Les chroniques de Konoha... Une vague idée de délires sans fonds xD. En fait c'est une série de petites histoires courtes, plus ou moins drôles ou chaudes (comme la première). En reprenant l'univers du manga Naruto à une sauce aigre-douce, piquante ou juste relevée . Elles se lisent séparément et il n'y a pas d'ajout régulier, ce sont juste des petits moment d eplaisirs à lire et à écrire
/!\ Homophobes passez votre chemin
/!\ Ames pure, empreintez la même voie que les homophobes...
Naruto est sous le copyright de Masashi Kishimoto, mais j'essaie d'acheter les droits xD
Donc la première est en fait une nuit entre Sasuke et Naruto raconté par le premlier à Shikamaru qui s'occupe en fait de distribuer les jours de congés. Au début Sasuke vient le voir et lui en demande une qui lui est refusée alors il argument à sa façon... Okay il est un peu OCC mais bon, vous ne vous en plaindrez pas j'en suis certaine! J'espère que ça vous plaira!
1.Les humeurs de Sasuke et Naruto.
« Alors tu vois, à chaque fois c'est la même chose, je dis non, mais il n'en fait qu'à sa tête !
La dernière fois par exemple, je travaillais, si si je travaillais ! Donc j'écrivais mon rapport, tout à fait calmement, mais il faisait chaud, alors j'ai retiré ma veste, il l'a vu, alors forcément il m'a fixé, moi j'avais compris alors je lui ai lancé le regard qui tue genre « Nan, je travaille, casse toi ! », alors il reprend ce qu'il était entrain de faire... Au bout d'un moment, lassé il s'avance subrepticement et me fais ses yeux de chat derrière mon bureau, je fais semblant de ne pas l'avoir vu, et j'ouvre la fenêtre, parce que j'ai trop chaud, mais que si je retire mon tee-shirt, il va me sauter dessus.
Lui, passablement déçu se met à geindre et à pleurnicher comme il sait si bien faire. Au bout d'un moment, lassé, je l'envois bouler plus loin, là il me lance son regard « Voila, c'est encore sur moi que ça tombe, je suis une pauvre victime de ses humeurs... » Mais c'est lui aussi qui me fait entrer dans ce qu'il appelle mon humeur « Je suis un emo insociable et je ne parlerais à personne alors écartez vous car je suis pas de bonne humeur ». Comme il est enfin sortit, je peux reprendre mon travail, mais bientôt j'entends un grand bruit de toilette, je soupire, il me refait sa crise de « je suis malaaaaaaaaade » comme je ne bouge pas, il est frustré et se met dans un coin face au mur. Comme il n'est pas très patient, il se lève et se dirige dignement avec son air de « j'en ai rien à faire que tu ne veuilles pas de moi, je vais aller me taper ton frère pour la peine, par exemple ».Comme ça m'exaspère je lui jette mon regard de « Vas-y je t'en pris mais remet pas les pieds ici » et il part en claquant la porte.
Enfin je peux enlever mon tee-shirt... Evidement quand le soir tombe il revient, moi je me suis appuyé contre le mur pour relire, et forcément, j'ai oublié de remettre mon tee-shirt, et il me regarde genre « Tu es vraiment un horrible sadique pervers à t'exhiber comme ça devant moi sans rien me donner ». Comme je suis fatigué je lui lance l'habituel « Non, je ne suis pas un pervers sadique mais un simple humain avec des obligations et en plus je suis fatigué... ». Mais lui n'est pas d'accord alors il me lance son regard « Très bien, dans ce cas, on va voir si tu vas me résister » et du coup il entre dans son mode « Je suis une bombe sexuelle en manque » et moi, je ne peux pas m'empêcher de profiter du spectacle de le voir se caresser devant moi, forcément j'imagine que sa main est la mienne. Or sa main se ballade sur son torse sous son tee-shirt orange et le remonte doucement, il s'allonge sur le sol et se tortille, ses muscles abdominaux roulent, parfaits, irrésistibles, mais j'ai du control...
