Titre: Handicap
Style: Romance/humour
Résumé: C'est une tare, une douleur mais surtout une fascination. L'envie, la jalousie et la haine sont des bourreaux. On ne peut pas s'en débarrasser, on ne peut pas l'oublier ou le dissimuler. On peut survivre... mais vivre? Un joli handicap. HPDM
Fréquence: 1 fois par semaine, peut-être moins mais seulement sur avis.
nombre de chapitre: 17 chapitres et 1 prologue!
Disclamer: ...gna gna gna pas à moi gna gna gna J.K Rowling!
Avertissement: Bon! Maintenant, les enfants, on va jouer à un jeux!!
Quand je dis votre nom ou un truc qui vous qualifie, vous êtes éliminés et vous changé de page internet ok? Bon!
Tous les enfanté? Disqualifié! Pas de chance !
Les personnes trop portées vers les messages haineux? Pas disqualifiés mais s'il vous plait, restez tranquille!
Les homophobes? Foutez le camp!
Il reste donc...des lecteurs!!
Félicitation!
Ceci est ma vrai longue fic que j'ai écrite et j'en suis toute émoustillée! J'annonce donc 17 chapitre sans compter ce prologue!
J'ai toujours penser que dans une fic il y a forcément quelque chapitre moins bien que d'autre ou alors que l'auteur (et auteure) trouve moins satisfaisant...
Alors moi ce sont mes 7 premiers chapitres T.T ... Ils sont chouette mais les autres sont mieux, soyez patient.
Mais surtout lisez!
À oui. Et je remercie ma bêta adoré Mey, qui est tellement gentille et qui écrit magnifiquement bien. Son compte c'est MeyHell. Lisez!
Remerciement aussi à ma super fan qui saute de joie et qui m'a toujours dit: "C'est fantastique!" ou alors "Ark, recommence ça!"
Mine de rien je l'aime bien même si elle a tué tous mes nerfs.
P.S: TOUS LES CHAPITRES DE CETTE FIC SONT DÉJÀ TAPÉS, CORRIGÉS ET PRÊTS À ÊTRE POSTÉ.
NE CRAIGNEZ PAS LE MANQUE D'INSPIRATION DE L'AUTEUR NI LES RETARDS DE TROIS MOIS
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Il faisait sombre dans la chambre sinistre du Serpentard en chef.
Celui-ci lâche un grognement et regarde son cadran magique.
Que Merlin soit maudit! Sept heures du matin et il était toujours incapable de dormir!! Même ses nuits de luxure lui donnaient plus de repos! Quoique….
C'était la douleur qui l'empêchait de dormir.
Oui, vous direz, Draco était habitué à la douleur -que Lucius danse avec Merlin en enfer- mais tout de même, c'est plus dur sur les nerfs quand c'est 24h/24!
Et ce mal étrange lui pourrissait la vie.
Deux minces lignes rouges barraient la peau blême dans son dos à la hauteur des omoplates. Pomfresh semblait incapable de diagnostiquer un mal et donc cette « blessure » n'existait théoriquement pas. Mais le mal du dragon était loin d'être théorique.
Il s'était bien gardé de dire une telle chose à ses amis… ces choses là ne se racontent pas! Donc cela faisait quelque semaine que les lignes rouges marbraient sa peau… et son orgueil avait fini par bouder et il était allé à l'infirmerie.
Résultat : aucune conclusion et un orgueil qui fait la gueule.
Il se leva, pesta contre le plancher froid, enfila quelque chose d'à peu près décent et élégant -tous les Malefoy sont toujours élégant, c'est connu …- et alla se balader dans les couloirs du château, voulant passer sa frustration sur toute les personnes qui auraient eus la TRÈS mauvaise idée de s'aventurer dans ce labyrinthique de couloir, tableaux endormis et escaliers qui n'en font qu'à leurs têtes.
Bien décidé à faire de l'abus de pouvoir ad nauséum, son œil aiguisé scrutait le monde de silence qui l'entourait.
Rien.
Un autre couloir peut-être?
Rien.
Un autre étage ?!
Rien!
Marchant maintenant par automatisme, son dos le démangeant affreusement, il se laissa aller dans ses pensées.
Moment de pensées profondes…qui dérivent…dérivent… OUTCH!
Il venait de se prendre un mur en plein visage, se qui contracta les muscles de son dos, ravivant la douleur.
Quand c'est trop, c'est trop.
Il marcha résolument vers l'infirmerie, bien décidé à secouer cette foutue infirmière jusqu'à ce qu'elle le guérisse, il fallait qu'il dorme au plus vite! Trop de cerne pour un homme, aussi sexy au naturel soit-il, ça ne fait pas…. Les marques violacées ne lui allaient vraiment pas au teint. Le jour, elles étaient masquées par des sorts mais que personne ne les voit ne change rien.
Ça ne fait pas classe, point final et son esprit était trop embrouillé pour toute opération manuelle complexe, comme lacer des chaussures, attraper un vif d'or, secouer une baguette etc.
