Salut la compagnie ! ça faisait un bail !
Pas de chance pour les Gerza mais je débute une nouvelle histoire qui, elle, aura une FIN ! Parce qu'il ne me manque que le sixième et dernier chapitre à écrire, donc je pense réussir à relever le défi (les moues dubitatives dans le fond à gauche, on les réprime... s'il vous plait). Voilà, donc ce sera un joli label SPPS, la première fiction française de pur Loki x Aries (the couple choupi). Et un UA. Vous ne saviez pas que j'adorais écrire des UA avec les persos de Fairy Tail ?
La vérité, c'est que j'ai fait un rêve bizarre et j'ai décidé d'en conserver les éléments logiques et liés à la romance (parce que l'accident de voiture de ma mère et les petits bonshommes-requins, ça fait un peu décalé). Après, je me suis dit qu'avec un petit (énorme) paquet de remodelages, ça pouvait faire un truc sympa et à peu près IC avec nos esprits stellaires préférés. En remplissant les trous, bien évidemment.
Maintenant, attention. Si vous n'avez pas lu ce paragraphe et que vous n'aimez pas, ce sera bien fait pour vous. Dans cette histoire, je m'essaye à la romance pure de chez pure, alias le sirop de sucre sucré au sucre, ou guimauve guimauvée (la fille qui vend TROP bien son histoire !). Donc si vous n'aimez pas... eh bien vous n'aimez pas. Il n'y a pas à tortiller du cul, vous n'êtes pas obligés de lire. Et puis, ben, c'est déconseillé aux garçons (s'il y en a seulement), parce que vous risquez très très fort de vous faire chier. Comme ça, c'est dit.
Aux survivants, bonne lecture !
NB :Le frère d'Aries est Natsu, et il sera appelé « mon frère » tout le long de l'histoire.
Chapitre 1 : Mystérieux
Mon frère avait organisé une soirée chez nous et, une fois n'est pas coutume, ses potes au masculin comme au féminin envahissaient tout l'espace vital de la maisonnée, du grenier jusqu'au plafond, à l'exception peut-être de ma chambre que j'avais pris soin de barricader en apprenant la nouvelle.
Apprendre la nouvelle, entendons-nous. Je savais qu'il allait faire un foot cet après-midi avec ses copains. Je savais également que mes parents étaient invités chez des amis et qu'ils rentreraient à pas d'heure. Evidemment, mon frère, qui rentrait en général aux environs d'une heure et demie après le couvre-feu qu'on lui imposait, ne serait pas là avant huit heures. Et je savais, une fois encore, que dans la perspective d'une maison vide (oui, je compte pour du beurre), il ne se priverait pas de retarder quelque peu son arrivée. Et possiblement de ramener ses trois meilleurs copains qu'il traînait du collège pour une soirée geek, composée de grignotage de saladiers entiers de pâtes à la carbonara, de rires gras au possible et surtout, surtout, surtout, de « Putain, mec ! », de « Oh la pute ! », de « Le noob ! » et autres « J'vais l'humilier ! ». Oui, quand ils jouent, ils parlent à leurs ordis -enfin, aux joueurs qu'ils affrontent-. Et je vous assure qu'ils ne sont pas tendres. J'aimerais pas être à la place de leurs adversaires.
Enfin, le sujet n'était pas là. Juste que je savais qu'en l'absence de mes parents, mon frère risquait fort de ramener des gens. Et qu'il y aurait du bruit. Bref, dormir, je pouvais rêver. J'avais donc profité à fond de mon après-midi de tranquillité et de silence, m'étais arrangé un caractère conciliant gorgé de bonne humeur, et surtout, j'avais fait un stock plein et bien généreux de boules Quies qui trônaient déjà à côté de mon lit, sous la lampe de chevet.
