*Pain is your friends, pain is yours ally. Pain tells you when you have been wounded badly. But you know what the best thing about pain is? It tells you you're not dead yet.*
Je me traine avec difficulté en m'appuyant sur les murs qui m'entourent. Le sang coule lentement de mes blessures sans que la douleur que mon corps ressentait n'apparaisse sur mon visage ou n'atteigne mon cerveau. Arrivant enfin devant le trou qui me sert de porte à l'endroit qui me sert de refuge pour la nuit : un simple immeuble désaffecté, je passe dans la pièce principale puis je marche calmement vers la pièce à gauche, blanc de décoration et qui contenait seulement un grand mur rempli de photo et de fil qui reliait certaines photos entre elles pour la mission qui m'avaient causé mes blessures, où je me rappelle avoir posé ma trousse de premiers soins. Si on pouvait l'appeler comme ça, elle contenait juste quelques bandages et une simple paire de ciseaux mais elle me suffisait, sauf peut-être pour cette nuit.
Je fais une liste mentale de mes blessures et aussi une de mes organes probablement touchés mais les blessures qui m'inquiétaient le plus sont celles qui semblent partir de ma tempe droite en passa sur la partit extérieur de ma joue jusqu'à une bonne section de mon cou, mais caché par mes longs cheveux gris foncés, et celle à ma cuisse, qui n'y ressemble plus vraiment à cause de la chair déchiqueté, qui avait surement endommagé la veine principale qui se trouve là, puisque le truc qui me sert de jambe saigne comme si on m'avait couper la jugulaire. Après avoir bandé le plus possible mes blessures je rampe jusqu'au matelas posés directement au sol qui se trouve à peine à une dizaine à de mètres, dans la pièce à droite de la pièce principal, qui me servait de chambre. Je m'allonge avec autant de douceur qu'un corps épuiser et blesser pouvait le faire. En étant allonger je pouvais enfin relâcher mes muscles même si la douleur était toujours présente. Je repense alors à la journée qui c'est passer.
dc
t
ab
Flashback
Je me réveille dans ma chambre en ressentant que mon corps était gelé par l'air glacé qui traversait la fine paroi du seul drap que je possède. Pour me réchauffé je marche lentement vers le tonneau rouillé qui me sert de foyer puis je l'allume après plusieurs minute à cause de mes doigts qui ont gelés pendant la nuit. Quand je sens enfin mon corps capable de faire des mouvements plus ou moins simple je m'entraine ensuite, comme tous les matins, avec toutes mes armes pour ne pas me faire tuer si j'allais en mission, car c'est la seule véritable chose que je sais faire sauf tuer qui fait aussi partit de me seules capacités. Je n'ai pas peur de mourir, en faite je n'ai tout simplement jamais peur de quoi de se soit car la seule raison de ce pourquoi je suis toujours en vie c'est de tuer les ennemis du boss. Pas que je veux le protéger mais si je le fait pas je sais que la vie ne resterait pas encore très longtemps à mes côtés. Je ne mets pas ma vie au-dessus des autres puisque j'arrive à peine à différencier l'importance de la vie d'un chien ou de celle d'un enfant mais la seule chose qui me retient encore de me tirer un balle dans le crâne, pour pouvoir enfin ressentir se qu'un humain normal ressentirait, c'est une voix ou plutôt un grincement qui ressemble a une voix même si je n'arrive pas à comprendre se qu'elle dit : je le souhaite ardemment. C'est même la seule chose que je souhaite réellement… et s'est sur c'est quelques souvenirs que je me sentis m'endormir.
dc
t
ab
Je me sentis me réveiller d'un coup mais je reste coucher pour vérifier si mes blessures sont assez guéries pour pouvoir bouger un peu, mais soudainement je remarque que je ressens aucune douleur mais seulement un drôle de pressentiment. Je me lève tout de même doucement pour être sur qu'aucune de mes blessures s'ouvre une deuxième fois mais je remarque quand même quelque chose d'étranger à d'habitude. Je baisse finalement les yeux à ma droite pour remarquer un corps… le mien. C'est dur de penser qu'on meure mais qu'on le remarque à peine. Mais s'était difficile de dire que je pourrais plus m'entrainer avec mes armes, qui étaient une des seules choses que j'appréciais un peu car elles sont comme moi… elles ne ressentent aucun sentiment. Je compris que rester la à rien faire ne pourrais pas m'aider d'aucune façon que se sois alors je me mets en marche pour aller je ne sais où sauf que mon pied droit rencontre quelque chose que j'entendis glisser. Je baisse les yeux pour remarquer une lame. D'apparence simple, je m'accroupie pour l'examiner de plus près. En l'ayant juste sous les yeux je vois qu'en fait la lame qui dépasse du fourreau, pour cause du coup que j'y ai donné, avait en quelque sorte des veines bleues foncé qui circule sur la surface visible de la lame. Le fourreau lui est une dégradation de blanc, proche de la garde, à bleu, là ou la pointe de la lame est. J'empoigne la garde; qui possède un tissage d'un blanc pure qui laisse passer la couleur noir du bois qui est en partie caché en-dessous, puis tire la lame qui est dissimulée par le fourreau. Je remarque que la lame serait normale si sa ne serait des arabesques qui courent, comme des veines, tout le long de sa surface argenté. Je me relève avec l'arme, rengainé dans son fourreau, dans la main, puis commence à marcher vers mes armes accrochées au mur pour vérifier si je peu en empoigner une autre mais quand j'essaye d'attraper un poignard qui est sous mes yeux, mes doigts ne s'accrochent à rien et passe même à travers le mur. Me résolvant à ne pas pouvoir m'équiper plus, seulement qu'avec l'arme que j'ai découvert je sorti du bâtiment qui ma servi d'abri durant ma courte vie.
dc
t
ab
Cela fait maintenant 1 mois que la mort m'a emporté sans que je trouve qui de se soit qui puisse m'entendre ou me voir pour me montrer quoi faire et alors que je pensais trouver un guide dans la voix qui m'avait jusqu'à la accompagné mais celle-ci c'était tut depuis lors. Me retrouvant dans un quartier industriel entouré de trois grand immeuble d'une dizaine d'étage chaque et d'un plus petit qui possède environ 3 ou 4 étages. Le plus petit était derrière moi et les plus grands devant. La ruelle ou j'étais avait des ruelles annexe, une ruelle qui passait entre 2 des grand immeubles juste devant moi et une autre a quelque mètres. Mais me promène sans but, car sans maitre, je ne suis juste qu'un animal perdu qui ne possède pas de voix ni de chemin à suivre, mais quelque chose changea brusquement, sans aucune près-requit, dans l'atmosphère. Quelque que chose de puissant et de sauvage flottait dans l'air ambiant, je le sentais, comme un prédateur qui en sentant un autre. Je le sentais que la chose qui fessait émaner cette aura de puissance ce rapprochait de plus en plus de ma position actuelle. Je dégaine l'épée, que j'avais trouvée lorsque je me suis réveillé mort, puis me prépare au combat. Je pris mes appuies en direction de la ruelle devant moi d'où venait l'aura, mais celle-ci disparu soudainement pour réapparaitre dans mon dos, je me posai pas de questions à savoir comment la chose que je savais dangereuse c'était retrouvé propulsé sur le toit car sans prendre le temps d'analyse la situation je me retourne pour n'offrir que mon devant a mon adversaire et pas mon dos. Je lève les yeux ne le voyant pas directement devant moi, pour que mon regard atterris finalement sur le toit d'où je voyais un homme mais la seule chose qui attira mon regard son c'est cheveux et le trou qui traverse de pars en pars son abdomen…
