Il y a eu une déchirure dans le court des évènements. La mémoire lui revient, tout est à recommencer et pourtant tout est différent. Différent corps, différent âge, même mémoire. Pourquoi se rappelle-t-elle et lui non? Pourquoi tout le monde est revenu alors qu'ils sont censés être mort? Ils sont liés, réussiront-ils enfin à accomplir ce qui leur était destiné? Auront-ils leur heureux pour toujours?
BIND
Elle referma doucement son livre, lâchant un soupir de lassitude. Elle avait l'impression que les livres était tous morne et d'une platitude exagéré depuis qu'elle avait lut les Harry Potter. La magie de ce livre lui avait parut tellement, comment dire? Familière. Elle avait cette impression. L'impression d'en avoir fait partie. Elle regarda par la fenêtre sans trop faire attention. C'était presque le crépuscule et le ciel s'était un peu rosé.
Kathleen Brit n'habitait pas au 4 privet drive mais bien au 19 Laforest. Elle n'habitait pas non plus à Londres - à son grand désespoir- mais dans un petit village au Canada. Sa maison était grande, plus que la moyenne. Elle comptait 4 chambres, une pour elle, une pour ses parents, une pour sa sœur et une réservé aux invités, parce que, des invités, ils en recevaient énormément! Les décorations étaient d'un style moderne et chic, les couleurs n'était pas coloré, elles se limitaient à un brun crémé, un bleu très pâle et du blanc. Le salon était situé à l'entré, très vaste, il était composé d'un divan en L de cuir blanc, d'un imposant foyer de pierre grise surmonté d'une télévision à la fine pointe de la technologie, une petite table en verre et d'un tapis crème. La cuisine, elle, était très chic, moderne et surtout très couteuse. Les contoirs à la surface brune avait coûté presqu'autant que la télévision, ce qui était très cher payé. Les armoires était brun foncé et en faux fini, elles étaient munie de poigné d'argent d'une forme banal. Les électro valaient pas loin de 1500 dollards chacun et était fait en ''stinless''. Un magnifique ilôt se tenait au milieu. La salle à mangé arborait les même couleurs que le reste de la maison, sa table massive remplissant tout l'espace et un grand lustre était suspendu au dessus. Pour le reste de la maison, les chambres étaient de grandeur normale, chacune munie de sa propre salle de bain.
La chambre de Kathleen était la seul qui sortait de l'ordinaire. Elle était d'un bleu aqua magnifique, la décoration était londonien; Des posters, sa couverture, tout ce qui se trouvait dans sa chambre semblait être fait de manière qu'elle se sente en Angleterre. Son plancher était d'un bois brun très foncé, sur ses murs était accroché ses dessins, ses photos et ses nombreux posters arborant le drapeau d'Angleterre, le big ben ou encore une simple cabine de téléphone rouge. Sa salle de bain, vaste, était munie du standard; une grande douche, un lavabo avec un grand miroir et une toilette. Elle était elle aussi aqua et bleu clair et le plancher était fait de petite pierre crème. Les autres chambres étaient toutes des mêmes couleurs que le reste de la maison. Toute à fait à l'image de ses parents et de sa sœur: Prévisible, plate et sans aucune goûte d'excentricité. Kathleen et sa famille était très différent, alors que sa famille n'aimait pas se qui sortait de l'ordinaire et préférait le calme à la surprise, Kathleen était une fille qui était débordante d'énergie, elle était très excentrique, si bien que ses cheveux était Brun foncé, leur bout rose pâle. Elle n'aimait pas le prévisible, elle était une fille coloré et vive.
