Mes chapitres sont assez court... Je n'ai pas pour habitude de faire beaucoup de narration, et surtout un texte tragique... Je suis plutôt dans le domaine du comique...
Les personnages d'Hakuouki ne m'appartiennent pas malheureusement...
C'est un shonen ai, donc homophobe, veuillez passer votre chemin...
Je publierais un chapitre par jour... La fic étant déjà terminer, je pense donc tenir cette publication journalière...
Comme je l'ai dit précédemment, la fic est assez courte, que ce soit dans les chapitres ou même au nombre de chapitre. Vous ne perdrez pas trop votre temps à la lire, je pense... En tout cas, j'ai mis du temps à l'écrire... Surtout vers la fin, où j'étais en manque d'inspiration... Au début je l'étais trop par contre, mais j'ai un peu oublié ce que je voulais faire (je l'ai commencer vers le 15 juin... Je l'ai terminé le 19 juillet...
Pluie de chagrin
Chapitre 1
Je n'aurais jamais pensé qu'un jour je sacrifierais l'un de mes hommes... Et pourtant c'était bien ce que j'avais fait, et pas à n'importe quel homme du Shinsengumi, mais toi, qui m'était le plus important, ma raison de vivre, ma force qui me faisait relevé à chaque combat difficile. Mais pourtant, je t'ai tué, par ma faute tu es mort. Tu étais ma vie, et moi, je suis ton bourreau. Mes mains sont imprégnées de ton sang, mon katanas aussi. Ton corps est juste devant moi, je suis paralysé, j'ai la sensation que mon cœur a arrêté ses battements... Non, tout simplement que le temps est mort en même temps que toi. Ma vision se trouble, je sens de l'humidité au coin de mes yeux. Mes jambes s'affaissent, elles ne me supportent plus. Je suis encore plus prêt de ton visage d'ange. Ta peau est devenue encore plus blême qu'à ton vivant, ton corps si frêle, qu'on pouvait parfois se demander comment tu as pu devenir un samouraï digne de ce nom, était allongé sur ce sol glacial, et où un ruisseau de sang s'écoulait, par cette blessure dont je suis le responsable, cette blessure qui laisse s'écouler ta si précieuse âme. T'es yeux, magnifique à l'époque où tu respirais encore, sont éteints par ma faute. Je veux te toucher encore une fois, mais mon corps ne m'écoute plus. J'avais déjà laissé tomber mon arme, qui, autrefois m'était précieuse, mais qu'aujourd'hui je haïssais. Ce Kazama devait vraiment me trouver répugnant, mais je m'enfichais. Plus rien ne compte pour moi, ni ma fierté de guerrier, ni le Shinsengumi, ni mon rôle de capitaine, rien. Seulement le vide qui se créait dans mon cœur, là où tu avais pris ta place. Je commençais à sortir de ma torpeur, et je réalisais l'étendue de mes actes. Je commençais d'un coup à étouffer, mon cœur me faisait mal, j'avais envie de crier, mais les sons ne sortaient pas de ma gorge. Je devais me défouler, il le fallait vraiment. Je ramassai le katanas que j'avais laissé tombé et je me lançai sur mon ennemi, il tenta de parer le coup, mais ma rage était telle que je brisai son sabre en deux. Je ne m'arrêtais plus d'enchaîner des mouvements, dont la moitié était inutile, mais j'en avais besoin, le oni était dépourvu, à un tel point que j'ai réussi à percer sa défense et à lui donner un coup fatal. Il s'écrasa au sol, inerte. Maintenant que j'avais dissipé ma rage, je ne parvenais plus à contenir mes larmes, mes derniers remparts étaient brisés, tout comme toi et lui. Je sentis des gouttes tombaient sur mon corps, je levai la tête vers le ciel et vit la pluie s'abattre sur moi. Je levai mes bras vers ces contrées lointaines, et j'espérais que cette pluie emporte avec elle ma douleur, mon chagrin et mon désespoir. Mais plus cette pluie tombait, et plus je ressentais le poids de mes émotions sur mes épaules. Je pris l'extrémité de ton écharpe, et je la portai à mon visage. Je ne pouvais plus m'empêcher de fondre en