Il franchit furieusement le seuil de la salle que les élèves préféraient éviter-sauf si examen en vu- et claqua résolument la porte. Pomfresh, sur le pied de guerre à toute heure, s'effondra en bas de la chaise où elle s'était endormie, appuyée sur son bureau.
La tête de l'infirmière émergea de sous le meuble sous le regard furieux du blessé. Elle soupira.
"Je vous ai déjà dit que je ne peux rien faire pour vous, M.Malefoy. J'ai même envoyé votre dossier à St-Mangouste! Vous ne voulez pas laisser dormir les honnêtes gens?"
"Je ne veux pas d'explication, Pompom, mais des solutions!" dit Draco en tapant aristocratiquement du pied.
"Je n'en ai pas!"
"Alors si JE ne dors pas, PERSONNE dans cette infirmerie ne dort!"
Et sur ce, il s'assit sur le bord d'un lit de malade.
Lui et Pompom, les seules et uniques personne se trouvant dans la salle des malades, gardèrent le silence.
"Si vous voulez, je vous donne une potion de sommeil…"
"Grmmlmgrmlmmm…ne marchent pas sur moi…."
"Pourquoi?"
"…grmmmmlmlmemmm…Veela à un dixième…"
"Oh…Un coup de massue?"
"NON!! Vous allez m'abîmer! Et puis c'est bestial! Je vous demande de me faire disparaître un mal de sommeil et de tête -non les potions anti-mal de tête ne marche pas sur moi- et vous proposez de me fracasser le crâne!"
Il se releva brusquement mais un éclair de douleur le foudroya, comme si une langue de feu se propageait dans son corp et il s'effondra dans un cri.
À la seconde d'après, l'infirmière de Poudlard était auprès de lui.
Ce tordant de douleur sur le sol, le jeune homme agrippait les dalles de ses ongles. Criant sous les spasmes que son corps effectuait et les larmes aux yeux, il fit comprendre à la femme où il avait mal.
L'infirmière le soutint pour le mener à un lit où elle l'étendit et ,d'un claquement de doigts, elle le ligota malgré ses protestations.
On reconnaît les vrais professionnels de la santé quand une urgence survient, grâce à leur rapidité.
Étendu sur le ventre, geignant de douleur, le blond regardait désespérément son bourreau pour qu'elle annonce la sentence. Sans qu'il ne sache pourquoi, son dos le torturait plus qu'à l'ordinaire.
C'était comme s'il recevait vingt doloris en même temps.
Il avait l'impression que ses muscles luttaient contre ses os, qui d'ailleurs semblaient se briser en mille morceaux. La douleur s'étirait jusque dans son ventre et bientôt dans son corps entier. Une brûlure intense le foudroyait. Son regard flou vit l'infirmière jeter un sort pour faire disparaître sa chemise et la femme sursauta.
Sur le dos du prince serpent, les deux lignes rouges avec doublées, rougis et enflées, une chose semblait de débattre faiblement sous la peau fragile et blanche.
Dans un petit déchirement, la peau se fendit un peu et du sang coula le long du dos du patient agonisant jusque sur ses flans.
Il se débattait, toujours ligoté, les larmes aux yeux, mais ce fut sa demande à l'aide qui réveilla la doctoresse de sa morbide contemplation. Elle appliqua une compresse sur la blessure et versa rapidement une potion de cicatrisation qui referma la plaie, laissant une rigole rouge glisser sur la peau refermée. Mais la chose qui se débattait perça de nouveaux et Pomfresh pu voir qu'elles étaient deux. Elle lutta ainsi pendant ce qui lui sembla des heures, refermant, compressant, luttant, s'essoufflant. La couche était pleine de sang et le jeune homme de plus en plus pâle et faible.
Des étincelles magiques vinrent attaquer la peau du serpentard, l'ouvrant elle aussi, mais ce dernier ne semblait plus rien sentir.
Partit dans un état semi-comateux, il en oubliait même d'avoir mal -le pauvre-, il avait perdu trop de sang.
À bout de ressource -et de potion-, Pompom prit l'ultime décision.
Un phénomène étrange se produisait dans son patient, et bien d'accord, qu'il se produise, mais d'un coup de baguette elle enclencha un enregistrement magique pour pouvoir étudier tout ça plus tard.
Elle s'éloigna rapidement et vint tenir la main du jeune homme pendant que les « étrangetés» transperçaient les ultimes remparts corporels.
Craquant les os sur leurs passages, libérant des flots de sang, se déployant malgré leur viscosité rougeâtre, elles se montrèrent.
Pompom, en oublia simplement de respirer et Draco était amorphe, ne ressentant plus rien sauf un sentiment libérateur.
Il s'endormit pour la première fois depuis cinq jours (Nda : vive le café et les potions énergisantes) affaibli par la perte de sang et l'émotion.
L'infirmière, elle, veilla silencieusement sur son patient, tirant les rideaux de son lit pour le cacher des curieux. Ce devait rester un secret pour l'instant mais elle devrait en parler bientôt avec le directeur. Les potins vont vites à Poudlard.
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À suivre