La mère de Kathleen, Rosabelle Grover Brith, était une femme respectable qui était médecin. Elle était grande, des cheveux toujours noué en ''toc'' et les yeux bleu azure. Elle avait une allure austère mais au fond elle était très tendre. Elle s'habillait toujours de manière très chic, tailleur, talon haut et jupe. Elle détestait le désordre et suivait toujours les bonnes manières qu'on enseignait au Moyens Âge. Son père, Nicolas Brith, quand à lui, était un peu moins sévère mais tout aussi sérieux. Il était juge au tribunal et s'habillait, lui aussi, toujours comme si il allait assister à une grande réunion. Il était grand et costaud, des yeux acier et une chevelure bien coupé châtaine. Sa sœur, Amanda-Rose Brith, ressemblait beaucoup à sa mère, elle avait les cheveux blonds très longs et ils étaient toujours noués. Ses yeux bruns lui donnaient une allure mi-douce mi-ferme. Elle avait le teint foncé et arborait toujours le même visage sérieux que ses parents. Elle avait 16 ans et suivait des études en avant dernières années. Elle aspirait à suivre les traces de son père dans la justice et à devenir avocate.
Kathleen Maxime Brith était en tout point différente de sa famille, à croire qu'on l'aurait adopté. Elle avait héritée des yeux aciers de son père et de sa chevelure foncée. C'était la les seules ressemblances qui l'associait à sa famille. En effet, Kathleen avait 14 ans et n'était pas sérieuse du tout, elle détestait s'habiller chic et avec toujours un léger sourire flottant sur son visage. Elle adorait rire, elle était excentrique et coloré. Elle se passionnait pour la musique, l'écriture et la lecture. Ses cheveux naturellement brun se finissait en pointe rose magnifique qui faisait ressortir son teint très pâle et ses lèvres pulpeuses et rouge sang. Elle avait de grands yeux curieux, un corps mince, tellement mince qu'on aurait dit une petite poupée de porcelaine. Bref, tout le contraire de sa famille.
Se rendant dans la grande bibliothèque, elle y dénicha son livre préféré : Harry Potter et le prisonnier d'Azkaban. Elle adorait Lupin, elle l'aimait littéralement sans qu'elle ne comprenne pourquoi. Ça lui semblait si naturel, comme si elle l'avait toujours connu. En lisant, elle sombra dans une douce mélancolie, une sensation de manque vint cruellement lui transpercer le cœur telle une lame acérée. Elle savait qu'il mourrait et cela lui brisait le cœur. Elle avait l'impression d'avoir perdu une partie de soit, comme c'était bizarre. Mais bon, la bizarrerie n'était pas inconnue chez la jeune fille.
«J'aurais t'en voulu recevoir cette lettre…» Pensa-t-elle en soupirant.
Elle déposa le livre, descendant à la cuisine comme elle entendait sa mère crié son nom, l'avertissant que le repas était servit.
Elle prit place, piochant un peu le poulet entouré de pomme de terre qui trainait dans son assiette. Sa mère tempêtait contre une lettre reçus, un canular paraissait-il. Kathleen ne lui portait pas vraiment attention.
«Non mais quel culot! Un vrai canular, comme si nous allions croire à ses idioties…» s'emportait-elle.
Kathleen finit son dîner et débarrassa la table. Sa mère se rendit au salon, brula le soi-disant canular et ils n'en reparlèrent plus.
Lasse, Kathleen lut un autre chapitre du prisonnier d'azkaban, celui où Remus parlait avec Harry dans son bureau, en prenant une tasse de thé. Un nouveau soupir s'échappa de ses lèvres, elle ferma le livre et se coucha.
Le sommeil vint rapidement. Elle se retrouva dans la vaste cour de Poudlard, un jeune garçon se tenant à ses cotés. Elle se sentait si bien, ils se sourirent doucement puis elle laissa sa tête tomber son épaule. Soudain, tout changea, elle était toujours à Poudlard mais cette fois-ci, dans l'école. La bataille faisait rage, des gens tombaient autour d'elle, tel des mouches. Une lumière verte jaillit de l'arme son adversaire qu'elle reconnu comme étant Bellatrix Lestrange, la frôlant de justesse. Elle contre attaqua puis elle tourna la tête pour regarder un homme à ses cotés; Remus Lupin. Un jais de lumière précédé du crie ''Avada Kedavra'', il tomba. Kathleen cria à tout poumon, la tristesse et la rage l'envahie. Elle se sentait brisé. Il était mort. Mort. Elle voulu se précipité vers lui, il ne pouvait pas être mort. Un jais de lumière verte l'atteignit en pleine poitrine et elle sombra.