larme comme un enfant, je me serrais fort contre ce bout de tissu auquel tu tenais tant cette écharpe que tu portais tout le temps, que tu ne lâchais jamais. Cette écharpe que je t'avais offerte un soir, alors qu'on faisait une patrouille ensemble, dans tes débuts du Shinsengumi. Tu avais attrapé froid, après être tombé à l'eau à la suite d'un combat. Je ne pouvais pas te laisser dans cet état, et je t'avais offert cette écharpe. Depuis, tu ne l'as plus jamais lâché, que ce soit en été ou en hiver. Au fond de moi j'étais tellement heureux, heureux que tu te sois attaché à cette écharpe, et donc indirectement à moi. Et même maintenant tu portes toujours cette écharpe, teinté de ton sang, salit par les combats que t'as enduré après toutes ces années au Shinsengumi. Je ne pouvais plus la lâché, c'était la seule chose qui nous reliait encore. J'entendais des pas se précipitait vers moi, je reconnus leur voix. Les autres membres du Shinsengumi voulaient me tirer, me séparer de lui. J'ignorais leurs appels, ils commencèrent à me prendre par la force, je résistais. Je ne laisserais plus personne me séparé de cet homme qui m'est si chère. J'entendais les cris de Shinpachi, capitaine de la deuxième division, ainsi que celui de Harada, capitaine de la dixième division. Une main se posa sur mon épaule, je l'ignorais elle aussi, Mon attention était captivé par lui, même mort, il était toujours aussi sublime. Kondo, le capitaine du Shinsengumi se rapprocha de moi, il voulait me tirer de cet état. Je ne voulais pas, je le repoussais. Il a beau être mon ami, avec qui on a construit le Shinsengumi, Hajime était celui qui avait réussi à traverser ma carapace, à me la retirer, sans me la détruire. Alors, je ne le laisserai pas là, s'il le fallait je me ferais Seppuku pour désobéir au loi du Shinsengumi que j'ai moi-même édifié. Puis j'entendis, un petit cri, suivit de sanglot, je me tournai vers la source même de ces bruits, et j'aperçus cette Chizuru Yukimura, en temps normal, je ne lui accordais aucune importance à mes yeux, contrairement au trio infernal, à Okita, Kondo et les autres qui semblaient l'apprécier. Je me suis toujours demandé qu'est ce qu'elle avait de si bien pour que les autres l'acceptent aussi vite. Mais en la voyant pleuré, pleuré pour un homme qu'en réalité elle ne connaissait pas, dont elle ignorait ses souffrances passées, je ne pouvait l'accepter. Je serrai ma main sur mon katanas, et me préparant à lui sauter dessus, si bien sur Kondo ne m'en avait pas empêché. Il avait remarqué ce que je préparais. Il me retenait, et moi je me débattais qu'à la simple force du désespoir. Je criai, ma rage reprenait de plus belle, ma voix se perdait dans mes sanglots, j'avais de plus en plus de mal à reprendre mon souffle. Mais je pouvais m'empêcher de haïr cette gamine, et même si elle n'y était pour rien, la voir pleuré pour quelqu'un qu'elle ne connaissait pas m'enragé, elle ne le connaissait depuis que deux ans, et pendant ces deux années, ni elle, ni Saito ne se parlait souvent. Il est vrai qu'il la protégé quelque fois, mais tout simplement parce qu'il devait remplir son devoirs, comme il le faisait toujours aussi bien, il était vraiment un modèle à suivre pour tous le Shinsengumi... Je commençais à me rappeler du passé, et ces souvenirs nostalgiques qui remontaient en moi, me firent abandonner mes dernières forces. Je retombai encore une fois et je me sentis transporté dans les vagues de l'inconscience. Je fis un effort immense pour regarder encore une dernière fois sa silhouette ainsi que les capitaines qui le prirent sur un modeste lit de bois pour le transporter au quartier général du Shinsengumi, et recevoir un enterrement en tant que l'un des capitaines du Shinsengumi.
« Comment te nommes-tu ?
- Saito Hajime.
