A la base la OS avait était écrite avec un personnage qui m'appartient, mais comme je ne savais pas dans quelle catégorie la placer, j'ai changée ce perso en Bill Kaulitz (La version 'original' se trouve sur Facebook [Lien dans la présentation])

Pour ce qui est du texte en italique, c'est une chanson de Tokio Hotel : Für Immer Jetzt.

Le soleil était couché depuis longtemps et la nuit dominer le monde. Dominait son monde. Bill était recroquevillé sur lui-même dans un coin de sa chambre, loin de tout, loin du monde, loin de lui. À cette instant, plus rien n'avait d'importance, son cœur était mort et les larmes glisser inexorablement sur ses joues.

Je te vois pleurer,

Et personne n'arrête tes pleurs.

Il avait pourtant essayé, il avait lutté jusqu'au dernier moment, lutter contre sa douleur et voilà ou tout ça l'avait mené. Il n'aurait jamais dû. Jamais. Un cri déchirant s'échappa de ses lèvres et il abatis ses mains sur ses oreilles pour ne plus entendre son cri d'agonie.

Je t'entends crier,

Parce que le calme t'étouffe.

Il l'aimait. Il l'aimait tellement, et maintenant tout était terminé, tout était mort. Mort comme son cœur. Cœur meurtrie des injures reçu. Maintenant, il était seul. Seul. Son cœur cogna contre sa poitrine, lui rappelant que tout était fini.

Je sens ton cœur,

Il est si seul, tout comme toi.

Ses sanglots lui compressèrent le cœur, se stupide cœur. Sa respiration se bloqua et il suffoqua. Il pourrait bien mourir à cette instant que cela ne changerait rien. Tout serait mieux, bien mieux. Son cœur lui faisait mal, bien trop mal pour continuer a vivre. Il ferma les yeux, tout serait sûrement mieux.

Laisses-toi tomber,

Fermes les yeux.

Erwan, ce salopard. Tout ça, c'était à cause de lui. Cette ordure avait toujours été responsable de ses maux, mais il l'aimait. Il l'aimait bien plus que tout. Mais maintenant, c'était fini. Un mot de trop, un geste de trop et il avait enfin compris que leur relation n'était basé que sur des mensonges, des mots acerbes qui pénètrent le cœur et le meurtrisse. Des coups, semblable à des caresses au début. Des coups, qui mutile, qui blesse, qui tue. Tue le cœur. Tue l'âme.

Me sens-tu,

Quand tu respires.

Il sentait son cœur faiblir. La mort, il la sentait. Il sentait sa douce caresse, sa douce étreinte. Comme une amie, une amie qui vous enveloppe, pour vous bercer dans ses bras. Ses bras qui vous emmène loin, loin jusqu'au ciel. Loin de tout, loin du monde, loin de lui.

Me sens-tu,

Quand personne n'est là.

Est-ce que le monde s'arrête quand on meurt ? Il en doutait. Le monde se foutait bien de son âme perdue. Il n'était rien. Il n'était plus rien maintenant. Juste une âme, une pauvre âme errante. Les larmes continuaient de dévaler sur ses joues. Il avait mal, tellement mal.

Hey,

Le monde s'arrête pour toi.

Son cœur cogna dans sa poitrine, encore et encore. S'il avait su. Si seulement il avait su. Jamais il n'aurait écouté ses mensonges, jamais il n'aurait écouté ses belles paroles, jamais il ne se serait laissé séduire, jamais il ne lui aurait ouvert son cœur, jamais il ne lui aurait révélé ses faiblesses, ses doutes, ses craintes. Jamais il ne serait tombé amoureux. Maintenant, il était trop tard.

Ici, dans mes bras,

Maintenant et à jamais.

Il c'était toujours demander ce que cela ferait de mourir. Maintenant, il savait. Son cœur cessa de battre, il était mort à présent, réellement mort. L'amour peut tuer. L'amour la tuer. La mort la emportait.

Nous franchissons le temps

Contre toutes les lois

Toi et moi pour toujours

Maintenant et à jamais

Ci-gît Bill