OOOOOO
Encore tremblante, Kathleen mangeait son petit déjeuner. Son rêve lui avait parut si réelle, comme toujours. Ce n'était pas la première fois qu'elle y rêvait. Elle rêvait toujours de Poudlard, de Remus. Mais cette fois si c'était différent, elle n'avait jamais rêvé de la bataille. Ça lui avait semblé si réel…
Ses pensés furent interrompu par sa mère entrant dans la salle a manger, le courrier à la main. La plus part était des factures. Cependant, sa mère s'attarda sur une lettre, son visage se déforma sous le coup de la colère.
«Encore! Je vais appeler l'agence postale, je ne veux plu recevoir cette lettre. Quel culot, je veux savoir qui m'a envoyé cette lettre! Je l'emmènerais en cour s'il le faut. Comme si on pouvait croire que tout ça existait pour de vrai.» Cria-t-elle.
Kathleen ne fit pas plus attention que la dernière fois. Elle s'était replongé dans ses pensés. Sa mère se leva et la lettre subit le même sort que la précédente.
Kathleen et Amanda-Rose entreprirent d'entretenir le jardin. Il faisait bon dehors, c'était Juin et l'air était chaud sans être brulant. Une brise flottait légèrement, rendant l'endroit magique. Les sœurs commencèrent sans vraiment parler, s'occupant chacune de leurs propres fleurs.
«Comment tu fais?» Demanda soudainement Amanda.
Kathleen leva la tête, la regardant, surprise par sa question puisqu'Amanda avait toujours été la meilleure pour s'occuper des fleurs.
«Eh bien, tu vois, on creuse un trou et on transplante la fleur du pot au trou. Puis la tu…»
«Non, je veux dire, comment tu fais pour toujours être si énergique, si coloré.» La coupa-t-elle, riant nerveusement.
Elle la regarda longuement. Amanda-Rose était vêtue d'une robe d'été bleu azure, ses cheveux lui arrivant dans le bas du dos, brillant d'un blond magnifique. Elle n'était peu être pas aussi coloré que sa soeur mais elle n'insinuait tout de même pas qu'elle se trouvait ordinaire?
«Oh. Je, umh. Je ne sais pas, ça fait parti de moi je crois… Mais tu es énergique aussi, pourquoi tu me demandes ça?» Demanda Kathleen, visiblement surprise.
«Je, tu vois… Il y a ce garçons et… Je crois qu'il est du genre plus énergique et… je me demandais. Tu vois, il ne semble pas vraiment me remarquer et… toi, tout le monde t'aime et te remarque alors je me suis dit que…» Répondit-elle, presqu'en murmurant.
«C'est parce que je prends de la place!» Ria-t-elle avant d'ajouter «Tu ne devrais pas changer, tu es très bien comme tu es. S'il ne le voit pas, alors il est idiot.»
Sa sœur sourit doucement avant d'acquiescer.
Elles continuèrent de s'occuper du jardin, parlant de choses et d'autres. Le temps passa vite et bientôt elles durent rentrer pour dîner. Sa mère était au téléphone avec la poste, elle élevait de plus en plus la voix.
«Je veux savoir qui m'a envoyé ces lettres!» Criait-elle dans le combiner. Puis après une courte pause elle s'emporta. «COMMENT ÇA VOUS N'AVEZ JAMAIS ENTENDU PARLER DE CES LETTRES?» Elle attendit un moment avant de raccrocher au nez de son interlocuteur. C'était la première fois qu'elle perdait son sang froid, les jeunes filles ne l'avaient jamais vue dans un tel état.