Il faut dire que je ne suis pas d'un caractère sociable. Les amis, ce n'est pas un truc qui gravite autour de moi et qui s'envole sous un coup de vent lorsque je m'éloigne. De même, j'aime bien les soirées, mais à petite dose. Alors si vous vous demandez pourquoi je ne m'en étais pas allée directement découcher chez une amie ou qui sait, un copain, c'est tout simplement que d'un : je fréquentais surtout des gens qui me ressemblaient (et aimaient encore moins les fêtes que moi) et deux : les autres savaient qu'il n'y avait rien à attendre de moi s'ils m'invitaient et par conséquent ne devaient pas souvent penser à moi pour ce genre de trucs. Du moins, j'espère que c'était bien leur raisonnement.
Bref, tout cela pour dire que je vis arriver d'un mauvais œil mon frangin lorsque, à neuf heures moins le quart, il jeta littéralement ses affaires dans l'entrée pour se précipiter, argent en poche, pour acheter je-ne-sais quelle marque de bière pour remplir le frigo. D'autant moins en constatant qu'il était accompagné. Et pas en mode geek, cette fois : par son pote aux cheveux noirs, Grey, et la rouquine inséparable de leur trio de lycée. Il n'en fallut pas plus pour qu'il m'annonce en coup de vent qu'il hébergeait une toute petite soirée, « si ça ne te dérange pas trop », et que les squatteurs devaient arriver d'ici une petite demi-heure. Yippee.
Prenant mon mal en patience, j'organisais mon propre champ de mines anti-personnel qui devrait les tenir éloignés de moi juste ce qu'il fallait. Ce n'était pas comme les autres, que je connaissais un peu. Les inconnus, parfois, ça me ressortait par les narines.
Mon frère n'avait pas menti. Pas sur la taille de la soirée, mais sur les horaires d'arrivée massive. En effet, il ne fallut même pas vingt minutes pour que les hordes de Huns investissent le salon. Je m'enfermais résolument, un livre sur les genoux, avec une douce musique de fond qui ne couvrirait pas leurs joyeux braillements et le poum ! poum ! qui rythmait leurs danses cabbales. J'éteignis avec résignation ma musique pour « profiter » de ce qui s'avérait être la leur, et bien vite, lire devint impossible. Au bout d'une généreuse heure, je refermais mon bouquin dans un claquement sec et me décidais à aller voir les dégâts.
Bon, il y avait des gens un peu partout. Rien de surprenant. J'en reconnaissais parfois certains, et quelques-uns parmi eux me saluaient avant de retourner à leurs petites histoires, mais pour l'essentiel, j'étais noyée dans une mare d'inconnus, ce qui me réjouissait peu. Il y avait le canapé déplacé, la table couverte d'apéritifs et de bouteilles à moitié vides et l'espace du salon, arrangé de manière à former une piste de danse. J'y jetais un coup d'œil blasé avant de capter d'un œil la silhouette de mon frère. Je devais avoir une tête mortelle, avec tout mon agacement et la mauvaise grâce qui s'incrustaient dessus. C'était un peu salaud de ma part. Par égard pour lui, je me traînais jusque dans la salle de bain pour me maquiller un peu -une fois n'est pas coutume-. Puis je retournais dans ma chambre, heureusement pas squattée ni explorée, et farfouillais mes tiroirs à la recherche d'un t-shirt un peu plus correct.
Je retournais dans le salon. J'avais envie de danser. Certes, je venais de me découvrir cette idée fixe par hasard, et cela tenait plus des envies subites de la femme enceinte que d'un réel désir de me mêler à la populace. Mais, et quoi que vous soyez imaginés précédemment, j'aimais profondément ça : me déhancher, bondir sur des ressorts, onduler et bouger mon corps de gestes saccadés comme si j'étais en transe (ce qu'une amie m'avait dit une fois). J'aimais, mais je ne le faisais pas souvent en public. En fait, je détestais juste qu'on me regarde. A chaque fois, ça me stoppait dans mon élan, et je me retrouvais comme une idiote à me dandiner d'un pied sur l'autre, à la recherche d'une manière de faire oublier que oui, je bougeais comme une cruche.