Alors il passe à la phase suivante et retire son tee-shirt, et se lance dans un déhanché outrant, tu vois il fait comme s'il allait faire des pompes, mais en fait il fait ce mouvement incroyablement suggestif, et moi je sens cette chaleur dans mon bas ventre, je sais déjà que je suis perdu, mais je résiste, je résiste. Alors il s'approche et pose ses mains sur mes genoux, et rejette sa tête en arrière dans un « ah », la sueur coule sur son cou, j'en peux plus, je me sens tendu, si tu vois ce que je veux dire, il se met entre mes jambes, mais ne me touche pas tu vois, il attends que je cède, en attendant, il laisse glisser sa main le long de son cou jusqu'à son bas ventre et se déhanche à genoux sans même me frôler, c'est intenable... Mais je suis un pervers sadique alors j'attends encore une peu, mais je te promet que j'ai vraiment cru que j'allais jouir sans l'avoir touché, ça le déçoit alors il s'énerve, c'est trop mimi, et moi je suis en mode « Je vais te bouffer, tu vas le regretter » j'ai chaud et les yeux qui brillent, il le voit, alors il fait son « Je suis un parfait uke, je n'attends plus que toi », je frôle son torse d'un seul doigt et le sens frissonner, je continu mon exploration d'un seul doigt, touche ses tétons, il tremble c'est incroyable, je descends en suivant la courbe de son ventre, contourne le nombril et arrive au niveau de son pantalon, il attend, moi j'essais encore de résister, puis finalement, je vois ses yeux fiévreux, plein de désir alors je l'attrape et le plaque contre moi pour l'embrasser.
A cet instant, je trouve que la peau qui nous sépare est de trop, je le lèche et le mords partout, il gémit, ça devrait être interdit de gémir comme ça, c'est une invitation au viol, non, en fait c'est une demande de viol ! Je le reverse sous moi, et passe ma langue sur tout son torse, il halète, la chaleur de son corps irradie le mien, mes mains s'affolent pour détacher ce pauvre reste de tissus, en plus il ne fait rien pour m'aider, ce petit vicieux... Tu ne peux pas savoir comme il est beau quand il se mord le doigt pour retenir ses cris, à chaque fois j'hésite entre le laisser continuer et l'embrasser. Je passe ma langue dans son cou, il ouvre les jambes en haletant toujours plus, je le frôle de mes doigts, puis je les rentrent: un puis deux. Je le sens qui crispe sa main dans mes cheveux, et j'entre en lui, il n'arrive pas à retenir ce cri de plaisir intense et moi j'augmente le rythme, poussé par le désir. Je me sens lourd et léger à la fois, en lui c'est si bon, si... Enfin ce n'est pas descriptible, l'apothéose arrive dans nos baisers, le pire c'est qu'il sait très bien comment me faire aller au septième ciel, avec ses mains chaudes sur moi, sur mon torse, sur mes reins, et il ne retient pas ses cris, ça me rend fou...
Alors quand on en peux plus, haletant, je m'étale sur lui et il a ce sourire celui qui dit « Bah tu vois, je t'ai quand je veux ! » Et moi je lui fais mes yeux de « Mon petit uke chéri... Ca valait le coup d'attendre et de me prier hein ? »... Mais tu vois, c'est pas comme si on arrivait à se contenter d'une fois, alors c'est toute la nuit comme ça ! C'est pour ça que je te demande de m'accorder un jour de congé, histoire que je me remette, parce que lui il pète la forme grâce à Kyubi, mais moi je galère chaque matin ! Shikamaru ? Oh ! Shikamaru ! »
C'est à cette occasion que Shikamaru découvrit avec stupeur, que Sasuke n'était pas, mais alors absolument pas complexé par sa relation avec Naruto. Depuis, dès que Sasuke demande un jour de congé, il l'obtient...Très facilement...
Le soir de cet épisode, Temari trouva son compagnon particulièrement actif... Allez savoir pourquoi...