-Je suis heureux que t'es rejoins nos rangs, d'après ce qu'on a pu apercevoir, tu serais un jeune prometteur dans le maniement du sabre ! »
Kondo était toujours aussi enjoué lorsqu'il y avait de nouvelle recrue qui rentrait dans le Shinsengumi, et le voir comme ça me faisait sourire, même si son attitude puérile m'exaspérait. Quand j'avais rencontré la première fois Hajime, j'étais un peu surpris. Il était droit, semblait être respectueux au règlement, sérieux et appliqué, et lorsque je remarquai qu'il portait ses sabres à sa droite, détail que, malgré moi, n'avait pas remarqué dès le premier coup d'œil, preuve que Saito pouvait se montrer parfait, ne me dérangeait pas du tout, et cela me surprenait moi-même, moi qui était pointilleux sur les détails. Kondo du sortir pour une affaire, et Saito allait lui aussi se congédier, mais je l'en ai empêché, prétextant que je voulais encore quelques renseignements. Il répondit à toutes mes questions, sans me demander pourquoi, puis, alors que j'allais enfin le laisser partir, ne trouvant plus de quoi le garder encore un peu, il me posa enfin une question à son tour.
« Vice-capitaine, je pourrais savoir pourquoi vous ne m'avez rien dit sur le fait que je porte mes sabres à droite et non à gauche, comme le voudrait la tradition ?
-Je ne vais tout de même pas te punir parce que la nature a voulu que tu sois un gaucher ! Ce qui importe et ton talent et ton âme de guerrier, que l'on porte son sabre à droite ou à gauche ne changera rien là-dessus. Il serait bête de perdre un si bon élément pour des détails futiles !»
J'avais dit ces phrases si facilement, elles étaient sorties toutes seules et je les découvrais même en même temps que la nouvelle recrue. Je l'observais avec attention. Je ne cernais aucun défaut en lui, que ce soit sur son physique ou sur son comportement. Il me salua et sortit de la pièce. Ma vue restai bloquée à l'endroit où s'était trouver ce fameux Saito. Je ne comprenais pas pourquoi ce jeune homme, âgé de neuf ans de moins que moi, me faisait de tels effets. Ce n'était que dix minutes plus tard que je me remis au travail.
Les jours avaient passé. En plus de Kondo, Soji, Gen et moi, nous avons eu cinq nouveaux membres, des experts en combat et qui ont été promu au poste de capitaine de division. Et parmi eux, Saito en faisait partit, ce qui ne m'étonna guère. Après la réunion, tous les capitaines sortirent pour aller dans leur quartier, mes yeux ne quittaient pas ce jeune homme aux yeux bleus, petit par rapport aux autres membres, si l'on ne comptait pas ce jeune Heisuke Todo...
« Saito-kun à l'air de se sentir bien ici !
-Où veux-tu en venir ?
-Personne ici ne doit le charrier qu'il soit gaucher.
-Et pourquoi me dis-tu ça ?
-Ho pour rien, tu sembles de te soucier du petit Hajime-kun ! »
A cette remarque je me sentis rougir... Cela se voyait tant que ça ? Je ne faisais que l'observer pourtant... Kondo aperçut ma gêne et tenta de se rattraper :
« Désolé, c'est que je trouve ça touchant que le démon du Shinsengumi s'inquiète pour ses membres, fit-il en se mettant la main derrière la tête »
Je ne répondais rien, même ça il l'a vu... Je sortis enfin de la pièce pour retrouver mes appartements. Sur le chemin, je pensais encore à mon manque de discrétion, et je finissais par songer si je ne devais pas prendre des cours à Yamazaki-kun... Je continuais à marcher, sans avoir remarqué qu'en fait je me dirigé ailleurs que là où je voudrais me retrouver. Je commençais enfin à me sortir de mes songes que je venais de voir un sabre juste devant ma tête, je ne sortais même pas le mien pour me mettre en position de défense car je ne savais même pas où je me trouvais sur le coup.
« Vice-capitaine ? »
Cette voix je la reconnaissais, une voix grave, mais douce, calme et posée. Je regardai alors mon interlocuteur, et je reconnus alors le capitaine de la 3ème division.
« Que faites vous ici, vice-capitaine ?
-Hein ?... *hum hum* En fait je me baladais, et j'étais plongé dans mes pensées..., inventais-je, je n'allais tout de même pas dire que je m'étais perdu parce que je pensais à prendre des cours de discrétion...