D'habitude, pour forcer mes complexes à disparaitre, je buvais un ou deux verres d'orange-vodka (la vodka pour me saouler un peu et me lâcher et l'orange pour faire oublier le goût débectant de la vodka premier prix). Mais ce soir, je n'étais plus à ça près. J'étais tellement crevée que la fatigue agissait comme une drogue, détendant chacun de mes muscles jusqu'à me donner le vertige. Je me fichais plus ou moins de la présence des autres, qui dansaient tous entre eux, et je me déhanchais en fermant les yeux. Ce n'était pas comme d'habitude. Pas une danse énergique par laquelle je heurtais parfois involontairement les autres. Pas de ces trémoussements d'arrière-train qui jouaient sur le contraste taille-hanche, ni de ces jeux avec mes bras. Rien que moi qui tanguait, comme ivre, en solitaire et avec l'illusion que personne ne me voyait. Jamais transe n'aurait été un mot si bien choisi.
Au bout d'un moment, ne tenant plus sur mes pieds, je trébuchais jusqu'à une chaise pour m'y affaler et enfournais une poignée de biscuits apéritifs. J'attrapais un verre, mais je n'eus pas la force de le remplir. Sans avoir le temps de finir mon geste, je m'endormis, vaincue.
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Je m'éveillais avec une étrange sensation, comme si une main avait rampé le long de ma jambe et de mes hanches pour se retirer à l'instant où mes paupières se relevaient. Le vacarme avait plus ou moins cessé. La musique éteinte, laissait place au ronronnement des discussions. Je me redressais et remarquais une silhouette allongée à même le sol, à côté de ma chaise. Un gars aux cheveux blonds-roux et ébouriffés, l'air malicieux et les yeux attardés sur moi. Je frissonnais inconsciemment au souvenir de ce que j'avais cru ressentir. Je me trompais sûrement : nul doute que mon réveil devait être un spectacle comique. Je me redressais, parfaitement réveillée bien qu'un peu pâteuse, et entrepris de retrouver le chemin de ma chambre. Je croisais au passage l'amie du trio de mon frère, qui me fit un grand sourire.
J'y restais enfermée pendant une durée généreuse, plongée dans un genre de coma songeur. Voilà, je ne dormirais pas beaucoup de la nuit. Une heure à l'instant, c'était déjà ça de gagné. Je ruminais, échangeais quelques sms avec des amis, et puis soudain, je vis l'heure. Papa et maman n'allaient pas tarder à rentrer, et dissimuler ce bordel allait être une jolie folie. Et je compris pourquoi les bruits avaient plus ou moins cessé. La soirée s'essoufflait. Je sortis, décidée à rappeler ce détail à mon cher frérot.
La porte du salon était fermée, et son entrée, encombrée par trois personnages adossés au mur. Les deux premiers, au sol, étaient l'ami brun de mon frère ainsi qu'un blond que je ne connaissais pas et qui me paraissait renfrogné. Le troisième était assis en équilibre sur le pot du ficus qui encombrait le corridor.
C'était le garçon allongé de tout à l'heure. Ses cheveux s'emmêlaient aux feuilles, et une branche lui tombait plus ou moins au-dessus du visage. Ses yeux, sombres et brillants, s'ancrèrent dans les miens avec une intensité et une insistance qui me laissèrent sans voix. Il avait l'air curieux, intéressé par moi comme si j'appartenais à une espèce des plus fascinantes. Et moqueur, réalisais-je lorsqu'un sourire s'étira sur ses lèvres. Je me rendis compte que je le dévisageais avec insistance depuis un petit moment. Honteuse, je détournais la tête et entrais dans le salon.
