Psycho Love
-Le soleil se couchait tranquillement, montrant sa beauté au vive couleur rouge jaune qu'il déployait dans l'horizon de la mer. Les rues étaient désertes depuis le temps, les lanternes s'allumèrent révélant les traîneurs. Ce soir se sera une jeune demoiselle, brune et dans la vingtaine. Elle ne portait qu'une simple jupe courte sur ses jambes découvertes et barbouillées d'un rouge vive. Elle tenait son sac à main fermement par-dessus sa veste bleu cyan qui possédait elle-même des tâches d'un ton marine à certain endroit. La femme loupa de trébuchée avec ses haut talons. Elle continua sa course dans l'obscurité d'une petite ruelle. Cette dernière ne lui porta guère de chance, un cul-de-sac, c'est tout ce qu'elle offrait. La femme cogna contre le mur, elle cria pour finir en larme devant son propre échec. Elle était fini, c'est ce qu'elle ne cessa de répétée.
-Pitié…Je veux vivre !
Elle hurla ces mots avec une telle volonté que sa en devenait affreux de la voir ainsi. Cependant elle se retourna aussi prestement qu'elle ne frappait contre le mur. Elle trembla, ses bras se resserraient contre sa poitrine, elle ne lâcha pas du regard ce qui la terrifiait tant.
-Non. Pitié…
Elle renifla fortement, ses larmes ne pouvaient plus arrêtées maintenant. Elle prenait conscience de chose auquel elle n'avait jamais fait attention. Maintenant qu'elle avait devant elle la faucheuse, elle savait tout ce qu'elle avait manquée, elle va mourir sans les connaître, c'est ainsi. Elle perd déjà toute force, elle tombe sur les fesses, sur le sol. Elle continue de tremblée, elle continue de pleurée, elle continue d'avoir peur face à la mort. Qui va lui donné ? Ce personnage se planque dans l'ombre, il n'y a pas de lanterne, n'y de lampe, la lune est derrière les nuages quand on prit pour qu'elle soit là. Quand elle réapparut, quand elle dévoila le monstre sanguinaire qui lui ôterait la vie elle ne put retenir de faire un sursaut sur elle-même. Elle ne pouvait pas le décrire, elle ne pouvait plus criée, elle pouvait que le regardée, croisant son regard doré. Il n'est pas seul, un autre et derrière, il attend, il regard il a l'air d'aimé voir la peur s'affichait sur tout le corps et l'âme de sa victime. Il sourit de toutes ses dents, de crocs proéminent apparaît devant l'être perdu. Elle tremble de nouveau, ses jambes n'ont même plus le courage de la portée. L'homme en retrait s'avance, il détient une arme, un tranchant, un couteau, une épée. Il s'approche dangereusement avec, et porte la lame tranchante devant son visage, elle brille d'un rouge, ils l'ont déjà utilisé ? Maintenant qu'elle sait qu'ils ont déjà fait des meurtres elle panique, de plus le tueur qui avait porté l'arme a son visage le dirige vers ses lèvres, il y passe sa langue dessus, il lèche le sang qui coulait sur son bijou brillant. La femme porta ses mains sur ces lèvres qui ne cessaient de tremblées face à tout çà. Le coup de grâce va être donné, il approche de son arme tranchante, il est si prêt, tout prêt, juste à côté. L'épée est droite, lever dans les airs, elle n'attend que çà, elle ne réclame que çà. Seul le cri étouffait de la demoiselle ce fait entendre dans cette calme nuit, il en ait fini, le résulta restera le même jusqu'à qu'on découvre le corps de la jeune imprudente. Le coup de grâce a été donné.
