Bonjour tout le monde ! Oui, oui, de retour parmi vous, mais sur un nouveau thème qui est Walking Dead. Bon je fais ça pour m'amuser, je ne suis pas un as de l'écriture. Je fais des fautes (et j'ai de correctrice…), et on ne peut pas forcément dire que j'ai la plus belle prose ni la plus grande imagination. Mais ! J'aime bien écrire, quand j'ai le temps, et j'aime bien Walking Dead (ouais en fait je sais pas pourquoi je trouve toujours le temps pour ça). Donc je me suis dit « et bin, si on écrivait un prologue et osef je ne sais absolument pas encore ce que je vais raconter mais bon c'est déjà un bon départ ? ». Dooooonc voilà qui est fait ! Bon j'exagère un peu, j'ai quand même deux, trois pistes et directions, je ne suis pas inconsciente à ce point-là. Mais, on sait jamais dans la vie, tout peut changer alors je ne suis absolument pas fixée. En tout cas, ça sera un Daryl/OC, parce que bon, si y en a bien un qui pète sa race, c'est quand même Daryl. Et un OC, parce que personnellement j'ai toujours aimée rajouter des nouveaux caractères qui donnent un peu de nouveauté aux histoires qu'on connait déjà. Voilà, voilà,voilà. Voici donc le prologue ci-dessous, le premier chapitre est déjà écrit (j'ai l'impression de n'avoir jamais fait ça de ma vie d'ailleurs… Mouaaaah ? Une fille pas organisée ? Si peu…), mais j'aimerai d'abord finir le chapitre 2 avant de le publier. Promis, si ça prend trop de temps je le posterai avant de l'avoir fini. Bon le petit blabla tralala est fini. Je vous souhaite une très bonne lecture mes chers amis/confrères/collègues/lecteurs/inconnus/autres (entourez la bonne réponse, plusieurs réponses sont possibles). Tchou !

Disclaimer : Walking Dead m'appartient totalement, je touche un max de thune d'ailleurs dessus, et je suis un réel génie. Ah bah non en fait. Bien évidemment rien ne m'appartient, mise à part cette petite histoire et les quelques OCs qui vont apparaître (Mady, Connor, Casey, petite dédicace les gars… Comment ça ils ne sont pas réels ?!).

Prologue

Mon Dieu, par pitié, faites que nous survivons.

On ne peut pas dire que je sois du genre croyante. Loin de là. Mais à cet instant précis, j'invoquais tout ce qui était possible et inimaginable pour qu'on ait qu'une infime chance de survie. L'homme en face de moi tenait son revolver et le braquait pile entre mes deux yeux.

Mon Dieu, par pitié, faites que nous survivons.

Je voyais distinctement ses lèvres bouger, son regard haineux qu'il me lançait, je distinguais même les postillons qui s'échappaient de sa bouche lorsqu'il déblatérait ce qui devait être un discours borné sur le fait que la vengeance était tout ce qu'il lui importait et qu'on lui devait notre vie pour que son égo se sente mieux. Mais je n'entendais pas un traître mot. Le seul son qui me venait était le bruit de ma respiration devenu saccadée par la peur.

Mon Dieu, par pitié, faites que nous survivons.

On dit que quand vient l'heure de la mort, on voit toute sa vie défiler devant ses yeux. Je peux vous assurer que non. Ce que je ressentais c'était le dégout de moi-même de nous avoir foutu dans cette merde. Et ce que je ressentais par-dessus tout, c'était cette angoisse lancinante qui me clouait sur place. Pas l'angoisse de mourir, finalement ma vie n'était pas, n'était plus, ce qui était le plus important. Non l'angoisse c'était que LUI meurt. Et par ma faute.

Mon Dieu, par pitié, faites que nous survivons.

Le peu de courage qui me restait me permit de tourner la tête vers ma gauche. Je vis les hommes de mains de l'enfoiré qui me tenait en joug, armés jusqu'aux dents, mais ce n'est pas eux que je voulais voir. Je finis par tomber sur l'objet de ma convoitise. Daryl Dixon. A genoux, une partie du visage couvert de sang, entouré de plusieurs hommes qui le surveillait. On peut dire qu'ils prenaient toutes leurs précautions contre lui. Et ils avaient raison. Mais là, tout le courage et la bravoure de cet homme ne sauverait pas mes fesses et encore moins les siennes. Nous serions morts dans quelques secondes. Et je ne pouvais supporter l'idée qu'il ne s'en sorte pas.

Mon Dieu, par pitié, faites que nous survivons.

Il me regardait aussi. Intensément. Comme il avait l'habitude de faire. Et je sentis cette larme couler sur ma joue droite. Il ne pouvait pas mourir. Je ne veux pas qu'il meurt. On ne peut pas dire qu'il soit du genre causant comme mec, encore moins quand il s'agit de sentiment. Mais à ce moment précis il n'avait pas besoin. Ce regard intense disait tout. Mais je ne pouvais pas partir comme ça, sans lui avoir dit. Au diable blagues, sarcasme, conversations futiles, il fallait que je lui dise, qu'il sache.

-Je t'aime.

Un murmure, tout au plus, mais je savais à ses yeux qu'il avait parfaitement compris. Un léger changement dans le regard, la surprise puis autre chose que je n'arrivais pas à déterminer. Mais il est trop tard pour chercher maintenant. J'entendis, avec cette ouïe sélective du moment, le cliquetis particulier de l'arme qui va bientôt tirer, mais mon regard restait rivait sur cet homme.

Mon Dieu, par pitié, faîtes que Daryl Dixon survive.

Puis ce fut le néant.