Disclaimer : Fanfiction écrite par Pianodream. Tous les personnages cités appartiennent à Square Enix. Je n'encourage en aucune manière ces pratiques, ceci est une nouvelle érotique pas un Kama-Sutra...
Merci de laisser un petit mot pour les auteurs, ainsi que des respecter leur travail ~
Contient: hard yaoi, soft porn, (viol)...
Sous le ciel dégagé, le BAHAMUT grinçait, secoué par la bataille qui y faisait rage.
Le voyou de Rabanastre bondissait comme une flèche, esquivant tant bien que mal les attaques répétées du clown maléfique. Il était couvert de blessures, son katana tremblant légèrement dans sa main ensanglantée.
Kefka poussa un cri de joie suraigüe en lançant une nouvelle vague d'orbes explosifs. Le jeune garçon para tant bien que mal mais une énième explosion l'envoya valser dans les airs.
Il retomba durement au sol et roula sur le dos, vidé de toute énergie. Le clown ricana et atterrit en planant à ses côtés, visiblement satisfait.
Kefka : _ « Tiens donc, le rat s'incline. Où est passée ta force, avorton! »
Ce disant, il saisit sans ménagement Vaan par les cheveux et lui souleva la tête. Leurs visages se touchaient presque.
Kefka : _ « J'attends tes dernières volontés! »
Vaan : _ « Uhh... Espèce de sale bouffon... »
Un Ultima retentissant lui arracha un terrible cri de douleur et il retomba un peu plus loin. Kefka le reprit par les cheveux et le remit complètement sur pied, plaquant Vaan contre le mur du BAHAMUT. Son maquillage grotesque donnait envie de vomir au jeune homme qui se débattait comme un fou, la main du clown menaçant de l'étrangler.
Kefka : _ « Je réitère ma question. Des dernières volontés! »
Le jeune homme aux cheveux platines se débattait faiblement, dominé par la force aussi impressionnante qu'inattendue de l'homme au visage peint. Kefka l'écouta pousser des râles à mi-chemin entre l'agonie et la terreur, puis il le secoua comme un prunier en riant sadiquement.
Kefka : _ « Si tu n'as plus rien à dire, j'ai peut-être autre chose à faire avec toi avant que tu nous quittes... »
Il lâcha les cheveux et la gorge de Vaan, qui se laissa glisser à terre en toussant. Fouillant dans un revers de son costume bariolé, il en extirpa une longue cordelette argentée et esquissa un sourire mauvais. Prenant les poignets du voyou entre ses mains, il entreprit de les attacher. Vaan poussa un cri de peur et repoussa Kefka, avant de tenter de s'enfuir à quatre pattes, terrorisé. Le clown maléfique grimaça et se jeta sur le jeune homme, l'aplatissant au sol et l'empêchant de bouger. Vaan n'eut pas le temps de résister, déjà l'homme lui avait lié les bras dans le dos.
Vann : _ « Sale monstre... Détachez moi! »
Eh bien, on retrouve la parole? Oooooohohohohoho non mon petit, tu m'as passablement énervé, et quand je suis énervé, je suis trèèèèès irritable...
Vaan ruait dans tous les sens comme un beau diable, tentant sans succès de s'éloigner en se traînant sur le sol. Kefka cessa de rire un instant et son regard se promena sur le jeune homme qui s'agitait. Maintenant l'évidence lui crevait les yeux.
Cette peau au teint hâlé, ces cheveux platines désordonnés, ce corps mince et ferme... Ce petit était indéniablement mignon. Mignon... Et surtout entièrement à sa merci. Kefka ne pouvait plus détacher ses yeux du dos et des fesses de l'adolescent, puis un autre sourire encore plus sadique envahit sa face maquillée. Il se pencha et saisit Vaan par la taille, le touchant et le palpant comme une jeune femme. Le jeune homme poussa un hurlement en sentant les mains du clown presser sa peau et ses membres.
Vaan : _ « Qu'est-ce que... Arrêtez! »
Pardon? Mais je ne fais rien! Je vérifie la marchandise...
Ce disant, il se baissa jusqu'à se mettre à quatre pattes au-dessus de l'adolescent, et lui écrasa la tête sur le sol. Vaan gronda de rage lorsqu'il sentit les doigts infâmes toucher son dos et descendre sur son postérieur.
Vaan : _ « Sale raclure de... »
Kefka rit et se releva. Avec un coup violent de côté, il retourna l'adolescent sur le dos et appuya son pied sur son entrejambe, le forçant à s'immobiliser et lui arrachant un cri de douleur. Le jeune homme regardait vers le haut avec une expression à la fois horrifiée et haineuse.
Kefka : _ « Oh mais cesse un peu de jouer les vierges effarouchées, c'est pas comme si ça ne t'était jamais arrivé. Hein mon petit Vaan? »
Vaan : _ « Aïe! Aïe, aïiiiiie! »
Le clown poussa un ricanement et attrapa le jeune homme par son mince haut de métal et le projeta de nouveau contre le mur sombre.
