Titre : Printemps

Auteur : Mathilde241, ou coqueluche137, ça dépend...

Genre : Romance, angust

Paring : (On va mourire!!)HatorixTohru

Disclamer : Y sont pas à moi TT...

Notes des auteuse : Bon comme je suis fan ce ce couples et qu'il ni a AUCUNE fanfic francophone de cet adorable couples (Avec raisons! Les auteurs ne sont pas Maso!), j'ai décidé d'en créer!! (c'est triste Math, mourir si jeune, assasinée par une bande de fan en colère...) En plus, les fanfic anglo qui parle de ce couple ce conte sur les doight de la main... Alors bonne lecture!

Note 2 : C'est un Pov Hatori, et possiblement un one-shot. Je verrai selon le nombre de mennace de mort...

Printemps

Il n'y a pas si longtemps, mon coeur était de glace. Une glace que je m'était forgée aprês « l'oublie » de Kana. Une glace tellement dure que je croyait que rien ne pourait la brisser. Mais c'était san compter sur toi...

Tohru...

Je me rappelerai toujours la première fois que tu es venue au domaine sôma. Ce jour là, tu m'a demandé si je savais ou allait la neige. Quand j'ai entendue cette question j'aurais jurée que ce n'était pas Tohru Honda qui venait de parlez, mais bien Kana, ma fiancée. Et quand tu m'a dit que même le plus froid des hiver finirait par devenir printemps, j'ai eu une envie que je n'avait pas resentie depuis lohgtemps: celle de chaleur humain, de tenir quelqu'un dans mes bras, toi en l'occurence. C'est à partir de ce jour que tout c'est mi à changé en moi.

Chaque fois que je te voyait, j'avais envie de sourire, de te prendre dans mes bras et de ne plus te lacher. Je me dissait que c'était un sentiment paternel, qu'il était normal que j'éprouve de telle chose à l'égard d'un orphelline si proche de notre secret. Je me mentais à moi-même, cachant le jalousie que j'éprouvais à l'égard de Yuki ou Kyo, même à l'endroits de Shigure, me dissant que je ne voulais que te protéger de notre malédiction. Je me taissais. Et chaque fois que je prenait à penser à toi comme étant une femme belle, désirable et charmente, je me claquait mentallemen et ressortait des tas de vieux principe comme le fait que tu sois mineur, que je sois médecin, la malédictions et etc.

Ce fut une série d'évênement sans lien qui me fit réalliser toute la profondeur des sentiments que je ressentait pour toi. Un matin, à mon bureau, mes yeux ce sont par hassard possé sur la photo de Kana. Étangement, la première chose qui m'est venue fut « Tohru' ».