Irys : Émily, aide moi... murmurais-je après une pause commençant à pleurer de nouveau.


Flash Back


Irys : A toute à l'heure ! Dis-je à mes parents, avant de sortir de la maison en courant, pour ne pas louper mon bus.

J'arrivais juste à temps pour monter dans le bus, je souris à Emma, ma meilleure amie depuis l'école élémentaire. Nous sommes comme les deux doigts de la main. Elle était assise tout devant à notre place habituelle. Je m'assis à coter d'elle et on commença à parler du nouveau CD des 'Sistah complex', un groupe en vogue en ce moment.

En première heure, nous avions malheureusement histoire, l'une des matières que j'aimais le moins, mais comme j'étais assise à coter d'Emma, le cours passait donc plutôt vite.

Pendant la pose du midi, avec Emma, nous avions retrouvées notre table ou se trouvé Damien, le copain d'Emma depuis maintenant trois mois. Une fois le repas, presque immangeable fini, on se dirigeait tous les trois vers notre cours de sport. Mais avant même de pouvoir rentrer dans les vestiaire, j'entendis une voix que je ne connaissais peu m'appelais derrière nous. Et quel fut ma surprise quand je me retournais pour découvrir le principal en train de courir vers nous.

Alors que je me demandais ce qu'il pouvait bien me vouloir, il arriva à notre hauteur me demanda de le suivre dans son bureau tandis qu'il indiquait à Emma et Damien les vestiaires pour allé en cours.

Après avoir parcourut le lycée pour arriver au bureau du principal, trajet qui ce fit dans un silence pesant, il ouvrit la porte de son bureau avant de pénétrait et alors que je le suivait à mon tour, je vis un homme vêtue d'un uniforme de policier ce tournait vers moi. Je m'arrêtais donc un moment à le fixait aillant de plus en plus peur et fini par refermais la porte derrière moi et de m'installer sur un des fauteuils faisant face au principal.

Irys : Euh... Je peux savoir ce qu'il ce passe ?
Policier : Je suis l'agent Millers, vous êtes bien Irys Young ? Fille de Jason et Évelyne Young ?
Irys : Oui, pourquoi ? Il est arriver quelque chose à mes parents ?
Agent Millers : Je suis dans le regret de vous annoncez la mort de vos parents. Quelqu'un à assassiné vos parents, je suis chargé de l'enquête, est-ce que vous pouvez me dire si vos parents avait des ennemies ?

Je ne lui répondis pas. Comment pouvait-il m'annonçait la mort de mes parents comme ça ? Les yeux dans le vague, ces paroles froide faisait écho dans mon âmes. Quelqu'un à assassiné vos parents. M'a respiration se saccada et une larme coula sur ma joues, puis deux, plus trois, bientôt mon visage fus ensevelis sous les larmes. Non ! Pourquoi ? Pourquoi eux ? Je ne peux pas y croire... Pas eux, pas mes parents...

Je n'arrivais pas à y croire. Voyant que je n'arrivais pas à m'arrêter de pleurer le principal posa un main qui ce voulut réconfortante sur mon épaule. Je mis un long moment avant d'arriver à reprendre ma respiration malgré les larmes qui continuait de coulés, et fini par répondre à l'agent Milliers.

Irys : Je... ma mère était avocate, et mon père procureur... Je pense... que plusieurs personnes leurs en veulent... Je ne sais pas...
Agent Millers : D'accord, vous avez un endroit ou allez ?
Irys : Oui.

L'agent Millers me racompagna là où je lui indiquait. Chez moi. Quant-il m'eut déposé je lui fit un signe de tête et refermais la porte de sa voiture avant de m'engouffrer dans mon entrer, je m'éffondrais alors sur le pas de la porte, mes souvenit affluant dans mon cerveau comme un film. Je me souviens du week-end ou on c'était amuser à peindre toutes les portes d'entrées, maman nous avez retrouvé plein de peinture car nous n'avions pas résister à faire une bataille, les larmes coulés toutes seule sur mes joues. J'avais l'impression que l'on maraché le coeur et que quelqu'un s'amuser à sautait dessus encore et encore et ecore...

J'avais trop de souvenir qui revenait d'un coup, je courus jusqu'à l'escalier qui montait dans ma chambre, pour m'enfermer dedans.

La colère m'avait envahie, tous ce qui ce trouvait sur mon bureau atterrit par terre, tous mes livres que je chérissez tant avait, quelque seconde plus tard, atterrit au même endroit que les objets ce trouvant sur le bureau. Je m'assis au milieu de se désordre en pleurant. J'avais la rage envers le monde entiers ! Comment une personne peu avoir au temps de colère en elle pour tuer deux personnes aussi formidables que mes parents ?