Vaan heurta la pierre avec un bruit sourd et en fut tout étourdi. Kefka se planta derrière lui et l'enlaça, susurrant dans son oreille.
Kefka : _ « Maintenant on va jouer... Mon petit rat du désert. »
Il retourna le jeune homme face à lui et le força à se mettre à genoux d'une main, déboutonnant son pantalon rouge et bleu de l'autre. Vaan ne réagissait presque plus. Dans ses yeux éteints on pouvait lire le désespoir, la peur... Et la résignation. Il leva un regard suppliant et terrorisé vers le clown qui le dominait de toute sa hauteur.
Kefka : _ « Mords moi, et je t'étrangle. Maintenant, tu sais ce qu'il te reste à faire... N'est-ce pas, Vaan? »
L'adolescent sursauta à son nom, puis plissa les yeux et se rapprocha de l'organe qui lui était offert.
Kefka trembla de tout son être lorsque Vaan le prit en bouche. Il gardait les yeux rivés sur le visage plein de terreur de l'adolescent alors qu'il amorçait quelques mouvements du bassin, rapprochant la tête blonde de lui. Vaan dut ouvrir la bouche le plus grand possible, suffoquant presque. Puis, il se figea, envahi par le dégoût.
Kefka : _ « Ne t'arrête pas. Si tu t'arrêtes encore, je te tue. »
Les yeux du jeune homme s'agrandirent de peur. Il les referma, comme s'il voulait occulter le monde entier, et se résigna entièrement. Sa langue fit un cercle complet autour de Kefka, alors qu'il s'éloignait légèrement, puis il remonta vers le haut, par à-coups, explorant la surface lisse et chaude de l'organe. Arrivé au sommet, il découvrit le fruit défendu, y posant de petits baisers exempts de tout amour. Kefka poussa un immense soupir et contempla le visage de Vaan, se retenant de se lâcher.
Tu es doué. Où tu as appris à faire ce genre de choses? Tu copulais souvent avec d'autres dans les cloaques de ton égout? Hihihihiii...
Vaan ne pouvait répondre. De douloureux souvenirs lui revenaient en mémoire. Avec un élan de dégoût, il cracha et se jeta en arrière le plus loin possible, sa tête heurtant le mur. Le clown furieux lui enserra la gorge de ses doigts glacés, l'empêchant de proférer le moindre son.
Kefka : _ « Oho? Tu ne veux plus jouer? »
Vaan : _ « Espèce de porc... Vous m'écœurez... »
Kefka : _ « Dit celui qui suce aussi bien qu'il marche! Lequel de nous deux est le plus écœurant mon petit, hm? »
L'homme, saisissant l'adolescent par les cheveux, le rapprocha de nouveau de lui avec force. Vaan eut une grimace quand il sentit la chaleur de son intimité lui toucher la joue.
Kefka : _ « Encore un coup comme celui-là et je te briserai la nuque comme le sale rat d'égout que tu es. Allons. »
Le jeune garçon poussa un gémissement et reprit sa besogne. Entrouvrant les lèvres, il laissa l'homme pénétrer sa cavité buccale, au bord de l'évanouissement. Sans plus se poser de questions, il amorça une longue succion, l'organe en érection frottant contre ses joues et le forçant à écarter encore plus les mâchoires. De longues aspirations répétitives, comme un noyé. Un noyé appelant à mourir.
Kefka avait fermé les yeux, grognant son plaisir sous les caresses de la langue de Vaan. Ce petit était doué, tout ceci faisait sentir que ce n'était pas sa première fois. Bougeant son bassin en cadence avec l'adolescent, il prenait un malin plaisir de la chair.
Vaan ne sentait plus rien, écoutant simplement les râles de plaisir de celui qui le dominait.
Lorsqu'il vint, il le tenait tellement serré que Vaan avait du mal à respirer. Le liquide chaud et amer emplit sa bouche et l'adolescent se figea.
Kefka : _ « Avale. »
Vaan s'exécuta, complètement amorphe et vidé de toute volonté. Il se sentait sale, et se retenait de vomir sur les chausses du clown. Kefka se retira et contempla la figure souillée du jeune homme, pleinement satisfait.
Kefka : _ « Ce fut un jeu extrêmement ludique pour nous deux, mon petit rat du désert. Maintenant... »
Sans aucune autre parole, il asséna un coup à tuer un bœuf sur la tête de Vaan, qui s'effondra sans un son. Se rhabillant rapidement, il se pencha sur l'adolescent et tira un long poignard de sa manche. Il brandit l'arme au-dessus de sa tête, prêt à transpercer la poitrine maigre et ensanglantée du jeune homme, qui portait maintenant une large plaie à la tête. Mais son bras s'arrêta. Kefka ricana, rangea le poignard et délia la cordelette argentée qui entravait l'assommé.
Kefka : _ « Ça ira pour cette fois... Il semblerait que j'ai d'autres rats à noyer... »
Se relevant, il tourna les talons et repartit sans se presser à travers le BAHAMUT, le silence régnant ajoutant à l'ambiance glauque du lieu, l'odeur du sang et du plaisir charnel brouillant le reste...