Le branle-bas de combat avait commencé. Chacun là-dedans était affairé à chercher qui son manteau, qui son sac à main. Je constatais avec satisfaction qu'il ne faudrait pas une heure avant qu'ils disparaissent de la circulation, et nous aurions enfin la paix -enfin, moi- et tout le temps nécessaire à ranger ce joyeux bordel. La dernière partie me fit grincer des dents. Bien sûr, je n'allais pas abandonner mon frère, mais cela ne rendait pas la perspective plus réjouissante pour autant.
C'est le moment qu'il choisit pour apparaître dans mon dos, vaguement empressé et pour ainsi dire ravi. Ainsi donc, je l'avais cherché là pour rien. Sans se soucier de mes réflexions intérieures, il passa à côté de moi et parcourut la salle d'un groupe à l'autre, pour saluer tout le monde. Puis il vint se poster à ma gauche.
« Ça va ? » me demanda-t-il. « On ne t'a pas trop embêtée ? »
Je hochais la tête. Sa prévenance et l'air inquiet qu'il affichait noyaient tout mon agacement intérieur, et je me sentais presque coupable de lui en avoir tant voulu pour le vacarme. Je n'avais pas envie de l'attrister ou de le décevoir. C'était sa soirée, après tout.
Je me giflais mentalement d'être aussi influençable.
La pièce se vidait, et quel plaisir là-dedans. Restaient seulement quelques amis bougons ou euphoriques sous la boisson et un garçon qui menaçait de tomber à chaque pas, complètement ivre, que ses amis tentaient tant de bien que de mal de porter. L'un d'entre eux s'en excusa auprès de nous. Je ne dis rien. Après tout, il n'avait même pas vomi, pour ce que j'avais constaté des dégâts. Mon frère, lui, eut une moue gênée que je n'eus aucun mal à interpréter : vu qu'il buvait comme un trou lui aussi, il aurait été malvenu de sa part de le reprocher à qui que ce soit d'autre.
Au moment où l'autre s'éloignait, le gars du couloir s'approcha pour saluer mon frère. Je lui jetais à peine un coup d'œil, mais cela me suffit à le reconnaitre et je détournais les yeux sur le spectacle du salon aux meubles en désordre. J'avais l'impression de sentir sa présence dans mon dos. De le voir.
« Bon, bah…
-A demain, mec » termina mon frère.
C'était la première fois que je l'entendais. Sa voix était un peu rauque sous l'effet des évènements un timbre pas si grave mais chaud, avec ce côté parfaitement masculin et viril qui vous montait à la tête sans prévenir et vous obsédait un moment. Je me retins de secouer frénétiquement la tête, attendant fermement de l'entendre s'éloigner, le corps tendu à l'extrême. Au lieu de quoi les pas me contournèrent dans le dos pour s'arrêter sur mon côté droit, et je me tournais par réflexe.
Son visage se trouvait à une quinzaine de centimètres du mien. Rapprochement délibéré, me doutais-je vite, ce qui n'empêcha pas mon trouble de se diffuser en une étrange chaleur dans mes joues. Ses yeux cherchaient les miens. Ils y étaient ancrés, pour être plus juste, et je fus incapable de me détacher de ce regard. Ses iris étaient d'un noir charbonneux, luisants, parsemés par des mèches de cheveux en bataille qui lui donnaient l'air de sortir d'une bagarre héroïque. Et terriblement malicieux.
Il hocha la tête, si proche, et je ne réagis pas lorsque brusquement je sentis ses lèvres se poser dans le creux de mon cou, à la lisière de ma mâchoire. C'était inattendu, et… doux. Le contact dura quelques secondes, mais il me sembla que c'était tout à la fois un instant et une éternité. Je l'observais éloigner son visage, bouche bée, pour me fixer avec quelque chose… une attente dans le regard. Et… de la satisfaction.
« J'espère bien te revoir » me glissa-t-il avant de s'éloigner.