-Vous devriez faire attention, vice-capitaine, j'ai failli vous trancher avec mon katanas...
Bon, peut être que son défaut et de sans cesse m'appeler vice-capitaine... Pensai-je, puis quelques secondes s'écoulèrent, quand je venais de remarquer qu'il m'avait conseillé quelque chose...
-Ne t'inquiète pas, je ne me fais tout de même pas avoir si facilement ! » Bien sur je n'allais pas lui dire que j'allais vraiment y passer. Franchement, mes reflexes ont du partir avec l'âge, je savais que vieillir affectait notre forme et nos compétences, mais quand même, j'ai à peine trente ans ! Va falloir que je me remette à niveau, à force de faire de la paperasse et de passer mes soirées assis derrière un bureau, je finis par rouiller, même les petits jeunes me battent...
« Vice-capitaine, vous allez bien ?
-Oui, oui, ce soir tu seras de patrouille, et je vais t'accompagner, lui dis-je, il le fallait bien après tout, un peu d'exercice ne me fera pas de mal. En plus il me semble avoir pris du poids... Sur ce, je te laisse Saito-kun »
Cette fois ci je me dirigeais vers mes appartements. Il était bien sérieux lui, même pendant ses temps libres il continue à s'entrainer, les autres devraient prendre exemple sur lui au lieu d'aller se saouler la gueule... Le soir arrive vite, et comme j'avais décrété qu'on allait patrouiller ensemble, étant donné qu'il doit voir mon talent, et non que je ne suis pas doué... Mais pourquoi je ne veux pas qu'il possède une image négative de moi ? Il doit bien se douter que je ne sois pas crétin quand même... Je comparais mon comportement à celui de Kondo, franchement, pour le coup, je ne valais pas mieux que ce papa poule... Je rejoignis donc Saito qui m'attendait déjà, en plus il était ponctuel, je devrais quand même faire attention avec lui, il risque de devenir mon rival... Nous marchâmes donc ensemble dans les rues de Kyoto, inspectait s'il n'y avait rien de suspect. Bizarrement, je trouvais bien les rues calmes. Devant un pont se trouvait des hommes armés, Saito et moi, car nous étions que deux, laissant nos hommes inspecter d'autres parties de la ville, nous mirent en garde, prêt à dégainer. Nos opposants étaient vraiment nombreux par rapport à nous, une bonne quinzaine. Ils se jetèrent sur nous, certains qu'ils gagneraient contre nous deux. Et moi non plus je n'étais pas rassuré, on avait beau être des guerriers puissants, deux contre quinze homme étaient rudement difficile. Mais avais-je le choix ? Nous sommes des guerriers prêts à donner notre vie s'il le faut.
Alors que je me résonnais moi-même, je vis Saito-kun fonçait sur eux. Alors lui, il n'avait pas peur, il avait même de la folie. Mais bon, il n'y avait que ca à faire... Franchement je pense trop en ce moment, pourtant j'aurais fait pareil, sérieux, vieillir ne fait que du mal.
Quelques minutes plus tard, il en restait plus que quatre, j'avoue que j'ai du mal à croire qu'on se soit débarrasser de 11 guerriers en si peu de temps, mais bon, deux bons guerriers valent mieux qu'une centaine de nul, et fallait l'avouer, mon compagnon était plutôt doué, voir plus qu'Okita. Mais ce n'était pas encore finit, il en restait quatre, et ça devait être les meilleurs parmi les autres, surtout que quand même, on était épuisé, et même Saito, pour une fois ce n'est pas mon âge. Ils étaient chacun sur chacun de nous et on avait du mal à parer leurs coups. J'avais réussi à me débarrasser de l'un des deux. Alors que je m'apprêtais à faire de même avec celui qui restait, Saito commençait à avoir des difficultés. Ils l'avaient collé près du fleuve, et ne pouvait guère bougeait, surtout qu'il s'était un peu blessé à son bras. Après que je me sois débarrassé de mon dernier opposant, j'allai rejoindre le capitaine de la 3ème division, et l'aider. J'avais attaqué par derrière l'un de ses deux adversaires, mais celui qui restait allait donner un coup fatal à Saito si ce dernier ne se reculait pas, ce qu'il fit par reflexe. Il tomba à l'haut. Je l'aidai après avoir terminé le dernier résistant. Alors là, ce n'était pas malin ce qu'il venait de faire, d'une il était trempé, et donc son haori du Shinsengumi dans le même état, et donc qu'il faudra le changer plus tard, mais en plus il était gelé car on était en plein hiver, et donc l'eau glacial... Franchement les jeunes de nos jours, ils font n'importe quoi, et me voila à penser comme les vieux. J'allais enlever les haori trempé quand je sentis sa peau, il était vraiment glacial, bon j'avoue, j'ai mis un peu de temps pour me débarrasser du dernier, alors fallait vraiment qu'on rentre ou sinon il allait attraper un bon rhume, mais avant, je lui passai mon haori pour le réchauffer un peu et l'aida à marcher. Le quartier général était à 1h de marche et franchement, il n'allait pas se réchauffer comme ça le petit Saito. Je le posai quelque part et je me mis à chercher si je n'avais pas mon écharpe que je gardais toujours. Je la trouvai, et j'eu un peu de peine de devoir la donner, mais bon tant pis, je la mis autour du cou de mon camarade et on reprit notre route.