La fin de journée passa, sans que je ne bouge de ma chambre, a un moment, j'ai fini par m'endormir, pour me réveiller le lendemain matin.

Mal, voilà comment j'étais, j'avais toujours cette impression qu'on avait pris mon cœur et qu'on était entrain de s'acharner dessus en le coupant. Qu'est-ce que j'allais devenir ? Je ne voulais pas aller dans un foyer pour adolescent... Je ne pouvais pas aller chez Emma, et ma famille... Disons que j'en ai pas... Mais si, Émily ! Je pris ma douche, j'enfilai un short de sport et un débardeur, avant de regarder l'heure, pour voir si je pouvais appelais chez elle.

Émilie est une de mes cousines, en faite c'est la seule avec qui mes parents ne c'était pas disputer dans la famille. De temps en temps, quand j'étais plus jeune elle venait souvent à la maison mais depuis plusieurs année maintenant elle ne faisait que téléphoner. Elle avait trouver l'homme de sa vie comme elle aimé nous le dire, et préférée rester près de lui.

Il était 6 heure du matin, je n'allais quand même pas l'appelais aussi tôt, si ? Bon de toute façon si elle répond pas... Je la rappellerais plus tard... avant que je ne puisse faire le numéro de téléphone, celui-ci sonna. Je répondis.

Irys : Oui ?

? : Bonjour, je suis bien chez mademoiselle Young ?

Irys : Euh... oui. Qui êtes vous ?

? : Oh désoler, je ne me suis pas présenté, je suis l'avocat de vos parents, M. James. On ma appris leur mort, toute mes condoléances. Vous parents, ne mon pas fournis, chez qui vous deviez aller si quelque chose leurs arrivais, vous avez trouvez quelqu'un ou je dois prévoir une famille d'accueil ?

Irys : Euh... Je n'ai encore appelais personne, mais je pense avoir trouver.

: Bien, j'aimerai aussi prendre rendez-vous avec vous et la personne chez qui vous habiterez pour officialiser, et pour vous conter le testament de vos parents.

Irys : Et bien, quand je serai chez qui je suis je vous rappelle...

: D'accord alors on fait comme ça. Je vous donne mon numéro. Ne tarder pas car, si personne ne vient pour le testament, il sera redonner à l'état. Sur ceux bonnes journée.

Irys : Oui... Vous aussi.

Quand il raccrocha, le silence me fit du bien, sa voix grave m'a donner mal à la tête tout au temps que la mienne qui n'avait été que murmure. Je me levai pour aller dans la cuisine, pour prendre un doliprane, ma mère trouvais que c'était mieux de les mettre dans la cuisine plutôt que dans l'armoire à pharmacie.

Mon cœur, me fit encore plus mal. Je décidais à téléphoner à Émilie. Le cœur battant, j'entendis les première sonnerie.

? : Allô ? Me répondit une voix grave.

Irys : Euh... J'ai du me tromper de numéro, je chercher une Émilie...

? : Émilie Young ?

Irys : Oui... Comment... ?

? : Je suis son fiancé, Sam Uley. Je vais la prévenir que...

Irys : Irys, je suis Irys.

Sam : D'accord, je vais la prévenir ne quitte pas.

J'attendis un petit bout de temps avant que je n'entende la voix de ma cousine.

Émilie : Allô ? Irys ?

Irys : Oui, c'est moi. Comment tu vas ?

Émilie : Oui, je vais bien mais et toi ? Comment cela ce fait que tu m'appelle et surtout à cette heure là ?

Irys : Je dois te parler de quelque chose...

Émilie : Raconte moi tous ma puce.

Irys : Émilie, aide moi... murmurais-je après une pause commençant à pleurer de nouveau.


Fin du Flash Back


Irys : J'ai besoin de toi, mes parents... Ils se sont fait... Ils... Ils ont été tuer... J'ai nul par où allez, et j'ai peur...

Émilie : D'accord, alors écoute moi ma puce, si je pars toute suite, j'arrive vers midi, alors en attendant que j'arrive pour te prendre, tu prépare toute t'es affaires, d'accord ? Ta pu a avoir peur, je vais m'occuper de tout.

Irys : Merci.

Émilie : C'est normal, ma puce, je m'habille et je saute dans la voiture. Je t'aime ma puce.

Irys : Moi aussi cousine.

Émilie raccrocha, comme je pleurais, je restai cinq bonnes minutes devant le téléphone, le temps de reprendre mes esprits. Je pris deux-trois valises est les remplis tous à ra-bord.