Petit nouveau dans un monde de tarée, petite décidasse à Arthelils parce que le ridicule ne tue pas ~ Et surtout bonne lecture. Désolé des fautes, il doit y en avoir.


Au sein du 221B Baker Street, il y avait une petite fenêtre qui donnait sur la rue isolée du reste de la pièce, mal construite qui ne permettait à aucun rayon de soleil d'entrer. Pourtant, John avait toujours été admiratif en la regardant, il trouvait qu'elle reflétée bien la bonne humeur des passants, qu'elle donnait un peu plus de vie à l'appartement sombrant un peu plus, à chaque nouvelle expérience de son colocataire. Le dit colocataire qui ne trouvait vraiment rien à ce morceau de double vitrage trop mal situé. Sherlock lui avait déjà fait des réflexions tels que « Dis tu comptes l'embrasser quand ? Tu sais elle ne va pas t'attendre indéfiniment Elle ». John avait cessé de répondre à ses piques, espérant tout de même entendre une pointe de jalousie dans la voix du détective. Mais le médecin se faisait peut-être un peu trop d'idées là-dessus. Depuis deux semaines maintenant l'été s'était installé à Londres, et John adorait regardait par cette fenêtre la vie de la capitale s'animer sous ses yeux. Aujourd'hui encore il avait pris sa chaise en bois – car monsieur le détective consultant ne partage pas son fauteuil – et une tasse de café à la main, il avait regardé les enfants jouer devant sa porte. Il les trouvait adorable et eu comme un pincement au cœur se rappelant qu'il n'avait jamais connu ce plaisir d'être père. Sa douce nostalgie fut coupé par le bruit de la scie tout près de lui et de la voix de Sherlock un chouïa agacé.

« John fais les taire, je n'arrive pas à séparer correctement cette main de son bras. »

John avait comme à son habitude soupiré devant la nouvelle découverte de son ami, et avait refermé la fenêtre pour lui faciliter la tâche. Le détective lui lança un simple merci, reprenant ses activités très « ludiques». Mais l'ancien soldat ne quitta pas les enfants des yeux, il les trouva juste à croquer de les voir jouer au chat et à la souris, il reconnaissait bien là l'innocence des enfants et regrettait d'avoir perdu la sienne à la guerre. Il se tourna vers son colocataire quand il cru entendre une injure de celui-ci ayant raté son découpage.

« Tu n'auras qu'à retourner à la morgue

-Tu seras gentil de faire le trajet pour moi. Lui répondit le détective sans lever les yeux sur lui.

- Sherlock, je suis contre le fait de déplacer des anciens êtres humains aimés pour tes expériences.

-Ils sont mort de toute façon.

-Ce n'est pas une raison, tu as pensé aux familles qui découvrent leur proches une main en moins. » Quoiqu'imaginer la scène fit sourire John, mais son sourire disparut quand il se rendit compte que l'attitude de son colocataire dépeignée sur lui.

« John, je n'aime pas me répéter mais tout ces corps vont être brûlés ou dévorer par les insectes.

- Tu n'as aucun respect.

-Je suis un sociopathe je te rappelle.

- Tu ne l'as pas toujours été. Quand tu étais enfant, tu avais bien une petite étincelle de vie insouciante.

- Elle n'a jamais du s'allumer.

-Tu penses donc que tu agis aussi froidement depuis le jour de ta naissance.

- Je ne sais pas, demande à Mycroft.

- Quel manque de participation…

- Il n'y a aucun jeu John.

- Si il y en a un maintenant » Conclut l'ancien soldat en s'approchant de Sherlock, il posa sa main sur son torse en souriant et lui déclara « C'est toi le chat ! »

Sherlock resta quelque peu étonné par le comportement de son ami, avant de soupirer et de lever les yeux au ciel. Il alla s'installer dans la canapé, choisissant de boire dans une des nombreuses tasses sur la table basse.

« C'est le mien, grogna John en s'approchant de Sherlock pour récupérer sa tasse.

- Qui va à la chasse perd sa place. Lui fit remarquer l'autre en posa ses lèvres sur le bord de l'objet volé

- C'est un truc de gosse ça. Renchérit le soldat en s'asseyant à côté de lui.

- C'est toi qui à commencé John. Touché.

- Touché ? S'interrogea le blond »

Sherlock sourit et passa sa main sur la chemise de John, il remarqua de suite que ce dernier se braqua aussitôt, il voulait continuer à la charrier, mais son téléphone sonna, nouveau mystère pour le plus grand génie de tout les temps pensa Holmes alors qu'il se levait pour saisir sa veste. Il du néanmoins attendre que le blond prenne le temps de s'habiller aussi, toujours un peu surpris par ce comportement. Ils ne s'échangèrent pas mots, jusqu'au lieu de rendez vous, mais avant de sortir du taxi Sherlock lui dit alors :

« C'est toi le chat »

John soupira, non le détective n'avait pas perdu son âme d'enfant, il avait juste des jeux plus spéciaux que les autres, mais John aimé être son compagnon de jeu, et la partie ne faisait que commencer.


One shot? Chapitre premier? Bonne question à vous de voir. A vous les reviews. Bonne soirée, bonne nuit, bonjour ~ Tout mes revieweurs ont le droit à un place dans mon coeur

Ryokushokumaru