, me cache afin que personne ne me voit, et George s'amuse avec mes nerfs. Je suis petite de taille, comme Hermione, et face aux deux : je n'en ai pas la force...Ma main se pose soudainement sur le bord de la poutre, et je me mords la lèvre :

—Tu aimes ça ? Pas vrai ?! Dit, Fred, on t'a vu totalement nue….Ca nous amuse, tu vois...Dit, George.

—Vous n'avez pas le droit, dis-je, essoufflée par leurs gestes, je...

—On va aller dans nos chambres, tu viens Fred ?! Propose George, en me tenant la nuque.

—Je vais m'amuser avec Hermione, aussi. Je vous rejoins plus tard. Dit-il, en enlevant sa main sous mon ventre.

Mon haut est déjà presque enlever par les mains de Freddie Weasley, et George, me prends de force avec lui dans sa chambre. Ronald est Harry ne sont pas là...Ils s'amusent dehors avec un sport Anglais. George ne me partage pas avec Fred ? Ce sont des jumeaux inséparables pourtant. En tous cas, il m'enferme dans sa chambre et jette un sort de "Sonorus" afin qu'on ne nous entend pas. Mon dos se colle contre sa porte de chambre, et je retiens mon souffle devant ses yeux magnifiques qui ne quittent pas les miens :

—Tu crois que je n'ai pas vu ton jeu avec Michael ? Je déprimais quand je te voyais avec lui !

—Et toi ? Avec Angélina ? Tu crois que j'ai eu mal ? Nous sommes le début des vacances, et je...

—J'ai vu comment tu m'as regardé, hier soir. Tu me désirais, Mary. Mais, tu as été sur les jambes de Charlie !

—Fallait te proposer, on a rien fait..Bill a juste regarder ma poitrine et celle d'Hermione, Ron n'a rien vu….

—Tu m'as cherché, tu m'as trouvé, Lupin. Tant pis, pour Corner...

—Il m'a plaquée juste avant les vacances, donc tu...Qu'est-ce que tu fais ?! Dis-je, en croisant mes jambes.

—Je te veux, Mary. Je veux que tu m'appartiens, et à personne d'autres, y compris mes frères….

—Ne fait pas ça, George...Je t'ai toujours admiré et je...Soufflais-je, pendant qu'il joue avec sa langue sur mon cou.

J'agrippe les cheveux du roux qui se trouve en face de moi, et on se bécote dans la chambre de ses frères. Nos langues se touchent, se mélangent, se jouent ensemble, mais je n'ai pas l'habitude de faire ça. Quand j'ai été avec Michael, on s'est s'embrasser mais c'est tout. On a rien fait de sexuelle, mais il m'a jeté lorsqu'il apprit que j'ai été la fille du professeur Lupin. Je tremble dans les bras de George, et il retire sa langue de ma bouche, et voit que je change d'altitude :

—Tu ne l'as jamais fait ? Devine-t-il, en voyant mes tremblements.

—Je...Non...Mais, si je parle...Je risque d'avoir des problèmes, George.

—Pourquoi ? Tu me plais beaucoup aussi, Mary. Je m'en fou que ton père sois Lupin.

—Ce n'est pas ça...Mais, je voulais me préserver pour toi...On fait action et vérité, et tu...

—On va juste faire la première leçon, ça te va ? En douceur contrairement à Fred qui brûle les étapes...

—George tu crois que le sort va tenir longtemps ? Demandais-je, d'un air inquiète.

—Oui, le sort s'achève une fois qu'on aura fini...Viens…

Je dis oui de la tête, et je le suis. Je ne suis pas sereine, mais il a eu plus d'expérience que moi dans ce domaine, et même si, Lucius Malefoy me veut, il ira se faire foutre, je ne lui appartiens pas. Physiquement, et moralement. Le serpent ne m'aura jamais dans son filet de pêche. Je préfère crever que de subir ses actes. Soudain, George me tire de mes pensées et me caresse le visage d'un geste doux, et je frissonne :

—A quoi tu penses ? Tu trembles ? Mary...

—A rien, j'ai juste peur des Malefoy, mais je suis ici...Et, je préfère ta présence plutôt qu'eux...

—Dans trois jours, on va au match de Quiddict avec notre père, tu es la bienvenue...Si tu veux...

—Avec plaisir, mais Lucius fait une fixation sur moi, et comme j'aide Drago pour Poudlard, je…

—Il ne t'a pas touché ? J'espère ! me demande George en prenant ma main.

—Non, il ne m'a pas touché, George. Du moins, pas encore...Que fais-tu ?

—Comme je te l'ai dit, on va commencer notre première leçon..Chippie.