«Est-ce que tu sais ce que dit ces lettres?» Lui murmura sa sœur.
«Aucun idée» lui répondit-elle, haussant les épaules. «Demandes lui?»
«Tu es folle? Je me ferais arracher la tête.»
Kathleen ricana et elles se dirigèrent vers la table. Elle avait complètement oublié son rêve, pour le moment.
OOOOOO
Elle se réveilla en criant. Encore et toujours, elle faisait et refaisait ce cauchemar. Les larmes coulaient sur ses joues tendis que ses épaules étaient secouer par des hoquets.
«Remus…» Murmura-t-elle.
Elle s'enfoui la tête entre ses bras et pleura longuement. Se regardant dans le miroir, elle remarqua que ses mèches semblait pâle et terne tout comme son brun et ses yeux, d'abord surprise, elle se dit simplement qu'elle aurait besoins de les reteindre. Pleurant toujours, la tête embrouiller, elle avait de plus en plus l'impression qu'elle le connaissait. Elle se sentait vide et les larmes lui montait aux yeux chaque fois qu'elle pensait à lui. Elle était fatiguer mais se rendormir était impensable. Tremblante, elle sorti de sa chambre et se dirigea vers la bibliothèque. Elle ouvrit doucement la fenêtre et monta sur le toit, s'y étendu et regarda la pleine lune, les yeux remplient de larmes. Elle avait emmené son ipod, elle mit ses écouteurs, monta le son au bout et resta étendu là, ferma les yeux et se laissa bercer par la musique et les étoiles.
Quand elle ouvrit les yeux, Kathleen Brith était étendu sur le toit, le soleil était levé depuis un bon moment. Elle s'était endormie.
«Oh non… Maman…»
Elle se leva d'un bon, entra dans la bibliothèque et descendit les marches quatre à quatre, sautant les 3 dernières.
«Maman…?»
Aucune réponse.
«Maman…!?»
Cette fois si, sa mère arriva les larmes aux yeux. Kathleen resta bouche bée, elle n'avait jamais vue sa mère dans un tel état. Jamais.
«KATHLEEN MAXIME BRITH! OÙ ÉTAIS-TU! J'AI CRU QU'ILS ÉTAIENT VENU… J'AI CRU QUE TU ÉTAIS PARTI!» Cria sa mère, en larme.
«Je suis désoler maman, je me suis endormie sur le toit… J'y allais parce que j'avais fait un cauch…. Venue me chercher? Qui?» Demanda-t-elle, surprise par les mots de sa mère.
«Personne chérie… Personne.» Murmura sa mère.
«Maman, je veux savoir. Qui est censé venir?»
Sa mère sembla vouloir dire quelque chose mais on cogna à la porte.
«Oh non… non non non… Je ne suis pas prête...» pleura sa mère. «Pas déjà…»
Elle se dirigea vers la porte lentement et tremblant, sa fille sur les talons. Elle hésita avant d'ouvrir la porte et de nouveau coup retentit, les faisant sursauter.
«Non… pas maintenant, je vous en pris…» souffla-t-elle.
D'autres coups retentirent, sa mère ouvrit la porte, pleurant comme jamais.
Ce que Kathleen vit sur le pas de la porte lui causa un choc. Sans s'en rendre compte, ses cheveux devinrent tout rose et se raccourcirent jusqu'a ce qu'ils n'atteignent que ses épaules.
Sur le pas de la porte se tenait, en chair et en os, le professeur Minerva Mcgonagall!
Et voilà! Le premier chapitre d'une longue série! Comment trouver vous ça? Si vous avez des questions posez-les! Je ne crois avoir déjà vue une fic comme celle-ci. Avez-vous devinez ce qui se passe? Un review ne fait jamais de mal! Vous aimez? Vous détestez? Dites-le moi! xx