On était enfin arrivé au quartier général du Shinsengumi, d'ailleurs j'apercevais Kondo parler avec Okita, pour changer... Ils nous virent arriver, et quand ils virent que j'aidais Saito à marcher, ils me demandèrent ce qu'il s'était passé pour ce dernier. Je les rassurai que ce n'était que superficiel et que sinon, ils devraient engueuler le fleuve qui se trouvait en plein milieu. Kondo, rassuré, rigolait sur la maladresse de Hajime. Je le sentis gêné et se cachait sa tête derrière mon cou, je me tournai vers lui et vit son visage cramoisi. Jamais je n'aurais pensé que le capitaine de la 3ème division, froid et insensible, rougir de la sorte. Franchement, il devait vraiment avoir de la fièvre et être tombé sur la tête, mais j'avouerais qu'il était mignon comme ça, ça changeait de se visage impassible. Si c'était une femme... Mais à quoi je pense moi, le fameux démon du Shinsengumi ? Voila, depuis que Hajime est là, rien ne va chez moi. Je vais devoir le réprimander... Même s'il ne va rien comprendre. Bon je crois qu'il va falloir que j'aille me coucher moi ! A force de bosser comme un malade, je finis par faire que des conneries...
Alors que je continuais de penser à tous ça, je sentis le poids de Saito, ce qui me réveilla de ma rêverie. Je mis ma main sur son front brulant, et voila, maintenant il a vraiment de la fièvre. Et il faut que je le porte à sa chambre parce que Monsieur est malade et donc dort maintenant. Ils veulent me tuer c'est ça, je devrais me ménager, c'est ce qu'on me dit à chaque fois, mais comment avec des subordonnés aussi catastrophique les uns que les autres... Moi qui croyais qu'il était différent des autres, mais lui aussi me surmenage à sa manière. Je le pris dans mes bras comme un enfant, heureusement qu'il soit petit et léger, d'ailleurs le porter comme ça faisait apparaître un sourire à mon visage habituellement terrifiant pour les autres. J'étais enfin arrivé à sa chambre, et je vis que sa chambre représentait bien son caractère, rangée et ordonnée. Je pensai au trio infernal, alors ces trois là devraient vraiment prendre exemple sur Saito... Je le posai sur son futon et le changea pour le mettre dans sa tenue de nuit. Il était vraiment beau celui là, je me demande si je ne vais pas devenir boniche pour m'occuper de lui, rhaaa je m'égare encore... Après ca, je sortis de sa chambre et lui jeta un dernier regard. Je le trouvais vraiment craquant quand il dormait... Surtout avec mon écharpe.
J'espère que ça vous à plus... Désolé pour les fautes d'orthographes aussi...
Je vous préviens, cette fic ne respecte pas l'histoire en général, si vous voyez des incohérence au niveau du temps c'est normal, l'idée d'écrire cette fic m'est venue comme ça... D'ailleurs il n'y a pas que des incohérence au niveau temporel, mais aussi par rapport aux découvertes de certains persos... vous verrez par vous même...