Je le regardais aller chercher ses affaires. Puis je jetais un coup d'œil à mon frère, étonnée qu'il n'ait pas réagi plus violemment à une telle marque de proximité. Mais il n'avait rien vu. Il parlait avec un groupe d'amis à moitié effondrés de rire que je ne préférais pas déranger. Et soudain, je réalisais que le garçon du couloir avait choisi pile son angle mort pour agir et que personne, personne n'avait rien remarqué. Sans réfléchir, je me précipitais vers lui avec une impression d'urgence. Sa main s'était suspendue au-dessus d'une écharpe lorsque je l'attrapais au vol.
Troublée, je sentis son regard peser sur moi. Son corps était si proche du mien que j'avais l'impression d'en ressentir la chaleur, comme s'il allait se coller à moi d'un instant à l'autre. Je l'ignorais fermement et retraçais sa paume ouverte du bout du pouce avant d'y inscrire au stylo bille « Aries, 06 44 77 88 99 ». Je relevais les yeux vers son visage étonné.
« Voilà » dis-je fermement. « Au cas où tu pensais ce que tu as dit ».
Ses yeux s'arrondirent, puis il sourit imperceptiblement en enroulant son écharpe autour de son cou.
« Bien sûr » lâcha-t-il à mi-voix, amusé.
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Lorsque chacun des invités et de ceux qui avaient choisi de l'incruster eurent déserté les lieux, je me retournais vers mon frère à l'air harassé par la bataille contre le temps qui allait maintenant se jouer. Les miettes de chips sur le sol. Le vase ébréché. L'énorme canapé à remettre à sa place. Les flaques de bière au sol. Je restais un instant silencieuse, à le jauger, et puis il se mit au travail. Je m'attardais à la fenêtre, l'ombre familière d'une tête brune s'éloignant dans la nuit.
« Qui est-ce ? » demandais-je.
Mon frère s'approcha de la vitre et je lui désignais, d'un mouvement du menton, le garçon du couloir qui disparaissait à l'angle de la rue. Il fronça les sourcils un instant, puis il hocha la tête, amusé. Il tourna son regard vers moi.
« C'est Loki » lâcha-t-il avec indifférence. « Il a des manières un peu… c'est un dragueur. »
Et, au vu du regard scrutateur qu'il me jeta, je sus qu'il avait compris ce qui avait motivé ma question.
xxx ... xxx
BOUH !
("aaah !" fait le lecteur qui a trop pitié de l'auteure mais qui veut quand même lui faire plaisir)
Ben oui, c'est la fin du premier chapitre. C'est un peu la seule partie qui soit à peu près comme dans mon rêve un peu suspect. Si jamais mon frère lis ça (et fort heureusement pour moi, il ne le lira pas), il rira jaune quant à certains passages. Mais bon. Il n'est pas là, je fais ce que je veux. ...Et il me dirait aussi : mais si t'as compris ton problème, pourquoi tu te sors pas de ta caverne ? (il est gentil, mais il n'a compris le sens du mot "travail" que cette année).
Bref, si vous voulez tout savoir (et même si vous ne voulez pas), j'ai écrit ça et les quatre chapitres suivants (et j'aurais sans doute écrit le dernier aussi) en étant dans un état de malade-zombie critique, et en testant toutes sortes de cocktails pour guérir plus rapidement. Dans le genre : ail, doliprane, cocktail vitaminé, miel, thym, rhum, aspirine, café, vitamine C... Donc il peut y avoir des passages merdiques comme d'autres...bizarres.
On se retrouve sur la case review et à la semaine prochaine !
PS : Vu que je n'ai toujours pas envoyé mes Ultear pour le concours de dessin, je crois que je vais les caser dans des histoires. J'en ai donc trois à écrire sur ma belle. Et puis, je vais dessiner quelque chose pour la cover de cette fic, parce que je n'aime qu'à moitié celle-ci. Vive la SPPS !
PPS : J'attends le bêta-reading pour le prochain chapitre.
PPPS : Sale site qui réserve ses bugs rien que pour moi, je t'en*** !
